Education

Il subsiste donc des parents dont l’imaginaire reste contaminé par Les sous-doués passent le bac.

Ce jeune Albanais passe sa journée à attendre, en rêvassant ou en essayant furtivement de consulter son téléphone.

« La main est le prolongement de la tête. Pour être menuisier, il faut être bon en maths ! »

Si l’on se penche un peu sur le cas du brevet, on se prend un coup de réel qui fait vaciller.

Il va falloir que j’étudie ce que Mme Belloubet propose comme avantages à ceux qui accepteront de rester à bord…

Nicole Belloubet ne semble pas soutenir avec enthousiasme les premières mesures qu’elle doit mettre en place.

Entre les lignes, on apprend que le PLU classe des écoles privées en emplacements réservés pour des logement sociaux.

Le monde de l’éducation a-t-il vraiment envie de collaborer avec l’univers entrepreneurial ?

Elle avait dénoncé les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ».

Malgré une importante mobilisation, les syndicats étudiants de droite restent largement mis en minorité.

C’est une toute petite enclave, un projet un peu fou, mais Dieu quel plaisir de voir une œuvre aussi salutaire !

Dernière couche de vernis : une haine du sacré, chez Libé, qui relève de l’obsession.

Si on gratte un peu, on s’aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.

Alors vinrent les pédagogues novateurs. Porteurs d’un dogme d’inspiration maoïste, ils décrétèrent l’égalité absolue…

À la lecture de ce sujet, on l’a dit, on rigole. Assez bruyamment, d’ailleurs…

Gabriel Attal lance de bonnes idées pour plaire mais ne se donne pas les moyens de les réaliser.

D’aucuns diront que cela n’a aucune importance. Soyons modernes !

Les catholiques et plus généralement ceux qui veulent échapper à la tiers-mondisation forcée en seront pour leurs frais

Ils dénoncent un « deux poids deux mesures », alors que leurs cas sont bien distincts…

Les fils du ministre sont scolarisés en classe « non mixtes » : quelle horreur !

Révolution sur les frontons, cancres au tison. Dicton ne saurait mentir.

Quand vous n’avez pas assez de professeurs pour des groupes de 30, la solution est évidemment de faire des groupes de 15

Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.

L’école n’est manifestement, pour le pouvoir, qu’une variable d’ajustement médiatique et communicationnelle.

Quelle musique, quelles œuvres, quels textes ? Quels programmes ?

L’exécutif détruit l’école publique à coups de mixité et diversité sans y avoir jamais (ou presque) mis les pieds.

On se repasse le maroquin entre amis et affidés, mais sur le terrain, cela ne ralentit pas la chute.

Délivrer la connaissance dans ces conditions demande une solide formation en animation de manèges.

Il subsiste donc des parents dont l’imaginaire reste contaminé par Les sous-doués passent le bac.

Ce jeune Albanais passe sa journée à attendre, en rêvassant ou en essayant furtivement de consulter son téléphone.

« La main est le prolongement de la tête. Pour être menuisier, il faut être bon en maths ! »

Si l’on se penche un peu sur le cas du brevet, on se prend un coup de réel qui fait vaciller.

Il va falloir que j’étudie ce que Mme Belloubet propose comme avantages à ceux qui accepteront de rester à bord…

Nicole Belloubet ne semble pas soutenir avec enthousiasme les premières mesures qu’elle doit mettre en place.

Entre les lignes, on apprend que le PLU classe des écoles privées en emplacements réservés pour des logement sociaux.

Le monde de l’éducation a-t-il vraiment envie de collaborer avec l’univers entrepreneurial ?

Elle avait dénoncé les « fariboles sur la restauration de l’autorité ou le port de la blouse ».

Malgré une importante mobilisation, les syndicats étudiants de droite restent largement mis en minorité.

C’est une toute petite enclave, un projet un peu fou, mais Dieu quel plaisir de voir une œuvre aussi salutaire !

Dernière couche de vernis : une haine du sacré, chez Libé, qui relève de l’obsession.

Si on gratte un peu, on s’aperçoit que rien ne va changer, sinon en pire.

Alors vinrent les pédagogues novateurs. Porteurs d’un dogme d’inspiration maoïste, ils décrétèrent l’égalité absolue…

À la lecture de ce sujet, on l’a dit, on rigole. Assez bruyamment, d’ailleurs…

Gabriel Attal lance de bonnes idées pour plaire mais ne se donne pas les moyens de les réaliser.

D’aucuns diront que cela n’a aucune importance. Soyons modernes !

Les catholiques et plus généralement ceux qui veulent échapper à la tiers-mondisation forcée en seront pour leurs frais

Ils dénoncent un « deux poids deux mesures », alors que leurs cas sont bien distincts…

Les fils du ministre sont scolarisés en classe « non mixtes » : quelle horreur !

Révolution sur les frontons, cancres au tison. Dicton ne saurait mentir.

Quand vous n’avez pas assez de professeurs pour des groupes de 30, la solution est évidemment de faire des groupes de 15

Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.

L’école n’est manifestement, pour le pouvoir, qu’une variable d’ajustement médiatique et communicationnelle.

Quelle musique, quelles œuvres, quels textes ? Quels programmes ?

L’exécutif détruit l’école publique à coups de mixité et diversité sans y avoir jamais (ou presque) mis les pieds.

On se repasse le maroquin entre amis et affidés, mais sur le terrain, cela ne ralentit pas la chute.

Délivrer la connaissance dans ces conditions demande une solide formation en animation de manèges.
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