Education
Les fils du ministre sont scolarisés en classe « non mixtes » : quelle horreur !
Révolution sur les frontons, cancres au tison. Dicton ne saurait mentir.
Quand vous n’avez pas assez de professeurs pour des groupes de 30, la solution est évidemment de faire des groupes de 15
Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.
L’école n’est manifestement, pour le pouvoir, qu’une variable d’ajustement médiatique et communicationnelle.
Quelle musique, quelles œuvres, quels textes ? Quels programmes ?
L’exécutif détruit l’école publique à coups de mixité et diversité sans y avoir jamais (ou presque) mis les pieds.
On se repasse le maroquin entre amis et affidés, mais sur le terrain, cela ne ralentit pas la chute.
Délivrer la connaissance dans ces conditions demande une solide formation en animation de manèges.
Le vrai scandale ? Que l’enseignement public soit incapable de garantir partout des conditions normales d’éducation.
Alors évidemment, il y a des couleurs, des images, des pop-up, c’est ludique !
Et encore faut-il s’estimer heureux : on ne leur a pas demandé si la Terre était plate.
Selon des associations, les données chiffrées présentes dans cette circulaire « émanent d’associations LGBTQIA+ ».
Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique.
Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?
Il aura fallu beaucoup de persévérance pour obtenir ce résultat.
À quel moment un grand média a-t-il jugé utile de consacrer un reportage à cette affairuscule sans intérêt ?
Avec le terme « Éducation nationale », on ne vend que du rêve, depuis des décennies.
Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.
La France n’est pas la seule à connaître cette différence de niveau entre élèves autochtones et issus de l’immigration.
Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…
La grande cause de son mandat, ce devait être la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.
Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.
Ma longue fréquentation des salles des professeurs me fait faire un triste constat.
Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, serait bien inspiré d’intervenir.
Dans notre système étatique et centralisé, personne n’est responsable de rien, ni les ministres, ni les rectorats.
Peu importe si les professeurs sont normalement tenus de respecter la Charte de la laïcité, certains n’en ont que faire.
Les fils du ministre sont scolarisés en classe « non mixtes » : quelle horreur !
Révolution sur les frontons, cancres au tison. Dicton ne saurait mentir.
Quand vous n’avez pas assez de professeurs pour des groupes de 30, la solution est évidemment de faire des groupes de 15
Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.
L’école n’est manifestement, pour le pouvoir, qu’une variable d’ajustement médiatique et communicationnelle.
Quelle musique, quelles œuvres, quels textes ? Quels programmes ?
L’exécutif détruit l’école publique à coups de mixité et diversité sans y avoir jamais (ou presque) mis les pieds.
On se repasse le maroquin entre amis et affidés, mais sur le terrain, cela ne ralentit pas la chute.
Délivrer la connaissance dans ces conditions demande une solide formation en animation de manèges.
Le vrai scandale ? Que l’enseignement public soit incapable de garantir partout des conditions normales d’éducation.
Alors évidemment, il y a des couleurs, des images, des pop-up, c’est ludique !
Et encore faut-il s’estimer heureux : on ne leur a pas demandé si la Terre était plate.
Selon des associations, les données chiffrées présentes dans cette circulaire « émanent d’associations LGBTQIA+ ».
Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique.
Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?
Il aura fallu beaucoup de persévérance pour obtenir ce résultat.
À quel moment un grand média a-t-il jugé utile de consacrer un reportage à cette affairuscule sans intérêt ?
Avec le terme « Éducation nationale », on ne vend que du rêve, depuis des décennies.
Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.
La France n’est pas la seule à connaître cette différence de niveau entre élèves autochtones et issus de l’immigration.
Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…
La grande cause de son mandat, ce devait être la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.
Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.
Ma longue fréquentation des salles des professeurs me fait faire un triste constat.
Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, serait bien inspiré d’intervenir.
Dans notre système étatique et centralisé, personne n’est responsable de rien, ni les ministres, ni les rectorats.
Peu importe si les professeurs sont normalement tenus de respecter la Charte de la laïcité, certains n’en ont que faire.
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