Education
On se demande parfois comment ces « chercheurs » ont pu obtenir des diplômes…

On retombe alors sur ce mystère épais : dans notre pays où l’on se targue d’amener 80 % d’une classe d’âge au bac, le nombre de jeunes illettrés ne cesse d’augmenter !

En bien des points, Blanquer n’est pas le destructeur de l’esprit 68 mais bel et bien un énième catalyseur.

Mais comment ne pas constater, une fois de plus, avec un immense sentiment d’injustice, le deux poids deux mesures qui règne en maître dans notre pays ?

Et personne n’en semble chiffonné…

À supposer qu’un tel mot d’ordre soit décidé, il est peu probable qu’il soit massivement suivi.

Et si la jeunesse étudiante de droite avait plus de sagesse que la génération aux commandes à droite…

Une enquête, récemment parue dans Le Monde, révèle des disparités de niveau importantes chez les étudiants, en particulier dans le domaine de la culture générale.

La mère le dit, elle « ne veut plus d’eux », le père non plus.

Le vent serait-il en train de tourner, au sein des universités françaises, grâce aux initiatives d’étudiants de droite ? Stanislas Rigault, ce cofondateur de L’Étudiant

L’École que nous prépare M. Blanquer et sa philosophie molle à l’égard de l’islam ne sont pas celles de la confiance. Et encore moins du courage.

Les solutions qu’envisage Emmanuel Macron, loin de pallier la ségrégation, l’accentuent en créant de nouveaux privilèges.

Vaste couac sur Parcoursup et fausse joie pour nombre de lycéens : après avoir été officiellement admis dans la filière de leur choix, ils viennent

Longtemps exaltée, la mobilité s’assimile donc désormais pour tant d’États européens à une lutte pour leur propre survie.

Faute de quoi, sous des apparences généreuses et égalitaires, on renforcera la sélection la plus impitoyable et la plus injuste qui soit : la sélection par l’échec, par l’argent ou par le copinage.

Le 15 mai avaient lieu les résultats de la première phase de Parcoursup, la plate-forme d’orientation post-bac. Certains lycéens, qui n’ont pas encore obtenu de

Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».

En bref, l’Université française va bien mal, on en regretterait presque les hussards noirs de la République…

Il y a six ans, un groupe de parents faisait le même constat : difficile de trouver un titre jeunesse pour ses enfants.

Jean-Pax Méfret ne croyait pas si bien dire lorsqu’il chantait « Aujourd’hui tout le monde s’en fout de Diên Biên Phu ».

Quand on entend urbi et orbi que de gigantesques efforts sont faits en matière de formation pour réorienter les jeunes vers « là où il y a l’emploi de demain »…

S’il est vrai que de moins en moins d’enfants d’origine provinciale et populaire accèdent aux grandes écoles, la faute en revient au naufrage de l’Éducation nationale.

L’enseignement est le nerf de la guerre, pour s’emparer des esprits des enfants.

La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.

Lors de la manifestation du 1er mai à Paris, et dans un contexte confus, des manifestants se sont introduits dans l’enceinte de l’hôpital de la

Jean-Michel Blanquer a utilisé le mot qui fâche. Salafiste. Un mot qui lui vaut un procès en diffamation.

Le monde de l’enseignement, où devrait se construire la liberté, est un monde où la pensée unique se propage à tous les niveaux.

C’est peu dire que la revendication d’un toilettage de ces grands corps malades va bien au-delà des revendications en jaune.
On se demande parfois comment ces « chercheurs » ont pu obtenir des diplômes…

On retombe alors sur ce mystère épais : dans notre pays où l’on se targue d’amener 80 % d’une classe d’âge au bac, le nombre de jeunes illettrés ne cesse d’augmenter !

En bien des points, Blanquer n’est pas le destructeur de l’esprit 68 mais bel et bien un énième catalyseur.

Mais comment ne pas constater, une fois de plus, avec un immense sentiment d’injustice, le deux poids deux mesures qui règne en maître dans notre pays ?

Et personne n’en semble chiffonné…

À supposer qu’un tel mot d’ordre soit décidé, il est peu probable qu’il soit massivement suivi.

Et si la jeunesse étudiante de droite avait plus de sagesse que la génération aux commandes à droite…

Une enquête, récemment parue dans Le Monde, révèle des disparités de niveau importantes chez les étudiants, en particulier dans le domaine de la culture générale.

La mère le dit, elle « ne veut plus d’eux », le père non plus.

Le vent serait-il en train de tourner, au sein des universités françaises, grâce aux initiatives d’étudiants de droite ? Stanislas Rigault, ce cofondateur de L’Étudiant

L’École que nous prépare M. Blanquer et sa philosophie molle à l’égard de l’islam ne sont pas celles de la confiance. Et encore moins du courage.

Les solutions qu’envisage Emmanuel Macron, loin de pallier la ségrégation, l’accentuent en créant de nouveaux privilèges.

Vaste couac sur Parcoursup et fausse joie pour nombre de lycéens : après avoir été officiellement admis dans la filière de leur choix, ils viennent

Longtemps exaltée, la mobilité s’assimile donc désormais pour tant d’États européens à une lutte pour leur propre survie.

Faute de quoi, sous des apparences généreuses et égalitaires, on renforcera la sélection la plus impitoyable et la plus injuste qui soit : la sélection par l’échec, par l’argent ou par le copinage.

Le 15 mai avaient lieu les résultats de la première phase de Parcoursup, la plate-forme d’orientation post-bac. Certains lycéens, qui n’ont pas encore obtenu de

Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».

En bref, l’Université française va bien mal, on en regretterait presque les hussards noirs de la République…

Il y a six ans, un groupe de parents faisait le même constat : difficile de trouver un titre jeunesse pour ses enfants.

Jean-Pax Méfret ne croyait pas si bien dire lorsqu’il chantait « Aujourd’hui tout le monde s’en fout de Diên Biên Phu ».

Quand on entend urbi et orbi que de gigantesques efforts sont faits en matière de formation pour réorienter les jeunes vers « là où il y a l’emploi de demain »…

S’il est vrai que de moins en moins d’enfants d’origine provinciale et populaire accèdent aux grandes écoles, la faute en revient au naufrage de l’Éducation nationale.

L’enseignement est le nerf de la guerre, pour s’emparer des esprits des enfants.

La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.

Lors de la manifestation du 1er mai à Paris, et dans un contexte confus, des manifestants se sont introduits dans l’enceinte de l’hôpital de la

Jean-Michel Blanquer a utilisé le mot qui fâche. Salafiste. Un mot qui lui vaut un procès en diffamation.

Le monde de l’enseignement, où devrait se construire la liberté, est un monde où la pensée unique se propage à tous les niveaux.

C’est peu dire que la revendication d’un toilettage de ces grands corps malades va bien au-delà des revendications en jaune.
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