Education

Avec le terme « Éducation nationale », on ne vend que du rêve, depuis des décennies.

Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.

La France n’est pas la seule à connaître cette différence de niveau entre élèves autochtones et issus de l’immigration.

Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…

La grande cause de son mandat, ce devait être la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.

Ma longue fréquentation des salles des professeurs me fait faire un triste constat.

Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, serait bien inspiré d’intervenir.

Dans notre système étatique et centralisé, personne n’est responsable de rien, ni les ministres, ni les rectorats.

Peu importe si les professeurs sont normalement tenus de respecter la Charte de la laïcité, certains n’en ont que faire.

Qu’y voit-on ? Des enseignants recrutés en quinze minutes, sans aucune vérification réelle de leurs compétences…

Le défi lancé au français et à la France par l’expansion de l’arabe en métropole nécessitera des actes volontaristes.

Finalement, la France ne change pas tant que ça, et cela devrait plutôt nous rassurer.

Nous, les profs, avons-nous engagé une grève générale pour exiger d’être mieux protégés ?

Gabriel Attal aura-t-il l’idée de regarder la facture salée que représentent les infrastructures numériques à l’école ?

Nos lois sont comme une ligne Maginot face à l’envahissement de la société française par l’islamisme.

Le ministre de l’Éducation ne remet pas en cause un demi-siècle de pratiques pédagogiques et de réformisme continuel.

Il semblerait que le ministère s’acharne tout particulièrement sur les enseignants de lettres classiques.

Monsieur le Ministre, vous êtes à la croisée des chemins entre la Résistance et le renoncement munichois.

Visiblement, ce qui est bon pour eux n’est pas pour le « gros populas »

Si l’Etat, contraint de déprogrammer un film qu’il a financé, se décidait enfin à faire aimer la France ?
Benjamin Lucas, député écologiste appartenant au groupe NUPES à l’Assemblée nationale, a publié, le 4 novembre 2023, un communiqué de presse pour demander « la

Les questions reprennent des évidences ou de vieilles lunes pédagogiques.

La technologie offre des conquêtes ambiguës, qui suivent les orientations idéologiques de ceux qui les promeuvent.

Éliminer les difficultés de la langue française pour ne plus y être confronté est une démarche bien singulière.

Il paraît que le temps de l’action est venu. Bien. Comme avant un grand dîner, regardons le menu.

Gardons-nous des clichés qui dégoûtent du métier tous les enseignants.

Avec le terme « Éducation nationale », on ne vend que du rêve, depuis des décennies.

Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.

La France n’est pas la seule à connaître cette différence de niveau entre élèves autochtones et issus de l’immigration.

Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…

La grande cause de son mandat, ce devait être la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.

Ma longue fréquentation des salles des professeurs me fait faire un triste constat.

Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, serait bien inspiré d’intervenir.

Dans notre système étatique et centralisé, personne n’est responsable de rien, ni les ministres, ni les rectorats.

Peu importe si les professeurs sont normalement tenus de respecter la Charte de la laïcité, certains n’en ont que faire.

Qu’y voit-on ? Des enseignants recrutés en quinze minutes, sans aucune vérification réelle de leurs compétences…

Le défi lancé au français et à la France par l’expansion de l’arabe en métropole nécessitera des actes volontaristes.

Finalement, la France ne change pas tant que ça, et cela devrait plutôt nous rassurer.

Nous, les profs, avons-nous engagé une grève générale pour exiger d’être mieux protégés ?

Gabriel Attal aura-t-il l’idée de regarder la facture salée que représentent les infrastructures numériques à l’école ?

Nos lois sont comme une ligne Maginot face à l’envahissement de la société française par l’islamisme.

Le ministre de l’Éducation ne remet pas en cause un demi-siècle de pratiques pédagogiques et de réformisme continuel.

Il semblerait que le ministère s’acharne tout particulièrement sur les enseignants de lettres classiques.

Monsieur le Ministre, vous êtes à la croisée des chemins entre la Résistance et le renoncement munichois.

Visiblement, ce qui est bon pour eux n’est pas pour le « gros populas »

Si l’Etat, contraint de déprogrammer un film qu’il a financé, se décidait enfin à faire aimer la France ?
Benjamin Lucas, député écologiste appartenant au groupe NUPES à l’Assemblée nationale, a publié, le 4 novembre 2023, un communiqué de presse pour demander « la

Les questions reprennent des évidences ou de vieilles lunes pédagogiques.

La technologie offre des conquêtes ambiguës, qui suivent les orientations idéologiques de ceux qui les promeuvent.

Éliminer les difficultés de la langue française pour ne plus y être confronté est une démarche bien singulière.

Il paraît que le temps de l’action est venu. Bien. Comme avant un grand dîner, regardons le menu.

Gardons-nous des clichés qui dégoûtent du métier tous les enseignants.
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