Education

Le vrai scandale ? Que l’enseignement public soit incapable de garantir partout des conditions normales d’éducation.

Alors évidemment, il y a des couleurs, des images, des pop-up, c’est ludique !

Et encore faut-il s’estimer heureux : on ne leur a pas demandé si la Terre était plate.

Selon des associations, les données chiffrées présentes dans cette circulaire « émanent d’associations LGBTQIA+ ».

Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique.

Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?

Il aura fallu beaucoup de persévérance pour obtenir ce résultat.

À quel moment un grand média a-t-il jugé utile de consacrer un reportage à cette affairuscule sans intérêt ?

Avec le terme « Éducation nationale », on ne vend que du rêve, depuis des décennies.

Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.

La France n’est pas la seule à connaître cette différence de niveau entre élèves autochtones et issus de l’immigration.

Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…

La grande cause de son mandat, ce devait être la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.

Ma longue fréquentation des salles des professeurs me fait faire un triste constat.

Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, serait bien inspiré d’intervenir.

Dans notre système étatique et centralisé, personne n’est responsable de rien, ni les ministres, ni les rectorats.

Peu importe si les professeurs sont normalement tenus de respecter la Charte de la laïcité, certains n’en ont que faire.

Qu’y voit-on ? Des enseignants recrutés en quinze minutes, sans aucune vérification réelle de leurs compétences…

Le défi lancé au français et à la France par l’expansion de l’arabe en métropole nécessitera des actes volontaristes.

Finalement, la France ne change pas tant que ça, et cela devrait plutôt nous rassurer.

Nous, les profs, avons-nous engagé une grève générale pour exiger d’être mieux protégés ?

Gabriel Attal aura-t-il l’idée de regarder la facture salée que représentent les infrastructures numériques à l’école ?

Nos lois sont comme une ligne Maginot face à l’envahissement de la société française par l’islamisme.

Le ministre de l’Éducation ne remet pas en cause un demi-siècle de pratiques pédagogiques et de réformisme continuel.

Il semblerait que le ministère s’acharne tout particulièrement sur les enseignants de lettres classiques.

Monsieur le Ministre, vous êtes à la croisée des chemins entre la Résistance et le renoncement munichois.

Le vrai scandale ? Que l’enseignement public soit incapable de garantir partout des conditions normales d’éducation.

Alors évidemment, il y a des couleurs, des images, des pop-up, c’est ludique !

Et encore faut-il s’estimer heureux : on ne leur a pas demandé si la Terre était plate.

Selon des associations, les données chiffrées présentes dans cette circulaire « émanent d’associations LGBTQIA+ ».

Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique.

Quel crédit accorder à un Président qui passe de Jean-Michel Blanquer à Pap Ndiaye ou de Pap Ndiaye à Gabriel Attal ?

Il aura fallu beaucoup de persévérance pour obtenir ce résultat.

À quel moment un grand média a-t-il jugé utile de consacrer un reportage à cette affairuscule sans intérêt ?

Avec le terme « Éducation nationale », on ne vend que du rêve, depuis des décennies.

Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.

La France n’est pas la seule à connaître cette différence de niveau entre élèves autochtones et issus de l’immigration.

Un panel de mesures sans doute élaboré avec la meilleure volonté du monde, mais qui peine à convaincre sur le terrain.
Mais le système éducatif est si désorienté qu’il ne sait plus où il va…

La grande cause de son mandat, ce devait être la lutte contre les violences sexistes et sexuelles.

Il ne fait pas bon dévier de la pensée unique et de remettre en cause, un tant soit peu, les dogmes pédagogistes.

Ma longue fréquentation des salles des professeurs me fait faire un triste constat.

Gabriel Attal, qui sait mieux que personne l’importance d’une formation élitiste, serait bien inspiré d’intervenir.

Dans notre système étatique et centralisé, personne n’est responsable de rien, ni les ministres, ni les rectorats.

Peu importe si les professeurs sont normalement tenus de respecter la Charte de la laïcité, certains n’en ont que faire.

Qu’y voit-on ? Des enseignants recrutés en quinze minutes, sans aucune vérification réelle de leurs compétences…

Le défi lancé au français et à la France par l’expansion de l’arabe en métropole nécessitera des actes volontaristes.

Finalement, la France ne change pas tant que ça, et cela devrait plutôt nous rassurer.

Nous, les profs, avons-nous engagé une grève générale pour exiger d’être mieux protégés ?

Gabriel Attal aura-t-il l’idée de regarder la facture salée que représentent les infrastructures numériques à l’école ?

Nos lois sont comme une ligne Maginot face à l’envahissement de la société française par l’islamisme.

Le ministre de l’Éducation ne remet pas en cause un demi-siècle de pratiques pédagogiques et de réformisme continuel.

Il semblerait que le ministère s’acharne tout particulièrement sur les enseignants de lettres classiques.

Monsieur le Ministre, vous êtes à la croisée des chemins entre la Résistance et le renoncement munichois.
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