Education
Au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité.
On connaît Daniel Cohn-Bendit. On connaît moins son frère aîné, Jean-Gabriel, dit Gaby, qui suivit un parcours politique similaire.
Espérons que ces chers enfants ont pu assister à la messe de minuit pour connaître la fin de ce conte de fées qui n’en était pas un !
L’école devient, par couches successives, le fer de lance des névroses idéologiques.
Faire disparaître l’usage du passé simple de l’enseignement, c’est appauvrir volontairement l’expression de la pensée et donc la pensée elle-même.
Le 30 octobre dernier, le gouvernement dévoilait le « plan étudiant » destiné à mettre fin au scandale du tirage au sort à l’université.
Après la départementalisation de Mayotte, le couvercle de la boite de Pandore a été pulvérisé.
Cette publication se fait au moment où les universités fixent leurs capacités d’accueil dans leurs différentes licences.
Les résultats de ces laboratoires grandeur nature prouvent qu’un tel modèle mériterait d’être reproduit.
Dans une société qui ne fonctionne qu’aux marqueurs sociaux, le portable est le sésame qui vous fait accéder au groupe.
Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.
Non seulement les gamins ânonnent, mais plus grave encore : ils ne comprennent pas le sens de ce qu’ils lisent.
On se souvient de la polémique suscitée par les enseignements de langue et de culture d’origine que NVB défendait bec et ongles à l’école primaire.
Il faudra que, pendant l’année scolaire, le conseil de classe alerte l’élève sur un danger de redoublement.
M. Blanquer a eu l’immense habileté d’utiliser un biais pour justifier le virage à 180 degrés qu’il compte imprimer à l’Éducation nationale.
Il a fallu deux mois à Jean-Michel Blanquer pour remplacer, conformément à ses prérogatives, le président démissionnaire.
La peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.
Le projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants vient d’être présenté en Conseil des ministres.
Leur objectif n’est pas de transmettre le savoir. Dans leurs bouches, il n’est question que de « savoir-être ».
Souhaitons bonne chance à Jean-Michel Blanquer pour sa réforme.
La meilleure sanction qu’on puisse leur infliger, c’est de dénoncer leur imposture.
La France se classe 32e pour ce qui est du niveau en anglais de sa population.
À un rythme soutenu mais de manière pragmatique, Jean-Marie Blanquer met en place les conditions d’un redressement de l’école.
On laisse 58.000 étudiants en première année de médecine, quand 14 % seulement intègrent la deuxième année !
Pourquoi payer autant pour une organisation qui sert régulièrement une idéologie dangereuse, refuge des dictateurs de toutes sortes ?
On peut imaginer le choc qu’ils ont subi et leur besoin de trouver un peu de réconfort ou de sécurité.
Que penser du nouveau système d’orientation destiné à remplacer le calamiteux « Admission Post-bac » pour les lycéens, annoncé hier ?
L’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires vient d’être votée dans le comté du Lancashire.
Au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité.
On connaît Daniel Cohn-Bendit. On connaît moins son frère aîné, Jean-Gabriel, dit Gaby, qui suivit un parcours politique similaire.
Espérons que ces chers enfants ont pu assister à la messe de minuit pour connaître la fin de ce conte de fées qui n’en était pas un !
L’école devient, par couches successives, le fer de lance des névroses idéologiques.
Faire disparaître l’usage du passé simple de l’enseignement, c’est appauvrir volontairement l’expression de la pensée et donc la pensée elle-même.
Le 30 octobre dernier, le gouvernement dévoilait le « plan étudiant » destiné à mettre fin au scandale du tirage au sort à l’université.
Après la départementalisation de Mayotte, le couvercle de la boite de Pandore a été pulvérisé.
Cette publication se fait au moment où les universités fixent leurs capacités d’accueil dans leurs différentes licences.
Les résultats de ces laboratoires grandeur nature prouvent qu’un tel modèle mériterait d’être reproduit.
Dans une société qui ne fonctionne qu’aux marqueurs sociaux, le portable est le sésame qui vous fait accéder au groupe.
Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.
Non seulement les gamins ânonnent, mais plus grave encore : ils ne comprennent pas le sens de ce qu’ils lisent.
On se souvient de la polémique suscitée par les enseignements de langue et de culture d’origine que NVB défendait bec et ongles à l’école primaire.
Il faudra que, pendant l’année scolaire, le conseil de classe alerte l’élève sur un danger de redoublement.
M. Blanquer a eu l’immense habileté d’utiliser un biais pour justifier le virage à 180 degrés qu’il compte imprimer à l’Éducation nationale.
Il a fallu deux mois à Jean-Michel Blanquer pour remplacer, conformément à ses prérogatives, le président démissionnaire.
La peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.
Le projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants vient d’être présenté en Conseil des ministres.
Leur objectif n’est pas de transmettre le savoir. Dans leurs bouches, il n’est question que de « savoir-être ».
Souhaitons bonne chance à Jean-Michel Blanquer pour sa réforme.
La meilleure sanction qu’on puisse leur infliger, c’est de dénoncer leur imposture.
La France se classe 32e pour ce qui est du niveau en anglais de sa population.
À un rythme soutenu mais de manière pragmatique, Jean-Marie Blanquer met en place les conditions d’un redressement de l’école.
On laisse 58.000 étudiants en première année de médecine, quand 14 % seulement intègrent la deuxième année !
Pourquoi payer autant pour une organisation qui sert régulièrement une idéologie dangereuse, refuge des dictateurs de toutes sortes ?
On peut imaginer le choc qu’ils ont subi et leur besoin de trouver un peu de réconfort ou de sécurité.
Que penser du nouveau système d’orientation destiné à remplacer le calamiteux « Admission Post-bac » pour les lycéens, annoncé hier ?
L’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires vient d’être votée dans le comté du Lancashire.
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