Education

La situation actuelle est catastrophique : nous sommes derniers en maths en Europe au classement TIMS qui mesure les performances des écoliers de CM1 et la déroute s’accentue encore au lycée et au collège.
Après la Tunisie, le couple présidentiel s’est envolé pour le Sénégal pour un voyage centré sur les questions d’éducation.
Confites de bons sentiments, qui sont ce qu’est la graisse à un foie d’oie, elles ont trouvé le Graal, qui ressemble pathétiquement à ce genre de mignardise sociologique qu’affectionnent les pédagogues.
La direction de l’établissement semble aux abonnés absents depuis bien longtemps…
Comment restaurer la confiance entre les familles et l’institution scolaire ?
Restons vigilants devant des effets de manche qui pourraient se révéler n’être qu’un arbre conservateur qui cache la forêt progressiste.
On met l’accent sur la forme au détriment du fond.
Récemment nommée à la tête du conseil supérieur des programmes (CSP), Saoud Ayada a jeté un pavé pour le moins politiquement incorrect dans la mare du sacro-saint « vivre-ensemble ».
La France a pris l’habitude de traiter les citoyens de bonne foi comme des malfaiteurs.
Ne peuvent s’en sortir que les privilégiés, ceux dont les parents vont de diverses manières compenser par des sorties, des lectures, des cours particuliers, des manuels échangés sous le manteau entre amis.
Il avait fallu deux mandats d’Obama pour que l’indice boursier Dow Jones monte de 10.000 points. Après treize mois de régime Trump, l’indice a gagné 8.000 points et près de 30 %.
Alors, on fait quoi ? On laisse se construire cette immense tour de Babel ?
Le pouvoir, toujours prompt à s’autocongratuler, prétend que la formule Parcoursup (qui remplace APB) est géniale et qu’elle permettra une répartition harmonieuse des bacheliers.
Jeudi 4 janvier 2018 est paru, au Bulletin officiel, un texte signé du ministre de l’Éducation nationale portant sur la réforme du brevet des collèges.
A partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard).
Globalement cette réforme apparaît équilibrée.
Au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité.
On connaît Daniel Cohn-Bendit. On connaît moins son frère aîné, Jean-Gabriel, dit Gaby, qui suivit un parcours politique similaire.
Espérons que ces chers enfants ont pu assister à la messe de minuit pour connaître la fin de ce conte de fées qui n’en était pas un !
L’école devient, par couches successives, le fer de lance des névroses idéologiques.
Faire disparaître l’usage du passé simple de l’enseignement, c’est appauvrir volontairement l’expression de la pensée et donc la pensée elle-même.
Le 30 octobre dernier, le gouvernement dévoilait le « plan étudiant » destiné à mettre fin au scandale du tirage au sort à l’université.
Après la départementalisation de Mayotte, le couvercle de la boite de Pandore a été pulvérisé.

Cette publication se fait au moment où les universités fixent leurs capacités d’accueil dans leurs différentes licences.
Les résultats de ces laboratoires grandeur nature prouvent qu’un tel modèle mériterait d’être reproduit.
Dans une société qui ne fonctionne qu’aux marqueurs sociaux, le portable est le sésame qui vous fait accéder au groupe.

Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.
Non seulement les gamins ânonnent, mais plus grave encore : ils ne comprennent pas le sens de ce qu’ils lisent.

La situation actuelle est catastrophique : nous sommes derniers en maths en Europe au classement TIMS qui mesure les performances des écoliers de CM1 et la déroute s’accentue encore au lycée et au collège.
Après la Tunisie, le couple présidentiel s’est envolé pour le Sénégal pour un voyage centré sur les questions d’éducation.
Confites de bons sentiments, qui sont ce qu’est la graisse à un foie d’oie, elles ont trouvé le Graal, qui ressemble pathétiquement à ce genre de mignardise sociologique qu’affectionnent les pédagogues.
La direction de l’établissement semble aux abonnés absents depuis bien longtemps…
Comment restaurer la confiance entre les familles et l’institution scolaire ?
Restons vigilants devant des effets de manche qui pourraient se révéler n’être qu’un arbre conservateur qui cache la forêt progressiste.
On met l’accent sur la forme au détriment du fond.
Récemment nommée à la tête du conseil supérieur des programmes (CSP), Saoud Ayada a jeté un pavé pour le moins politiquement incorrect dans la mare du sacro-saint « vivre-ensemble ».
La France a pris l’habitude de traiter les citoyens de bonne foi comme des malfaiteurs.
Ne peuvent s’en sortir que les privilégiés, ceux dont les parents vont de diverses manières compenser par des sorties, des lectures, des cours particuliers, des manuels échangés sous le manteau entre amis.
Il avait fallu deux mandats d’Obama pour que l’indice boursier Dow Jones monte de 10.000 points. Après treize mois de régime Trump, l’indice a gagné 8.000 points et près de 30 %.
Alors, on fait quoi ? On laisse se construire cette immense tour de Babel ?
Le pouvoir, toujours prompt à s’autocongratuler, prétend que la formule Parcoursup (qui remplace APB) est géniale et qu’elle permettra une répartition harmonieuse des bacheliers.
Jeudi 4 janvier 2018 est paru, au Bulletin officiel, un texte signé du ministre de l’Éducation nationale portant sur la réforme du brevet des collèges.
A partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard).
Globalement cette réforme apparaît équilibrée.
Au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité.
On connaît Daniel Cohn-Bendit. On connaît moins son frère aîné, Jean-Gabriel, dit Gaby, qui suivit un parcours politique similaire.
Espérons que ces chers enfants ont pu assister à la messe de minuit pour connaître la fin de ce conte de fées qui n’en était pas un !
L’école devient, par couches successives, le fer de lance des névroses idéologiques.
Faire disparaître l’usage du passé simple de l’enseignement, c’est appauvrir volontairement l’expression de la pensée et donc la pensée elle-même.
Le 30 octobre dernier, le gouvernement dévoilait le « plan étudiant » destiné à mettre fin au scandale du tirage au sort à l’université.
Après la départementalisation de Mayotte, le couvercle de la boite de Pandore a été pulvérisé.

Cette publication se fait au moment où les universités fixent leurs capacités d’accueil dans leurs différentes licences.
Les résultats de ces laboratoires grandeur nature prouvent qu’un tel modèle mériterait d’être reproduit.
Dans une société qui ne fonctionne qu’aux marqueurs sociaux, le portable est le sésame qui vous fait accéder au groupe.

Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.
Non seulement les gamins ânonnent, mais plus grave encore : ils ne comprennent pas le sens de ce qu’ils lisent.
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