Education
On se souvient de la polémique suscitée par les enseignements de langue et de culture d’origine que NVB défendait bec et ongles à l’école primaire.
Il faudra que, pendant l’année scolaire, le conseil de classe alerte l’élève sur un danger de redoublement.
M. Blanquer a eu l’immense habileté d’utiliser un biais pour justifier le virage à 180 degrés qu’il compte imprimer à l’Éducation nationale.
Il a fallu deux mois à Jean-Michel Blanquer pour remplacer, conformément à ses prérogatives, le président démissionnaire.
La peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.

Le projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants vient d’être présenté en Conseil des ministres.
Leur objectif n’est pas de transmettre le savoir. Dans leurs bouches, il n’est question que de « savoir-être ».
Souhaitons bonne chance à Jean-Michel Blanquer pour sa réforme.

La meilleure sanction qu’on puisse leur infliger, c’est de dénoncer leur imposture.

La France se classe 32e pour ce qui est du niveau en anglais de sa population.

À un rythme soutenu mais de manière pragmatique, Jean-Marie Blanquer met en place les conditions d’un redressement de l’école.

On laisse 58.000 étudiants en première année de médecine, quand 14 % seulement intègrent la deuxième année !
Pourquoi payer autant pour une organisation qui sert régulièrement une idéologie dangereuse, refuge des dictateurs de toutes sortes ?

On peut imaginer le choc qu’ils ont subi et leur besoin de trouver un peu de réconfort ou de sécurité.

Que penser du nouveau système d’orientation destiné à remplacer le calamiteux « Admission Post-bac » pour les lycéens, annoncé hier ?
L’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires vient d’être votée dans le comté du Lancashire.
À l’heure où nous parlons, la situation dans les universités est proche du désastre.
La volonté du ministre de réformer le bac n’est pas sans légitimité ; encore faut-il en trouver des modalités qui ne le dévalorisent pas davantage.

Le célèbre mathématicien Cédric Villani, par ailleurs député, a été chargé par M. Blanquer d’une mission de sauvetage de sa discipline.
Certains appelleront son livre pamphlet ou brûlot, quand il n’est, en réalité, qu’un constat, un témoignage sans fard.
Nous sommes derrière Singapour, le Japon, l’Estonie, Taïwan, la Finlande, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, l’Australie, le Royaume-Uni, l’Allemagne…
Cette année, comme depuis vingt ans que j’enseigne, je me suis dit que j’allais encore mieux préparer mes élèves de 3e à l’examen qui les attend.
L’UNESCO pourtant n’a pas un bilan totalement négatif.

À ma gauche, l’islamisation croissante. À ma droite, la dérive d’une société libertaire. Au centre, la femme, qui n’y peut mais, prise en étau.
Il a fait mieux que 80 % des postulants humains sur des exercices qu’on estimait jusqu’ici propres aux hommes.

Le plus amusant était la première question : « À ton avis, pourquoi sont-ils armés ? »

Une forme de cuistrerie pour feindre d’être un « spécialiste » – ou se persuader qu’on en est un.

Le destin des enfants pauvres mais doués est non seulement compromis par leurs parents déséquilibrés mais aussi par l’armada des formateurs « à l’écoute ».
On se souvient de la polémique suscitée par les enseignements de langue et de culture d’origine que NVB défendait bec et ongles à l’école primaire.
Il faudra que, pendant l’année scolaire, le conseil de classe alerte l’élève sur un danger de redoublement.
M. Blanquer a eu l’immense habileté d’utiliser un biais pour justifier le virage à 180 degrés qu’il compte imprimer à l’Éducation nationale.
Il a fallu deux mois à Jean-Michel Blanquer pour remplacer, conformément à ses prérogatives, le président démissionnaire.
La peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.

Le projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants vient d’être présenté en Conseil des ministres.
Leur objectif n’est pas de transmettre le savoir. Dans leurs bouches, il n’est question que de « savoir-être ».
Souhaitons bonne chance à Jean-Michel Blanquer pour sa réforme.

La meilleure sanction qu’on puisse leur infliger, c’est de dénoncer leur imposture.

La France se classe 32e pour ce qui est du niveau en anglais de sa population.

À un rythme soutenu mais de manière pragmatique, Jean-Marie Blanquer met en place les conditions d’un redressement de l’école.

On laisse 58.000 étudiants en première année de médecine, quand 14 % seulement intègrent la deuxième année !
Pourquoi payer autant pour une organisation qui sert régulièrement une idéologie dangereuse, refuge des dictateurs de toutes sortes ?

On peut imaginer le choc qu’ils ont subi et leur besoin de trouver un peu de réconfort ou de sécurité.

Que penser du nouveau système d’orientation destiné à remplacer le calamiteux « Admission Post-bac » pour les lycéens, annoncé hier ?
L’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires vient d’être votée dans le comté du Lancashire.
À l’heure où nous parlons, la situation dans les universités est proche du désastre.
La volonté du ministre de réformer le bac n’est pas sans légitimité ; encore faut-il en trouver des modalités qui ne le dévalorisent pas davantage.

Le célèbre mathématicien Cédric Villani, par ailleurs député, a été chargé par M. Blanquer d’une mission de sauvetage de sa discipline.
Certains appelleront son livre pamphlet ou brûlot, quand il n’est, en réalité, qu’un constat, un témoignage sans fard.
Nous sommes derrière Singapour, le Japon, l’Estonie, Taïwan, la Finlande, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, l’Australie, le Royaume-Uni, l’Allemagne…
Cette année, comme depuis vingt ans que j’enseigne, je me suis dit que j’allais encore mieux préparer mes élèves de 3e à l’examen qui les attend.
L’UNESCO pourtant n’a pas un bilan totalement négatif.

À ma gauche, l’islamisation croissante. À ma droite, la dérive d’une société libertaire. Au centre, la femme, qui n’y peut mais, prise en étau.
Il a fait mieux que 80 % des postulants humains sur des exercices qu’on estimait jusqu’ici propres aux hommes.

Le plus amusant était la première question : « À ton avis, pourquoi sont-ils armés ? »

Une forme de cuistrerie pour feindre d’être un « spécialiste » – ou se persuader qu’on en est un.

Le destin des enfants pauvres mais doués est non seulement compromis par leurs parents déséquilibrés mais aussi par l’armada des formateurs « à l’écoute ».
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