Education
En matière d’immigration, ceux qui décident ne sont ni les ministres, ni les préfets, mais les juges.
Cette semaine, on parle beaucoup de la rentrée des élèves, des premières réformes lancées par le nouveau ministre.
Au risque de contredire le ministre Blanquer, heureusement qu’il est de droite pour avoir en charge une institution qui n’est ni de droite ni de gauche.
Dans l’interview qu’il a donnée au sujet de l’enjeu de la lecture au CP, M. Blanquer pointe une dérive de l’enseignement ces dernières décennies.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?
La solution au problème est dans la modalité d’accès à l’université.
À vouloir donner « les mêmes chances » à chacun, à vouloir un « haut niveau » pour tous, on en est arrivé à un bas niveau pour tous.
M. Blanquer esquisse les contours de ce qu’aurait dû être une réforme de droite de l’Éducation.
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
Plutôt que de risquer de désorganiser encore plus l’enseignement, ne vaudrait-il pas mieux trouver des solutions qui permissent de diminuer le nombre d’absences ?
Faire lire les Fables de La Fontaine est à la fois judicieux et habile…
Il est rare de pouvoir reprendre, dans le titre d’un article, la formule choc d’un ministre de l’Éducation nationale.
Il faut tordre le cou à une idée toute faite : le calendrier scolaire n’est pas dicté par des raisons principalement pédagogiques.
De quoi désespérer ceux qui s’étaient lancés par vocation dans ce métier et les dégoûter définitivement de l’enseignement !
Il n’est pas étonnant que les jeunes se détournent de l’enseignement.
Les débats donnent l’illusion d’une réflexion collective et préparent l’opinion à accepter le changement, fût-il délétère.
Jean-Michel Blanquer, semble vouloir perpétuer la tradition, initiée par madame Najat Vallaud-Belkacem, d’écrire régulièrement aux agents de son ministère.
La crise du recrutement est une réalité, mais il faut en distinguer les véritables causes.
Les résultats obtenus par les 699.400 candidats qui ont passé le bac cette année ont été publiés ce jeudi.
Jean-Michel Blanquer a annoncé, dès sa nomination, qu’il était « favorable à un bac musclé ».
Le gouvernement semble avoir tranché en faveur d’un bac qui serait le premier pas dans le supérieur et non un diplôme de fin d’études secondaires.
L’inégalité criante des collèges n’est pas une fatalité, mais le résultat d’une politique.
L’expression est déplorable avec beaucoup de phrases sans verbe, l’orthographe est un souvenir d’une autre époque, les majuscules… un soldat inconnu.
Cet enseignement purement formel évite les recours, veille à l’égalité de tous dans la nullité pour tous.
Pour Jean-Paul Mongin, délégué général de SOS Éducation, la grogne des syndicats enseignants témoigne de leur opposition systématique à toute réforme.
En matière d’immigration, ceux qui décident ne sont ni les ministres, ni les préfets, mais les juges.
Cette semaine, on parle beaucoup de la rentrée des élèves, des premières réformes lancées par le nouveau ministre.
Au risque de contredire le ministre Blanquer, heureusement qu’il est de droite pour avoir en charge une institution qui n’est ni de droite ni de gauche.
Dans l’interview qu’il a donnée au sujet de l’enjeu de la lecture au CP, M. Blanquer pointe une dérive de l’enseignement ces dernières décennies.
Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.
L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?
La solution au problème est dans la modalité d’accès à l’université.
À vouloir donner « les mêmes chances » à chacun, à vouloir un « haut niveau » pour tous, on en est arrivé à un bas niveau pour tous.
M. Blanquer esquisse les contours de ce qu’aurait dû être une réforme de droite de l’Éducation.
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
Plutôt que de risquer de désorganiser encore plus l’enseignement, ne vaudrait-il pas mieux trouver des solutions qui permissent de diminuer le nombre d’absences ?
Faire lire les Fables de La Fontaine est à la fois judicieux et habile…
Il est rare de pouvoir reprendre, dans le titre d’un article, la formule choc d’un ministre de l’Éducation nationale.
Il faut tordre le cou à une idée toute faite : le calendrier scolaire n’est pas dicté par des raisons principalement pédagogiques.
De quoi désespérer ceux qui s’étaient lancés par vocation dans ce métier et les dégoûter définitivement de l’enseignement !
Il n’est pas étonnant que les jeunes se détournent de l’enseignement.
Les débats donnent l’illusion d’une réflexion collective et préparent l’opinion à accepter le changement, fût-il délétère.
Jean-Michel Blanquer, semble vouloir perpétuer la tradition, initiée par madame Najat Vallaud-Belkacem, d’écrire régulièrement aux agents de son ministère.
La crise du recrutement est une réalité, mais il faut en distinguer les véritables causes.
Les résultats obtenus par les 699.400 candidats qui ont passé le bac cette année ont été publiés ce jeudi.
Jean-Michel Blanquer a annoncé, dès sa nomination, qu’il était « favorable à un bac musclé ».
Le gouvernement semble avoir tranché en faveur d’un bac qui serait le premier pas dans le supérieur et non un diplôme de fin d’études secondaires.
L’inégalité criante des collèges n’est pas une fatalité, mais le résultat d’une politique.
L’expression est déplorable avec beaucoup de phrases sans verbe, l’orthographe est un souvenir d’une autre époque, les majuscules… un soldat inconnu.
Cet enseignement purement formel évite les recours, veille à l’égalité de tous dans la nullité pour tous.
Pour Jean-Paul Mongin, délégué général de SOS Éducation, la grogne des syndicats enseignants témoigne de leur opposition systématique à toute réforme.
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