Education

On a rarement vu un personnage aussi imbu de lui-même.
Il est clairement expliqué que ces écoles sont appelées à devenir inter-religieuses, c’est à dire sans professer la foi catholique.
Une excellente nouvelle : Michel Lussault, président du Conseil supérieur des programmes, démissionne.
Offrir à mes petits les fables de La Fontaine dans du papier de soie ne suffira pas, ils les ont déjà.
Ignoreraient-ils que la dépendance au tabac ouvre la porte à celle du cannabis, et à d’autres drogues ?
Près de la moitié des élèves scolarisés dans des collèges ZEP déclarent avoir été témoins « d’actes de cruauté ou d’humiliation ».

Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes ?
Stéphane Bern fait l’objet d’attaques d’une poignée d’historiens qui l’accusent d’être un « historien de garde ».

Les Éditions Nathan nous proposent dans un nouveau manuel de rentrée 2017 un exercice quelque peu étonnant.

Il reproche à Jean-Michel Blanquer de se comporter « comme un ministre ‘omnicompétent’…«

Vous voulez rétablir le lien de confiance entre les enseignants, leur administration et les familles : c’est heureux.
La radicalisation irradie l’ensemble de la société, comme chacun peut s’en rendre compte.
Cette préoccupation ne doit pas occulter la nécessité d’une réflexion globale sur les excès du numérique.
Jusqu’à présent, rien n’a été organisé pour lutter efficacement contre ce prosélytisme.

Les chefs-d’œuvre que réalisent les compagnons du Tour de France montrent qu’il y a aussi une intelligence manuelle.

Dans une lettre datée du 6 septembre et adressée aux professeurs et chefs d’établissement, il les flatte, les chouchoute.
En matière d’immigration, ceux qui décident ne sont ni les ministres, ni les préfets, mais les juges.

Cette semaine, on parle beaucoup de la rentrée des élèves, des premières réformes lancées par le nouveau ministre.

Au risque de contredire le ministre Blanquer, heureusement qu’il est de droite pour avoir en charge une institution qui n’est ni de droite ni de gauche.

Dans l’interview qu’il a donnée au sujet de l’enjeu de la lecture au CP, M. Blanquer pointe une dérive de l’enseignement ces dernières décennies.

Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.

L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?

La solution au problème est dans la modalité d’accès à l’université.
À vouloir donner « les mêmes chances » à chacun, à vouloir un « haut niveau » pour tous, on en est arrivé à un bas niveau pour tous.

M. Blanquer esquisse les contours de ce qu’aurait dû être une réforme de droite de l’Éducation.
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.

On a rarement vu un personnage aussi imbu de lui-même.
Il est clairement expliqué que ces écoles sont appelées à devenir inter-religieuses, c’est à dire sans professer la foi catholique.
Une excellente nouvelle : Michel Lussault, président du Conseil supérieur des programmes, démissionne.
Offrir à mes petits les fables de La Fontaine dans du papier de soie ne suffira pas, ils les ont déjà.
Ignoreraient-ils que la dépendance au tabac ouvre la porte à celle du cannabis, et à d’autres drogues ?
Près de la moitié des élèves scolarisés dans des collèges ZEP déclarent avoir été témoins « d’actes de cruauté ou d’humiliation ».

Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes ?
Stéphane Bern fait l’objet d’attaques d’une poignée d’historiens qui l’accusent d’être un « historien de garde ».

Les Éditions Nathan nous proposent dans un nouveau manuel de rentrée 2017 un exercice quelque peu étonnant.

Il reproche à Jean-Michel Blanquer de se comporter « comme un ministre ‘omnicompétent’…«

Vous voulez rétablir le lien de confiance entre les enseignants, leur administration et les familles : c’est heureux.
La radicalisation irradie l’ensemble de la société, comme chacun peut s’en rendre compte.
Cette préoccupation ne doit pas occulter la nécessité d’une réflexion globale sur les excès du numérique.
Jusqu’à présent, rien n’a été organisé pour lutter efficacement contre ce prosélytisme.

Les chefs-d’œuvre que réalisent les compagnons du Tour de France montrent qu’il y a aussi une intelligence manuelle.

Dans une lettre datée du 6 septembre et adressée aux professeurs et chefs d’établissement, il les flatte, les chouchoute.
En matière d’immigration, ceux qui décident ne sont ni les ministres, ni les préfets, mais les juges.

Cette semaine, on parle beaucoup de la rentrée des élèves, des premières réformes lancées par le nouveau ministre.

Au risque de contredire le ministre Blanquer, heureusement qu’il est de droite pour avoir en charge une institution qui n’est ni de droite ni de gauche.

Dans l’interview qu’il a donnée au sujet de l’enjeu de la lecture au CP, M. Blanquer pointe une dérive de l’enseignement ces dernières décennies.

Il est d’usage de vouloir démolir les égéries de ses adversaires. Pas ses propres icônes. La démarche, on en conviendra, est assez, euh… originale.

L’université pour tous est un leurre. Prendre en charge des lycéens promis à l’échec alourdit et dénature ses missions.
Si la carte scolaire affectait votre enfant dans un établissement où se retrouvent les enfants majoritairement d’origine immigrée, que feriez-vous ?

La solution au problème est dans la modalité d’accès à l’université.
À vouloir donner « les mêmes chances » à chacun, à vouloir un « haut niveau » pour tous, on en est arrivé à un bas niveau pour tous.

M. Blanquer esquisse les contours de ce qu’aurait dû être une réforme de droite de l’Éducation.
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
