Education
Année après année, les mêmes témoignages stupéfaits font la une : les cathos ont fait du catho !
Aujourd’hui, quand je dis que je suis enseignante, on me répond généralement « Je n’aimerais pas être à votre place ».
Un million d’euros et six mois de travaux seront nécessaires pour réparer les saccages du monument historique.
Une pétition demande à la présidente « la libération immédiate et inconditionnelle » du bâtiment occupé et saccagé.
Devant la polémique autour de l’amendement, Valérie Pécresse le retire et saisit le ministre de l’Éducation nationale
Je ne sais pas si les gens se rendent bien compte de la misère profonde des écoles françaises, malgré les budgets colossaux alloués.
Après des décennies de renoncements, de lâchetés, de réformes déconnectées, les politiques et les acteurs forcenés ou forcés de l’inclusion se font les complices de la destruction programmée de l’école.
On peut toutefois douter qu’il suffise de contraindre l’ensemble de la jeunesse à participer à une sorte de jamboree républicain obligatoire pour remédier à cet échec de l’école et aux conséquences de l’immigration de masse.
Visiblement, la fabrique du crétin ne manque pas d’idées pour donner le baccalauréat aux 5 % qui y échouent encore.
Mona Ozouf affirmait, dans L’École, l’Église et la République, que l’école est le meilleur moyen de « peser sur les générations montantes ». Vincent Peillon ne
On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.
Le ministre de l’Éducation nationale adopte des « micro-mesures gadgets » et tente de pallier l’effondrement du niveau scolaire par un « bougisme politique », dénonce cet ancien inspecteur général de l’Éducation nationale.
L’auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique.
L’enseignant est-il au service de ce qu’il croit être la vérité ou est-il au service de la réussite – scolaire, sociale… – de ses élèves ?
Plusieurs élus conservateurs, aux États-Unis, ont décidé de sonner la fin de la grande récréation LGBT et, partant, de restreindre les spectacles des drag-queens, tout simplement en les interdisant aux enfants.
Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.
Pour Agnès Marion, porte-parole de Parents vigilants, il n’y a pas de témoignages de parents ou d’enfants qui ne soient anecdotiques : « Ces signaux faibles nous intéressent parce qu’en réalité, ils sont des faits de société ».
Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?
Au programme de la classe de 5e, nous avons « le roman d’aventures ». Je décide donc d’étudier un texte de Mark Twain, extrait des
Il est incontestable que certains IEP semblent s’inscrire durablement dans une démarche propagandiste.
Par quelle suite effarante de renoncements, de lâchetés, de compromissions et de mensonges peut-on laisser le ver manger tout le fruit ?
« Si la dignité et le respect sont de rigueur, Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale, à trop chercher la consensualité, tombe dans le déni…»
La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.
Peut-être serait-il, d’ailleurs, plus économique et plus formateur de rendre également l’internat obligatoire : ça apprend la vie en collectivité et on diminue les temps de trajet, donc l’empreinte carbone. Non ?
En deux ans d’existence, Le Poing levé a réussi à s’imposer au sein des conseils centraux.
Le sénateur Les Républicains et ancien inspecteur de l’Éducation nationale Max Brisson réagit pour BV au meurtre du professeur d’espagnol du lycée privé Saint-Thomas-d’Aquin de
Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.
Un de mes maîtres m’avait dit un jour que le travail d’un enseignant était justifié par la gratitude d’un seul élève.
Année après année, les mêmes témoignages stupéfaits font la une : les cathos ont fait du catho !
Aujourd’hui, quand je dis que je suis enseignante, on me répond généralement « Je n’aimerais pas être à votre place ».
Un million d’euros et six mois de travaux seront nécessaires pour réparer les saccages du monument historique.
Une pétition demande à la présidente « la libération immédiate et inconditionnelle » du bâtiment occupé et saccagé.
Devant la polémique autour de l’amendement, Valérie Pécresse le retire et saisit le ministre de l’Éducation nationale
Je ne sais pas si les gens se rendent bien compte de la misère profonde des écoles françaises, malgré les budgets colossaux alloués.
Après des décennies de renoncements, de lâchetés, de réformes déconnectées, les politiques et les acteurs forcenés ou forcés de l’inclusion se font les complices de la destruction programmée de l’école.
On peut toutefois douter qu’il suffise de contraindre l’ensemble de la jeunesse à participer à une sorte de jamboree républicain obligatoire pour remédier à cet échec de l’école et aux conséquences de l’immigration de masse.
Visiblement, la fabrique du crétin ne manque pas d’idées pour donner le baccalauréat aux 5 % qui y échouent encore.
Mona Ozouf affirmait, dans L’École, l’Église et la République, que l’école est le meilleur moyen de « peser sur les générations montantes ». Vincent Peillon ne
On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.
Le ministre de l’Éducation nationale adopte des « micro-mesures gadgets » et tente de pallier l’effondrement du niveau scolaire par un « bougisme politique », dénonce cet ancien inspecteur général de l’Éducation nationale.
L’auteur de cette tribune illustre à merveille les lieux communs et les préjugés de la pensée unique.
L’enseignant est-il au service de ce qu’il croit être la vérité ou est-il au service de la réussite – scolaire, sociale… – de ses élèves ?
Plusieurs élus conservateurs, aux États-Unis, ont décidé de sonner la fin de la grande récréation LGBT et, partant, de restreindre les spectacles des drag-queens, tout simplement en les interdisant aux enfants.
Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.
Pour Agnès Marion, porte-parole de Parents vigilants, il n’y a pas de témoignages de parents ou d’enfants qui ne soient anecdotiques : « Ces signaux faibles nous intéressent parce qu’en réalité, ils sont des faits de société ».
Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?
Au programme de la classe de 5e, nous avons « le roman d’aventures ». Je décide donc d’étudier un texte de Mark Twain, extrait des
Il est incontestable que certains IEP semblent s’inscrire durablement dans une démarche propagandiste.
Par quelle suite effarante de renoncements, de lâchetés, de compromissions et de mensonges peut-on laisser le ver manger tout le fruit ?
« Si la dignité et le respect sont de rigueur, Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale, à trop chercher la consensualité, tombe dans le déni…»
La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.
Peut-être serait-il, d’ailleurs, plus économique et plus formateur de rendre également l’internat obligatoire : ça apprend la vie en collectivité et on diminue les temps de trajet, donc l’empreinte carbone. Non ?
En deux ans d’existence, Le Poing levé a réussi à s’imposer au sein des conseils centraux.
Le sénateur Les Républicains et ancien inspecteur de l’Éducation nationale Max Brisson réagit pour BV au meurtre du professeur d’espagnol du lycée privé Saint-Thomas-d’Aquin de
Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.
Un de mes maîtres m’avait dit un jour que le travail d’un enseignant était justifié par la gratitude d’un seul élève.
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