Discours
Emmanuel Macron s’est exprimé devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles, ce 9 juillet. À l’issue du discours du président de la République, le

À Versailles, le Président Macron n’a guère prononcé qu’un discours de politique générale.
Se mettre au niveau… Du haut de la tribune du Congrès de Versailles… On doit pouvoir trouver mieux pour éviter ce sentiment de mépris que ressent « son » peuple… à 84 % !

Le bon plaisir d’un président de rassembler la représentation nationale pour un probable exercice d’autosatisfaction.
Les forces de l’ordre sont littéralement traînées dans la boue des cités racailleuses…

Monsieur le maire est amateur de tennis et suit la baballe, un coup on regarde vers la gauche et un autre vers la droite.

Nous vivons, sur ce plan, un curieux temps. C’est celui de Big Mother…

Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…

La photo du couple présidentiel entouré de danseurs auprès desquels les Village People faisaient figure de Petits Chanteurs à la croix de bois n’en finit plus de faire les gros titres des gazettes.
Les peuples seraient-ils frappés d’une maladie mentale qui toucherait une majorité de leurs membres ?
Si l’érotisation de l’enfance est un fait social contre lequel nous ne luttons pas, alors il est vraisemblable que des prédateurs continueront de se prévaloir d’un consentement que l’air du temps façonne pour eux.
Il y a fort à parier que des fermetures « sèches » de commissariats suivront.

Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.

Devrons-nous demain, tels les premiers chrétiens, nous réunir dans d’obscures catacombes pour pouvoir échanger de libres propos ?
Cette fenêtre est une technique de manipulation des idées et du discours, utilisée dans une démocratie afin de légaliser n’importe quoi, en s’appuyant sur la science, les médias, les lobbies, les groupes de pression.
Emmanuel Macron a rendu visite, ce mardi, au pape François. Samuel Pruvot, journaliste à Famille chrétienne, accompagnait la visite présidentielle. Il réagit depuis Rome au
Le festival Solidays qui s’est achevé dimanche a réuni 200.000 jeunes sur la pelouse de Longchamp à Paris. Conçu à l’origine pour collecter des fonds

Julien Hamel, 26 ans, a été ordonné dimanche en la cathédrale Notre-Dame de Rouen, « exactement soixante ans après l’ordination du père Jacques Hamel, le 30 juin 1958, dans cette même cathédrale… ».
Nos dirigeants se sentent plus d’affinités avec les rois du pétrole, pratiquant un islam rigide, qu’avec des pays européens qui veulent résister à l’immigration sauvage.
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?

Emmanuel Macron se laisse aller.
On est en admiration devant ce culot arrogant qui consiste à installer le chaos et à stigmatiser, avec cette violence idéologique rappelant les belles années de 1917 en Union soviétique, ceux qui réagissent à bon droit.
« C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France ! » conclut, par ces mots, de Gaulle dans son discours de juin 1958 sur le Forum d’Alger. Dommage que, quatre ans plus tard, les harkis aient eu moins de chance que les migrants d’aujourd’hui…

Un couple de Saône-et-Loire a répondu au Président par un envoi – un carton rempli de vaisselle – pour lui éviter « de claquer un pognon de dingue ».
Le Président Emmanuel Macron a dénoncé, jeudi, lors d’un discours à Quimper, « la lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît ». Le sénateur RN

Le Président prend le risque qu’un jour, de très nombreux Français lui disent, chacun à sa façon, et plus ou moins élégamment : « Cela suffit, Monsieur le Président » ou « Casse-toi Manu ! »

Le président de la République estime que notre pays a fait son temps.
« C’est un moyen de souder toute la gauche, notamment les communistes de Podemos, et de répondre à une vieille frustration: celle de n’avoir pas réussi à renverser le général Franco. »
Emmanuel Macron s’est exprimé devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles, ce 9 juillet. À l’issue du discours du président de la République, le

À Versailles, le Président Macron n’a guère prononcé qu’un discours de politique générale.
Se mettre au niveau… Du haut de la tribune du Congrès de Versailles… On doit pouvoir trouver mieux pour éviter ce sentiment de mépris que ressent « son » peuple… à 84 % !

Le bon plaisir d’un président de rassembler la représentation nationale pour un probable exercice d’autosatisfaction.
Les forces de l’ordre sont littéralement traînées dans la boue des cités racailleuses…

Monsieur le maire est amateur de tennis et suit la baballe, un coup on regarde vers la gauche et un autre vers la droite.

Nous vivons, sur ce plan, un curieux temps. C’est celui de Big Mother…

Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…

La photo du couple présidentiel entouré de danseurs auprès desquels les Village People faisaient figure de Petits Chanteurs à la croix de bois n’en finit plus de faire les gros titres des gazettes.
Les peuples seraient-ils frappés d’une maladie mentale qui toucherait une majorité de leurs membres ?
Si l’érotisation de l’enfance est un fait social contre lequel nous ne luttons pas, alors il est vraisemblable que des prédateurs continueront de se prévaloir d’un consentement que l’air du temps façonne pour eux.
Il y a fort à parier que des fermetures « sèches » de commissariats suivront.

Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.

Devrons-nous demain, tels les premiers chrétiens, nous réunir dans d’obscures catacombes pour pouvoir échanger de libres propos ?
Cette fenêtre est une technique de manipulation des idées et du discours, utilisée dans une démocratie afin de légaliser n’importe quoi, en s’appuyant sur la science, les médias, les lobbies, les groupes de pression.
Emmanuel Macron a rendu visite, ce mardi, au pape François. Samuel Pruvot, journaliste à Famille chrétienne, accompagnait la visite présidentielle. Il réagit depuis Rome au
Le festival Solidays qui s’est achevé dimanche a réuni 200.000 jeunes sur la pelouse de Longchamp à Paris. Conçu à l’origine pour collecter des fonds

Julien Hamel, 26 ans, a été ordonné dimanche en la cathédrale Notre-Dame de Rouen, « exactement soixante ans après l’ordination du père Jacques Hamel, le 30 juin 1958, dans cette même cathédrale… ».
Nos dirigeants se sentent plus d’affinités avec les rois du pétrole, pratiquant un islam rigide, qu’avec des pays européens qui veulent résister à l’immigration sauvage.
Nous aurions une obligation morale indépassable supérieure et comminatoire de recevoir nos frères noirs et nos cousins maghrébins. Au nom de quoi ?

Emmanuel Macron se laisse aller.
On est en admiration devant ce culot arrogant qui consiste à installer le chaos et à stigmatiser, avec cette violence idéologique rappelant les belles années de 1917 en Union soviétique, ceux qui réagissent à bon droit.
« C’est beau, c’est grand, c’est généreux, la France ! » conclut, par ces mots, de Gaulle dans son discours de juin 1958 sur le Forum d’Alger. Dommage que, quatre ans plus tard, les harkis aient eu moins de chance que les migrants d’aujourd’hui…

Un couple de Saône-et-Loire a répondu au Président par un envoi – un carton rempli de vaisselle – pour lui éviter « de claquer un pognon de dingue ».
Le Président Emmanuel Macron a dénoncé, jeudi, lors d’un discours à Quimper, « la lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît ». Le sénateur RN

Le Président prend le risque qu’un jour, de très nombreux Français lui disent, chacun à sa façon, et plus ou moins élégamment : « Cela suffit, Monsieur le Président » ou « Casse-toi Manu ! »

Le président de la République estime que notre pays a fait son temps.
« C’est un moyen de souder toute la gauche, notamment les communistes de Podemos, et de répondre à une vieille frustration: celle de n’avoir pas réussi à renverser le général Franco. »
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