Environnement
Christian Estrosi, maire de Nice, tente immédiatement d’allumer des contre-feux et réagit.
Fin décembre, les États-Unis et le Canada étaient encore frappés par des vagues de froid intenses, avec des vents de plus de 100 km/h, des températures de -20 à -40 °C…
Reste, toutefois, un défi à relever : les Jeux olympiques de 2024 à Paris risquent de favoriser l’arrivée d’un tas de touristes supplémentaires qui augmenteront sans scrupule le taux de CO2.
Chaque année, des centaines d’exploitations mettent la clef sous la porte.
La France tire-t-elle aujourd’hui les leçons du fiasco de sa voisine ? Pensez-vous !
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d’alerte écologiste. Il est l’auteur de Éoliennes : la face noire de la
Mais où sont les antispécistes ? Un volontaire, peut-être, pour grimper à 100 mètres de hauteur et verser un peu de soupe sur les pales assassines ?
À l’horizon 2025, près de 40 % du parc automobile français n’aura plus accès à une quarantaine de métropoles françaises. En première ligne, les Français des territoires ruraux, contraints de se rendre dans ces villes pour avoir accès aux services publics ou pour se rendre sur leur lieu de travail.
C’est une autre France, une France qui marche en bottes dans les forêts mais ne glisse pas : pas de ski, pas de patin à roulettes, pas de trottinette ni de skate.
Leur objectif ? Accuser publiquement le gouvernement d’« inaction climatique ».
Dans le ciel entre Paris et New York, un ange écolo est passé.
Hasard du calendrier, les deux allers-retours de ce grand Européen qu’est Emmanuel Macron au Qatar pour la Coupe du monde ont coûté environ 500.000 euros au contribuable…
Et dire qu’il aurait suffit que l’équipe de France se laisse battre dès le premier tour pour qu’une économie de 500.000 € soit réalisée sur les deniers du contribuable.
La nébuleuse écolo-anarchiste, au gauchisme le plus noir, semble derrière ce genre d’actions et ne recule devant rien.
Seul incident à déplorer : un petit garçon eut l’idée saugrenue de demander à son voisin de table : « Où tu crèches ? »
Les nerfs de Sandrine Rousseau ont lâché. La « Robespierre du climat » appelle à la révolte.
Le premier âge et le grand âge, les plus fragiles, sont menacés.
Dommage que, la semaine dernière, Léa Salamé et Hugo Clément aient refusé d’inviter quelques frères des arbres. Ils auraient pu répondre aux questions que tout le monde se pose.
Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.
Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.
Contrairement au vocabulaire largement employé par les écologistes, l’eau ne se consomme pas. Elle circule.
L’imagination de ces militants ne semble pas connaître de limites, et la violence qui s’ensuit non plus.
La comédienne sera l’arbre qui cache la forêt de ses propres écarts à la ligne écolo.
Qu’il s’agisse d’« anéantissement biologique », d’« hécatombe du vivant » ou encore d’« extinction de masse », le discours écologiste annonce un monde proche de la destruction et qui périra si les hommes ne se convertissent pas à la nouvelle doxa verte.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
Dernière Rénovation, contrairement à sa raison sociale évoquant plutôt celle d’une entreprise de travaux publics, est un chouette mouvement de jeunes engagés dans la lutte pour le climat.
Eh bien, voici que l’on semble demander aux catholiques de le redevenir un peu plus, cette fois… pour sauver la planète.
Madame Moncond’huy a subventionné à hauteur de 15.000 euros, en juin dernier, l’organisation (par Greenpeace et Extinction Rebellion) d’un « Village des alternatives »…
Christian Estrosi, maire de Nice, tente immédiatement d’allumer des contre-feux et réagit.
Fin décembre, les États-Unis et le Canada étaient encore frappés par des vagues de froid intenses, avec des vents de plus de 100 km/h, des températures de -20 à -40 °C…
Reste, toutefois, un défi à relever : les Jeux olympiques de 2024 à Paris risquent de favoriser l’arrivée d’un tas de touristes supplémentaires qui augmenteront sans scrupule le taux de CO2.
Chaque année, des centaines d’exploitations mettent la clef sous la porte.
La France tire-t-elle aujourd’hui les leçons du fiasco de sa voisine ? Pensez-vous !
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d’alerte écologiste. Il est l’auteur de Éoliennes : la face noire de la
Mais où sont les antispécistes ? Un volontaire, peut-être, pour grimper à 100 mètres de hauteur et verser un peu de soupe sur les pales assassines ?
À l’horizon 2025, près de 40 % du parc automobile français n’aura plus accès à une quarantaine de métropoles françaises. En première ligne, les Français des territoires ruraux, contraints de se rendre dans ces villes pour avoir accès aux services publics ou pour se rendre sur leur lieu de travail.
C’est une autre France, une France qui marche en bottes dans les forêts mais ne glisse pas : pas de ski, pas de patin à roulettes, pas de trottinette ni de skate.
Leur objectif ? Accuser publiquement le gouvernement d’« inaction climatique ».
Dans le ciel entre Paris et New York, un ange écolo est passé.
Hasard du calendrier, les deux allers-retours de ce grand Européen qu’est Emmanuel Macron au Qatar pour la Coupe du monde ont coûté environ 500.000 euros au contribuable…
Et dire qu’il aurait suffit que l’équipe de France se laisse battre dès le premier tour pour qu’une économie de 500.000 € soit réalisée sur les deniers du contribuable.
La nébuleuse écolo-anarchiste, au gauchisme le plus noir, semble derrière ce genre d’actions et ne recule devant rien.
Seul incident à déplorer : un petit garçon eut l’idée saugrenue de demander à son voisin de table : « Où tu crèches ? »
Les nerfs de Sandrine Rousseau ont lâché. La « Robespierre du climat » appelle à la révolte.
Le premier âge et le grand âge, les plus fragiles, sont menacés.
Dommage que, la semaine dernière, Léa Salamé et Hugo Clément aient refusé d’inviter quelques frères des arbres. Ils auraient pu répondre aux questions que tout le monde se pose.
Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.
Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.
Contrairement au vocabulaire largement employé par les écologistes, l’eau ne se consomme pas. Elle circule.
L’imagination de ces militants ne semble pas connaître de limites, et la violence qui s’ensuit non plus.
La comédienne sera l’arbre qui cache la forêt de ses propres écarts à la ligne écolo.
Qu’il s’agisse d’« anéantissement biologique », d’« hécatombe du vivant » ou encore d’« extinction de masse », le discours écologiste annonce un monde proche de la destruction et qui périra si les hommes ne se convertissent pas à la nouvelle doxa verte.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
Dernière Rénovation, contrairement à sa raison sociale évoquant plutôt celle d’une entreprise de travaux publics, est un chouette mouvement de jeunes engagés dans la lutte pour le climat.
Eh bien, voici que l’on semble demander aux catholiques de le redevenir un peu plus, cette fois… pour sauver la planète.
Madame Moncond’huy a subventionné à hauteur de 15.000 euros, en juin dernier, l’organisation (par Greenpeace et Extinction Rebellion) d’un « Village des alternatives »…
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