Environnement
Puisse le conflit ukrainien au moins révéler à l’Europe sa fragilité énergétique et contribuer à redéfinir une indispensable stratégie commune.
Paris est en guerre. Le conflit qui oppose Anne Hidalgo aux automobilistes s’intensifie. L’équipe municipale s’apprête à créer des « zones apaisées ».
Suite à la flambée des prix de l’énergie et en particulier de celle du gaz depuis l’été dernier, le président de la République a pris acte que la décarbonation de la société devrait en priorité s’appuyer sur la génération électrique nucléaire.
La défense de la nature est un sujet par trop sérieux pour être abandonné aux seuls écologistes.
Les niveaux inédits de prix atteints par le gaz, fin 2021, deviendront structurels dans les années à venir, sans présager des conflits sociaux que cette situation pourrait engendrer.
En réalité, il est mécaniquement impossible de contraindre des millions de Franciliens à remplacer leur véhicule en quelques mois, en arguant de la défense de l’environnement, alors même que ces véhicules ne sont en rien « anciens », ni même polluants.
Une décision qui avantage la France, désireuse de relancer sa filière nucléaire, mais aussi la Pologne et la République tchèque…
Heureusement, depuis la flambée des cours, le vent tourne et les langues se délient. Le Président a enfin compris l’impasse dans laquelle nous nous étions engouffrés et a revu à 180° sa politique énergétique.
Le Bordeaux légué par Alain Juppé ressemble au Paris occupé par une candidate à l’Élysée. Il ne manque rien.
Au-delà du ralliement, Aymeric Caron vise le Graal. Une place au chaud dans le palais Bourbon.
À défaut d’arroser les plantations luxuriantes, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, s’est empressé d’ouvrir le robinet d’eau froide sur les Parisiens ravis de voir disparaître ces mini-déchetteries.
On peut dès lors se demander si le gouvernement avait anticipé les conséquences de la fermeture de Fessenheim.
L’antinucléarisme de Jean-Luc Mélenchon est symptomatique du changement de logiciel de la gauche.
Pour Noël, Netflix a offert à ses abonnés, avec Don’t Look Up, une superproduction réunissant les stars du moment autour d’une parabole écolo-moralisatrice annonçant la
Léonore Moncond’huy, après avoir coupé les subventions de la ville à l’aérodrome, avait expliqué que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants aujourd’hui ».
Le manque de préparation des équipes et les divisions internes ont réduit comme peau de chagrin les projets du candidat. Ceux-ci semblent pour l’instant se résumer à la lutte contre les automobilistes.
Si Paris faisait pression pour obtenir cette classification du nucléaire en énergie verte, l’Allemagne, elle, s’y opposait.
Le bonheur jaillit de la source mondialiste : des champs d’éoliennes à perte de vue, des panneaux photovoltaïques en veux-tu en voilà…
Ces élus locaux semblent prendre un malin plaisir à s’en prendre à notre glorieuse civilisation, la remplaçant par le vide…
Dix arbres pour refroidir la terre. De la part d’enfants, c’est amusant. Venant d’adultes, c’est consternant.
Le climato-gauchisme utilise la « crainte millénaire de la fin du monde » pour imposer aux jeunes générations la vision chimérique d’une humanité sans frontières, unie, pacifiée et solidaire dans laquelle les pauvres et les conflits auraient disparu.
Ces détritus divers collectés par les balayeurs dans les rues de la ville symbolisent les gâchis de la société de consommation et, au passage, la passion de l’écolo pour le déglingué.
À défaut de cibler les responsabilités politiques, la mouvance écolo en culottes courtes culpabilise le citoyen. Le média mondialiste en redemande !
La signature de la « déclaration du droit des arbres » intervient dans le cadre de la présentation du programme « Bordeaux grandeur nature » prévoyant la plantation de 1.600 arbres sur l’ensemble de la commune.
Philippe Charlez, auteur de Utopie de la croissance verte, fait un bilan de la COP26. Un grand pas en avant ou un coup d’épée dans
Dans le JDD, Willy Schraen, président de la Fédération des chasseurs de France, souhaitait proposer aux élus ruraux un « partenariat » afin de donner
Ses propos ont suscité l’indignation habituelle des habituels indignés.
L’expérience de Flamanville n’incite guère à l’optimisme : cet EPR n’est toujours pas opérationnel, malgré un début de construction en 2007 pour production en 2018.
Puisse le conflit ukrainien au moins révéler à l’Europe sa fragilité énergétique et contribuer à redéfinir une indispensable stratégie commune.
Paris est en guerre. Le conflit qui oppose Anne Hidalgo aux automobilistes s’intensifie. L’équipe municipale s’apprête à créer des « zones apaisées ».
Suite à la flambée des prix de l’énergie et en particulier de celle du gaz depuis l’été dernier, le président de la République a pris acte que la décarbonation de la société devrait en priorité s’appuyer sur la génération électrique nucléaire.
La défense de la nature est un sujet par trop sérieux pour être abandonné aux seuls écologistes.
Les niveaux inédits de prix atteints par le gaz, fin 2021, deviendront structurels dans les années à venir, sans présager des conflits sociaux que cette situation pourrait engendrer.
En réalité, il est mécaniquement impossible de contraindre des millions de Franciliens à remplacer leur véhicule en quelques mois, en arguant de la défense de l’environnement, alors même que ces véhicules ne sont en rien « anciens », ni même polluants.
Une décision qui avantage la France, désireuse de relancer sa filière nucléaire, mais aussi la Pologne et la République tchèque…
Heureusement, depuis la flambée des cours, le vent tourne et les langues se délient. Le Président a enfin compris l’impasse dans laquelle nous nous étions engouffrés et a revu à 180° sa politique énergétique.
Le Bordeaux légué par Alain Juppé ressemble au Paris occupé par une candidate à l’Élysée. Il ne manque rien.
Au-delà du ralliement, Aymeric Caron vise le Graal. Une place au chaud dans le palais Bourbon.
À défaut d’arroser les plantations luxuriantes, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, s’est empressé d’ouvrir le robinet d’eau froide sur les Parisiens ravis de voir disparaître ces mini-déchetteries.
On peut dès lors se demander si le gouvernement avait anticipé les conséquences de la fermeture de Fessenheim.
L’antinucléarisme de Jean-Luc Mélenchon est symptomatique du changement de logiciel de la gauche.
Pour Noël, Netflix a offert à ses abonnés, avec Don’t Look Up, une superproduction réunissant les stars du moment autour d’une parabole écolo-moralisatrice annonçant la
Léonore Moncond’huy, après avoir coupé les subventions de la ville à l’aérodrome, avait expliqué que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants aujourd’hui ».
Le manque de préparation des équipes et les divisions internes ont réduit comme peau de chagrin les projets du candidat. Ceux-ci semblent pour l’instant se résumer à la lutte contre les automobilistes.
Si Paris faisait pression pour obtenir cette classification du nucléaire en énergie verte, l’Allemagne, elle, s’y opposait.
Le bonheur jaillit de la source mondialiste : des champs d’éoliennes à perte de vue, des panneaux photovoltaïques en veux-tu en voilà…
Ces élus locaux semblent prendre un malin plaisir à s’en prendre à notre glorieuse civilisation, la remplaçant par le vide…
Dix arbres pour refroidir la terre. De la part d’enfants, c’est amusant. Venant d’adultes, c’est consternant.
Le climato-gauchisme utilise la « crainte millénaire de la fin du monde » pour imposer aux jeunes générations la vision chimérique d’une humanité sans frontières, unie, pacifiée et solidaire dans laquelle les pauvres et les conflits auraient disparu.
Ces détritus divers collectés par les balayeurs dans les rues de la ville symbolisent les gâchis de la société de consommation et, au passage, la passion de l’écolo pour le déglingué.
À défaut de cibler les responsabilités politiques, la mouvance écolo en culottes courtes culpabilise le citoyen. Le média mondialiste en redemande !
La signature de la « déclaration du droit des arbres » intervient dans le cadre de la présentation du programme « Bordeaux grandeur nature » prévoyant la plantation de 1.600 arbres sur l’ensemble de la commune.
Philippe Charlez, auteur de Utopie de la croissance verte, fait un bilan de la COP26. Un grand pas en avant ou un coup d’épée dans
Dans le JDD, Willy Schraen, président de la Fédération des chasseurs de France, souhaitait proposer aux élus ruraux un « partenariat » afin de donner
Ses propos ont suscité l’indignation habituelle des habituels indignés.
L’expérience de Flamanville n’incite guère à l’optimisme : cet EPR n’est toujours pas opérationnel, malgré un début de construction en 2007 pour production en 2018.
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