EVENEMENT
Un entretien choc, indispensable pour comprendre l’ampleur d’une secousse qui n’a pas fini de provoquer des répliques.
Il faut regarder en détail les résultats donnés par le ministère de l’Intérieur pour mesurer l’exploit.
Entre Marine Le Pen et Mélenchon , ce furent deux salles, deux ambiances. La première appelle au rassemblement et le deuxième à la révolution. Comme si l’extrémisme avait brutalement fini de changer de couleur.
La France, c’est beau, c’est grand, c’est généreux. Mais la France doit être aussi prévoyante…
Et si le RN créait la surprise ? L’euphorie s’empare du parti de Marine Le Pen si souvent enterré.
Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris.
Les « déplorables », comme dirait Hillary Clinton, sont repoussés aux périphéries de l’Agora…
L’union, Éric Zemmour en a rêvé et c’est la NUPES qui l’a faite.
Mais quelle que soit la sévérité des peines prononcées, fussent-elles exemplaires, elles resteraient symboliques si le pouvoir ne tirait pas toutes les conséquences de cet attentat programmé par les islamistes.
Quoi qu’il en soit, tout ceci concourt un peu à conforter l’image de notre pays « à l’international », comme ils disent : la France, pays des pieds nickelés.
Depuis plusieurs années, une partie de la France dite périphérique se réveille. Le département de l’Aisne, notamment, a voté à près de 60 % (59,9 %) en faveur de la candidate RN au second tour des élections présidentielles. Que s’est-il passé ?
Ils étaient près de 17.000 pèlerins, la plupart très jeunes, à marcher de Paris jusqu’à Chartres. Pour Dieu, la tradition et leur pays.
La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.
Personne, ou presque, ne croit un seul instant que Jean-Luc Mélenchon sera Premier ministre, mais ce n’est pas grave : plus c’est gros, plus ça passe.
Éteindre la flamme de ces jeunes de Chartres s’annonce compliqué, même le violent orage, la grêle et les inondations de samedi soir n’y ont pas suffi.
Les scènes de chaos à l’entrée du match de la finale de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Liverpool, samedi 28 mai,
Au cœur du scandale, les multiples agressions et le refus de la classe politique d’assumer son action, mais il manque encore une inconnue pour parfaire l’équation : le rôle des stadiers.
Nos Présidents ont beau jeu de célébrer leurs grands événements au pavillon de la Lanterne ou d’accueillir les dirigeants de l’Union européenne sous les ors du château de Versailles, ces emprunts à la monarchie ne trompent pas.
Chers lecteurs de Boulevard Voltaire, doublement meurtris et honteux par l’insupportable façon dont les supporters anglais et espagnols ont été traités sur le sol français
Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
Et voici comme la France s’est honteusement ridiculisée, juste avant la Coupe du monde de rugby de 2023 et les Jeux olympiques de Paris de 2024.
Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect
Engagé contre le passe sanitaire et vaccinal, Pierre Gentillet brosse un portrait sans concession du premier quinquennat d’Emmanuel Macron et dresse un état des lieux
Le témoignage d’Adélaïde, dans Valeurs actuelles, ne pouvait pas laisser indifférent Boulevard Voltaire.
Le criminologue Xavier Raufer analyse la tuerie perpétrée dans une école primaire au Texas. Rien de nouveau sous le soleil américain, hélas, les tueries se
« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Un entretien choc, indispensable pour comprendre l’ampleur d’une secousse qui n’a pas fini de provoquer des répliques.
Il faut regarder en détail les résultats donnés par le ministère de l’Intérieur pour mesurer l’exploit.
Entre Marine Le Pen et Mélenchon , ce furent deux salles, deux ambiances. La première appelle au rassemblement et le deuxième à la révolution. Comme si l’extrémisme avait brutalement fini de changer de couleur.
La France, c’est beau, c’est grand, c’est généreux. Mais la France doit être aussi prévoyante…
Et si le RN créait la surprise ? L’euphorie s’empare du parti de Marine Le Pen si souvent enterré.
Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris.
Les « déplorables », comme dirait Hillary Clinton, sont repoussés aux périphéries de l’Agora…
L’union, Éric Zemmour en a rêvé et c’est la NUPES qui l’a faite.
Mais quelle que soit la sévérité des peines prononcées, fussent-elles exemplaires, elles resteraient symboliques si le pouvoir ne tirait pas toutes les conséquences de cet attentat programmé par les islamistes.
Quoi qu’il en soit, tout ceci concourt un peu à conforter l’image de notre pays « à l’international », comme ils disent : la France, pays des pieds nickelés.
Depuis plusieurs années, une partie de la France dite périphérique se réveille. Le département de l’Aisne, notamment, a voté à près de 60 % (59,9 %) en faveur de la candidate RN au second tour des élections présidentielles. Que s’est-il passé ?
Ils étaient près de 17.000 pèlerins, la plupart très jeunes, à marcher de Paris jusqu’à Chartres. Pour Dieu, la tradition et leur pays.
La lettre est signée des dix-huit candidats Reconquête à Paris. Elle en dit long sur l’état de notre démocratie.
Personne, ou presque, ne croit un seul instant que Jean-Luc Mélenchon sera Premier ministre, mais ce n’est pas grave : plus c’est gros, plus ça passe.
Éteindre la flamme de ces jeunes de Chartres s’annonce compliqué, même le violent orage, la grêle et les inondations de samedi soir n’y ont pas suffi.
Les scènes de chaos à l’entrée du match de la finale de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Liverpool, samedi 28 mai,
Au cœur du scandale, les multiples agressions et le refus de la classe politique d’assumer son action, mais il manque encore une inconnue pour parfaire l’équation : le rôle des stadiers.
Nos Présidents ont beau jeu de célébrer leurs grands événements au pavillon de la Lanterne ou d’accueillir les dirigeants de l’Union européenne sous les ors du château de Versailles, ces emprunts à la monarchie ne trompent pas.
Chers lecteurs de Boulevard Voltaire, doublement meurtris et honteux par l’insupportable façon dont les supporters anglais et espagnols ont été traités sur le sol français
Ne manquera peut-être qu’un Darmanin à la sauce anglaise pour dire comment il faut faire pour que tout soit en ordre.
On peut supposer que les policiers, échaudés par les récentes mises en cause judicaires de leurs collègues dans des circonstances similaires et tout en même temps confrontés quotidiennement à l’ensauvagement de la société française, aient hésité à dégainer leurs armes.
Et voici comme la France s’est honteusement ridiculisée, juste avant la Coupe du monde de rugby de 2023 et les Jeux olympiques de Paris de 2024.
Comme Joyeux Noël, bonne fête Maman, de souhait innocent, deviendra bientôt marqueur politique suspect
Engagé contre le passe sanitaire et vaccinal, Pierre Gentillet brosse un portrait sans concession du premier quinquennat d’Emmanuel Macron et dresse un état des lieux
Le témoignage d’Adélaïde, dans Valeurs actuelles, ne pouvait pas laisser indifférent Boulevard Voltaire.
Le criminologue Xavier Raufer analyse la tuerie perpétrée dans une école primaire au Texas. Rien de nouveau sous le soleil américain, hélas, les tueries se
« La République, par l’école, elle est plus forte », a-t-il dit. « C’est la République qui gagne, finalement, malgré tout. » La France a dî s’absenter, il ne reste que la République…
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.