Fake News
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Une loi qui nous conduit tout droit vers la réélection de Macron et vers une dictature soft.
Dire qu’il y en a encore qui s’étonnent que nos jeunes têtes blondes n’en finissent plus de bouder les médias officiels.
En réalité, derrière cette volonté de régularisation se profile plutôt l’idée que nos gouvernants craignent plus que jamais la montée des partis politiques « d’extrême droite » dans l’Union européenne…
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
On apprend qu’un ancien garde du corps du candidat Macron fréquenterait le logeur des terroristes du 13 novembre.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il osé déclarer que cette proposition de loi permettrait « de mieux exercer la démocratie » ?
La direction de Carrefour n’a, pour l’instant, pas encore pris position.
Parce qu’il a sauvé un petit enfant, le jeune Malien clandestin Mamoudou Gassama a obtenu sa régularisation. À sa suite, de nombreux « sans-papiers » se manifestent
Jeudi dernier, Marine Le Pen, dans une lettre ouverte diffusée par voie de presse, a proposé à Nicolas Dupont-Aignan de faire liste commune pour les
Nouveau coup dur après l’arrêt, quelques années plus tôt, de L’ombre d’un doute, sur France 3.
Passons sur les diverses reductio ad reactionarium…
Diable. Il ne faudrait donc pas préciser comment est mort le Colonel Arnaud Beltrame ?
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
Mais d’où leur vient donc ce besoin irrépressible de désacraliser, d’abaisser au prétexte de démocratiser ?
Il a raison, Xavier Bertrand, 15 millions, ce n’est pas seulement les banlieues, c’est également tous les centres-villes, de Marseille à Lille et de Brest à Lyon.
On a le droit de critiquer les dires et les actes de M. Soros comme ceux de M. Zemmour, et ce n’est pas de l’antisémitisme.
On en viendrait presque à plaindre cette pauvre AFP, si à gauche, si politiquement correcte, et pourtant prise pour cible par ceux-là même qu’elle encense.
En la matière, l’autocritique vaudrait mieux que la simple critique, sachant que ces belles âmes ont été les premières à stigmatiser tous ceux qui s’alarmaient de l’immigration de masse.
Et pourtant, ils l’auraient aimé ce blessé grave, voire même ce mort. De quoi rejouer l’affaire Malik Oussékine.
Évidemment, c’est toujours plus facile de critiquer les autres que de régler les problèmes chez soi.
La nouvelle était trop belle : la famille du colonel Beltrame refuserait que son nom soit donné à des rues de villes tenues par le Front national.
Présenter des excuses outre-Atlantique est un exercice imposé qui permet, éventuellement, de prendre un nouveau départ, de restaurer une confiance détériorée.
Derrière le but louable de sauvegarde de critères se cache une tentative insidieuse de censure de certains contenus.
Ce n’est pas leur jour de chance, aux vieux tourtereaux Royal et Hollande.
Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosques. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.
Emmanuel Macron a émis le souhait de donner à l’AFP la mission de certifier les informations… une nouvelle qui n’a pas manqué de faire rire Jean-Yves Le Gallou.
Un de ses grands défis est de faire du français « une langue majeure d’échanges » tout en bousculant l’anglais, « langue hégémonique de l’économie ».
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Une loi qui nous conduit tout droit vers la réélection de Macron et vers une dictature soft.
Dire qu’il y en a encore qui s’étonnent que nos jeunes têtes blondes n’en finissent plus de bouder les médias officiels.
En réalité, derrière cette volonté de régularisation se profile plutôt l’idée que nos gouvernants craignent plus que jamais la montée des partis politiques « d’extrême droite » dans l’Union européenne…
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
On apprend qu’un ancien garde du corps du candidat Macron fréquenterait le logeur des terroristes du 13 novembre.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il osé déclarer que cette proposition de loi permettrait « de mieux exercer la démocratie » ?
La direction de Carrefour n’a, pour l’instant, pas encore pris position.
Parce qu’il a sauvé un petit enfant, le jeune Malien clandestin Mamoudou Gassama a obtenu sa régularisation. À sa suite, de nombreux « sans-papiers » se manifestent
Jeudi dernier, Marine Le Pen, dans une lettre ouverte diffusée par voie de presse, a proposé à Nicolas Dupont-Aignan de faire liste commune pour les
Nouveau coup dur après l’arrêt, quelques années plus tôt, de L’ombre d’un doute, sur France 3.
Passons sur les diverses reductio ad reactionarium…
Diable. Il ne faudrait donc pas préciser comment est mort le Colonel Arnaud Beltrame ?
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
Mais d’où leur vient donc ce besoin irrépressible de désacraliser, d’abaisser au prétexte de démocratiser ?
Il a raison, Xavier Bertrand, 15 millions, ce n’est pas seulement les banlieues, c’est également tous les centres-villes, de Marseille à Lille et de Brest à Lyon.
On a le droit de critiquer les dires et les actes de M. Soros comme ceux de M. Zemmour, et ce n’est pas de l’antisémitisme.
On en viendrait presque à plaindre cette pauvre AFP, si à gauche, si politiquement correcte, et pourtant prise pour cible par ceux-là même qu’elle encense.
En la matière, l’autocritique vaudrait mieux que la simple critique, sachant que ces belles âmes ont été les premières à stigmatiser tous ceux qui s’alarmaient de l’immigration de masse.
Et pourtant, ils l’auraient aimé ce blessé grave, voire même ce mort. De quoi rejouer l’affaire Malik Oussékine.
Évidemment, c’est toujours plus facile de critiquer les autres que de régler les problèmes chez soi.
La nouvelle était trop belle : la famille du colonel Beltrame refuserait que son nom soit donné à des rues de villes tenues par le Front national.
Présenter des excuses outre-Atlantique est un exercice imposé qui permet, éventuellement, de prendre un nouveau départ, de restaurer une confiance détériorée.
Derrière le but louable de sauvegarde de critères se cache une tentative insidieuse de censure de certains contenus.
Ce n’est pas leur jour de chance, aux vieux tourtereaux Royal et Hollande.
Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosques. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.
Emmanuel Macron a émis le souhait de donner à l’AFP la mission de certifier les informations… une nouvelle qui n’a pas manqué de faire rire Jean-Yves Le Gallou.
Un de ses grands défis est de faire du français « une langue majeure d’échanges » tout en bousculant l’anglais, « langue hégémonique de l’économie ».
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