Fake News
Les chiffres, très sérieux, sont ceux du dernier rapport de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière. Et ils sont nets.
Depuis un an, Donald Trump veut torpiller l’accord conclu avec l’Iran par les États-Unis, l’Europe, la Chine et la Russie. Vendredi dernier, il était censé le dénoncer définitivement, avant de faire volte-face.
C’est la même logique de reprise en main des médias voulue par M. Macron lors de ses vœux à la presse.
Christine Boutin réagit en exclusivité pour Boulevard Voltaire à l’arrêt de la Cour de Cassation qui a annulé sa condamnation pour ses propos sur l’homosexualité.
Philippe Millau revient sur la fondation de TV Libertés et livre des statistiques précises.
Trois ans après l’attentat perpétré chez Charlie Hebdo, « l’esprit Charlie » a du plomb dans l’aile.
En ces temps de bonnes résolutions, peut-être me faut-il renoncer à tout titre ou article qui semblerait un tantinet « pute-à-clic »…
« Je suis persuadé que se joue aujourd’hui une part de ce que nous sommes. »
Il suffit qu’un mot soit américain pour qu’instantanément le journaliste prétendument français le fasse sien.
Pourquoi cette « décharlisation » des esprits ?
Ce ne sont pas des fake news. Et cela en dit long sur l’état de la France périphérique…
« Quand un pouvoir politique veut décider ce qui est vrai ou pas, c’est totalitaire. »
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
« Qu’Emmanuel Macron – qui s’est montré plutôt habile jusqu’ici – se lance dans cette chasse aux « fake news » me laisse perplexe. »
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Moi, moi, moi, moi… et rien que moi, proclame l’Homo, la Mulier ou le Vir festivus.
Aujourd’hui, on peut affirmer posément sur une chaîne grand public que l’islamisme n’est « pas grave », sans que le CSA ne s’en émeuve.
Plus besoin de réfléchir, de justifier, de traquer in petto ses propres incohérences avant de s’exprimer, puisqu’on ne démontre plus : on assène.
À Bruxelles, déjà, plus de 50 % des nouveau-nés se prénomment Mohamed. « Et l’Église est là, frileuse, honteuse. »
Trump est toujours assiégé. La machine infernale judiciaire est lancée.
Qu’est-ce qu’une fausse nouvelle, tout du moins si l’on veut bien s’élever au niveau des préoccupations qui doivent être celles de l’Église ?
La submersion migratoire est le seul sujet d’importance, celui qui concerne la survie de notre civilisation.
Comment peut-on prétendre qu’il n’a jamais fait aussi chaud au Groenland puisqu’en l’an 1000, les Vikings y ont trouvé un grand nombre de forêts ?
Ouvrir une antenne française pour réfugiés en Libye ? Pourquoi pas une succursale de Pôle emploi à Kaboul pour y développer l’industrie du strip-tease ?
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Face à la désinformation, les deux présidents ont donc promis sur Twitter de se battre ensemble contre les fake news.
Pendant combien de temps encore de telles paroles resteront inaudibles de nos dirigeants et de notre peuple ?
Les chiffres, très sérieux, sont ceux du dernier rapport de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière. Et ils sont nets.
Depuis un an, Donald Trump veut torpiller l’accord conclu avec l’Iran par les États-Unis, l’Europe, la Chine et la Russie. Vendredi dernier, il était censé le dénoncer définitivement, avant de faire volte-face.
C’est la même logique de reprise en main des médias voulue par M. Macron lors de ses vœux à la presse.
Christine Boutin réagit en exclusivité pour Boulevard Voltaire à l’arrêt de la Cour de Cassation qui a annulé sa condamnation pour ses propos sur l’homosexualité.
Philippe Millau revient sur la fondation de TV Libertés et livre des statistiques précises.
Trois ans après l’attentat perpétré chez Charlie Hebdo, « l’esprit Charlie » a du plomb dans l’aile.
En ces temps de bonnes résolutions, peut-être me faut-il renoncer à tout titre ou article qui semblerait un tantinet « pute-à-clic »…
« Je suis persuadé que se joue aujourd’hui une part de ce que nous sommes. »
Il suffit qu’un mot soit américain pour qu’instantanément le journaliste prétendument français le fasse sien.
Pourquoi cette « décharlisation » des esprits ?
Ce ne sont pas des fake news. Et cela en dit long sur l’état de la France périphérique…
« Quand un pouvoir politique veut décider ce qui est vrai ou pas, c’est totalitaire. »
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
« Qu’Emmanuel Macron – qui s’est montré plutôt habile jusqu’ici – se lance dans cette chasse aux « fake news » me laisse perplexe. »
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Moi, moi, moi, moi… et rien que moi, proclame l’Homo, la Mulier ou le Vir festivus.
Aujourd’hui, on peut affirmer posément sur une chaîne grand public que l’islamisme n’est « pas grave », sans que le CSA ne s’en émeuve.
Plus besoin de réfléchir, de justifier, de traquer in petto ses propres incohérences avant de s’exprimer, puisqu’on ne démontre plus : on assène.
À Bruxelles, déjà, plus de 50 % des nouveau-nés se prénomment Mohamed. « Et l’Église est là, frileuse, honteuse. »
Trump est toujours assiégé. La machine infernale judiciaire est lancée.
Qu’est-ce qu’une fausse nouvelle, tout du moins si l’on veut bien s’élever au niveau des préoccupations qui doivent être celles de l’Église ?
La submersion migratoire est le seul sujet d’importance, celui qui concerne la survie de notre civilisation.
Comment peut-on prétendre qu’il n’a jamais fait aussi chaud au Groenland puisqu’en l’an 1000, les Vikings y ont trouvé un grand nombre de forêts ?
Ouvrir une antenne française pour réfugiés en Libye ? Pourquoi pas une succursale de Pôle emploi à Kaboul pour y développer l’industrie du strip-tease ?
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
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Pendant combien de temps encore de telles paroles resteront inaudibles de nos dirigeants et de notre peuple ?
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