Histoire
Si une déconstruction est nécessaire, déconstruisons les mythes imaginés par des minorités qui se cachent derrière de fallacieux prétextes pour tenter d’imposer leurs modes de vie et de pensée.
Marc Ferro fait partie de ces rares historiens dont le visage et la voix avaient su s’imposer au petit écran et fidéliser ainsi un public
Pour les rapatriés, pour les harkis honteusement abandonnés à leurs bourreaux, pour tous les disparus, pour le peuple algérien lui-même, qui méritait mieux que la clique qui le gouverne. Tout simplement, au nom de la vérité.
On ne dira donc jamais assez les bienfaits des progrès de la médecine avec, notamment, l’invention des vaccins…
L’instrumentalisation du passé et la dénonciation de « l’ennemi éternel » leur permet de durer. Et d’alimenter la haine.
Lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent.
On a rarement vu une telle insolence de la part des autorités algériennes.
Quant aux immigrés d’origine algérienne, Macron aura réalisé ce prodige de leur donner des raisons de détester le pays d’accueil et d’avoir des droits sur lui.
Il ne faut pas oublier que c’est l’extrême pauvreté de la classe ouvrière et la famine, la ghettoïsation des quartiers populaires par les transformations haussmaniennes qui constitueront les ressorts profonds du soulèvement.
Philip se moquait gentiment de tout le monde, de sa famille et de lui-même en premier.
Gagarine, ce petit-grand homme – il mesurait 1,58 m – au destin d’Icare qui nous a fait rêver d’exploits et de dépassement.
L’Algérie n’existant – en tant qu’État – que depuis 1962, voilà une éternité relative.
Encore un « projet d’avenir » mal pensé, mal géré, une folie des grandeurs si française qui finit à la casse…
Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…
« Perpignan la Catalane » fait place, désormais, à « Perpignan la rayonnante » et son blason retrouve la figure traditionnelle de saint Jean-Baptiste, saint
Ces cartes bilingues en disent long sur la soumission idéologique d’Emanuel Macron au monde anglo-saxon…
N’oublions pas ce que nous devons au monde grec, ce que nous avons modestement essayé de lui rendre il y a deux siècles, et la proximité que nous devons garder avec la Grèce.
Napoléon a laissé la France plus petite que celle qu’il avait trouvée à son avènement.
Ce révisionnisme officiel n’est pas neuf. La République refuse toujours d’admettre le sang français qu’elle a fait couler.
Il faut d’abord se rappeler que la France a joué un rôle important dans la libération de ce pays du joug ottoman.
L’auteur de ces lignes, bien que partisan des lys et du drapeau blanc, ne peut pourtant s’empêcher de vibrer au souvenir glorieux d’un homme qui sut porter la France au firmament de la puissance.
La direction de Sciences Po Strasbourg a censuré ses élèves sur le choix d’un nom de baptême de leur promotion en modifiant les règles de désignation.
Assumer tout l’héritage historique de la France, ses horreurs comme ses périodes de gloire et de grandeur, oui. Mais célébrer une guerre civile où des adversaires des deux camps et membres d’un même peuple furent indistinctement massacrés, certainement pas.
Personne n’a encore imaginé construire à Colombey-les-Deux-Églises un parc d’attractions : au train où vont les choses, cette idée saugrenue pourrait bien venir à l’esprit de quelque politicien.
Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.
En 1969, c’est la légende de la France que le pays tout entier célébrait, à travers la figure sublime de l’Empereur.
Dogmes, mantras, clichés, « fake news »… Boulevard Voltaire déconstruit en images quelques idées reçues. Aujourd’hui, l’Algérie et la colonisation.
La guerre d’Algérie, « crime contre l’humanité » est visiblement le dernier filon en date pour conquérir de nouveaux électeurs…
Si une déconstruction est nécessaire, déconstruisons les mythes imaginés par des minorités qui se cachent derrière de fallacieux prétextes pour tenter d’imposer leurs modes de vie et de pensée.
Marc Ferro fait partie de ces rares historiens dont le visage et la voix avaient su s’imposer au petit écran et fidéliser ainsi un public
Pour les rapatriés, pour les harkis honteusement abandonnés à leurs bourreaux, pour tous les disparus, pour le peuple algérien lui-même, qui méritait mieux que la clique qui le gouverne. Tout simplement, au nom de la vérité.
On ne dira donc jamais assez les bienfaits des progrès de la médecine avec, notamment, l’invention des vaccins…
L’instrumentalisation du passé et la dénonciation de « l’ennemi éternel » leur permet de durer. Et d’alimenter la haine.
Lorsque l’Occident chrétien croit faire preuve de compassion en se battant la coulpe et en s’agenouillant, beaucoup d’autres civilisations y voient une faiblesse contraire à la fierté et à l’honneur qui les animent.
On a rarement vu une telle insolence de la part des autorités algériennes.
Quant aux immigrés d’origine algérienne, Macron aura réalisé ce prodige de leur donner des raisons de détester le pays d’accueil et d’avoir des droits sur lui.
Il ne faut pas oublier que c’est l’extrême pauvreté de la classe ouvrière et la famine, la ghettoïsation des quartiers populaires par les transformations haussmaniennes qui constitueront les ressorts profonds du soulèvement.
Philip se moquait gentiment de tout le monde, de sa famille et de lui-même en premier.
Gagarine, ce petit-grand homme – il mesurait 1,58 m – au destin d’Icare qui nous a fait rêver d’exploits et de dépassement.
L’Algérie n’existant – en tant qu’État – que depuis 1962, voilà une éternité relative.
Encore un « projet d’avenir » mal pensé, mal géré, une folie des grandeurs si française qui finit à la casse…
Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…
« Perpignan la Catalane » fait place, désormais, à « Perpignan la rayonnante » et son blason retrouve la figure traditionnelle de saint Jean-Baptiste, saint
Ces cartes bilingues en disent long sur la soumission idéologique d’Emanuel Macron au monde anglo-saxon…
N’oublions pas ce que nous devons au monde grec, ce que nous avons modestement essayé de lui rendre il y a deux siècles, et la proximité que nous devons garder avec la Grèce.
Napoléon a laissé la France plus petite que celle qu’il avait trouvée à son avènement.
Ce révisionnisme officiel n’est pas neuf. La République refuse toujours d’admettre le sang français qu’elle a fait couler.
Il faut d’abord se rappeler que la France a joué un rôle important dans la libération de ce pays du joug ottoman.
L’auteur de ces lignes, bien que partisan des lys et du drapeau blanc, ne peut pourtant s’empêcher de vibrer au souvenir glorieux d’un homme qui sut porter la France au firmament de la puissance.
La direction de Sciences Po Strasbourg a censuré ses élèves sur le choix d’un nom de baptême de leur promotion en modifiant les règles de désignation.
Assumer tout l’héritage historique de la France, ses horreurs comme ses périodes de gloire et de grandeur, oui. Mais célébrer une guerre civile où des adversaires des deux camps et membres d’un même peuple furent indistinctement massacrés, certainement pas.
Personne n’a encore imaginé construire à Colombey-les-Deux-Églises un parc d’attractions : au train où vont les choses, cette idée saugrenue pourrait bien venir à l’esprit de quelque politicien.
Quant à la repentance française, elle alimentera chez de nombreux jeunes d’origine algérienne le sentiment de leur identité victimaire propre à justifier leur séparatisme.
En 1969, c’est la légende de la France que le pays tout entier célébrait, à travers la figure sublime de l’Empereur.
Dogmes, mantras, clichés, « fake news »… Boulevard Voltaire déconstruit en images quelques idées reçues. Aujourd’hui, l’Algérie et la colonisation.
La guerre d’Algérie, « crime contre l’humanité » est visiblement le dernier filon en date pour conquérir de nouveaux électeurs…
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