Histoire
Faut-il revenir sur l’Histoire, la revoir, la réviser ou la revisiter à l’aune de nos grilles d’analyse contemporaines ?
Quoi de nouveau sous le soleil ? Si : on dirait que la France a oublié cette haute ambition.
Beaucoup, sur Terre, pensent qu’il faudrait d’abord s’occuper de préserver notre planète avant de penser la quitter !
La Pucelle dit au roi : « Ô gentil roi, maintenant est fait le plaisir de Dieu »…
…il nous restera toujours la lecture des chroniques de Blondin, l’humeur vagabonde dans Monsieur Jadis et du Singe en hiver
Le ministère des Affaires étrangères s’est fendu d’un « Happy Bastille Day »…
Un film composé à cent pour cent d’images d’archives…
Cette première croisade a été menée en majorité par des Français.
La mise en scène est à la hauteur de l’événement : grandiose.
Après le succès incontestable de la série The Crown relatant la vie d’Élisabeth II, c’est au tour de Nicolas II et d’Alexandra Romanov d’être à l’affiche.
Avec un manichéisme tellement confortable, on fait de ces parlementaires qui votèrent les pleins pouvoirs au vainqueur de Verdun des lâches, des salauds, des collabos.
Les 67 partants s’élancent le 29 juin 1919, lendemain du traité de Versailles, pour un périple de 5.560 kilomètres en suivant les contours de notre pays et en quinze étapes.
Trump a voulu copier notre fête nationale, mais n’avons-nous pas eu trop tendance à copier les États-Unis ?
Il avait le physique prospère et le verbe rassurant.
Le traité de Versailles, signé le 28 juin 1919 dans la galerie des Glaces du château de Versailles, met un terme définitif à la Première Guerre mondiale sur le front occidental.
Clemenceau invite cinq « gueules cassées » à prendre place au premier rang.
Ce n’était pas Georges Pompidou qui parlait en anglais aux chefs des gouvernements espagnol et portugais.
Le dernier chèque des réparations de 1914, d’un montant de 95 millions d’euros, signé Angela Merkel est daté du 3 octobre… 2010.
La reconstruction de la carte de l’Europe est dénoncée comme purement artificielle car, à quelques exceptions près, les populations ne sont pas consultées.
Les Français peuvent occuper la rive gauche du Rhin, et donc la Sarre, pendant quinze ans, mais ils s’engagent à partir plus tôt si l’Allemagne applique bien le futur traité de Versailles.
Deux camps se déchirent : les tenants d’une paix de conciliation, menés par le président des États-Unis, et ceux d’une paix de vengeance, conduits par l’intraitable Georges Clemenceau.
Le traité de Versailles, signé le 28 juin 1919 dans la galerie des Glaces du château de Versailles, met un terme définitif à la Première
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.
Honorer le 18 juin, ce n’est pas simplement déposer une gerbe au mont Valérien
Des Alsaciens et, partant, des Français, « forcés » de « servir » dans l’armée allemande ?
Alors que le général quittait la conduite du gouvernement avant l’avènement de la IVe République, la « culture de gauche » avait pris le pouvoir en France, un pouvoir qu’elle conserve encore aujourd’hui.
La figure de Jeanne, par son universalité, incarne l’esprit de résistance.
« La flamme qu’a allumée Jeanne est invincible et irréversible. Elle a traversé l’épaisseur des temps, elle se s’éteindra jamais », prêcha Buisson.
Faut-il revenir sur l’Histoire, la revoir, la réviser ou la revisiter à l’aune de nos grilles d’analyse contemporaines ?
Quoi de nouveau sous le soleil ? Si : on dirait que la France a oublié cette haute ambition.
Beaucoup, sur Terre, pensent qu’il faudrait d’abord s’occuper de préserver notre planète avant de penser la quitter !
La Pucelle dit au roi : « Ô gentil roi, maintenant est fait le plaisir de Dieu »…
…il nous restera toujours la lecture des chroniques de Blondin, l’humeur vagabonde dans Monsieur Jadis et du Singe en hiver
Le ministère des Affaires étrangères s’est fendu d’un « Happy Bastille Day »…
Un film composé à cent pour cent d’images d’archives…
Cette première croisade a été menée en majorité par des Français.
La mise en scène est à la hauteur de l’événement : grandiose.
Après le succès incontestable de la série The Crown relatant la vie d’Élisabeth II, c’est au tour de Nicolas II et d’Alexandra Romanov d’être à l’affiche.
Avec un manichéisme tellement confortable, on fait de ces parlementaires qui votèrent les pleins pouvoirs au vainqueur de Verdun des lâches, des salauds, des collabos.
Les 67 partants s’élancent le 29 juin 1919, lendemain du traité de Versailles, pour un périple de 5.560 kilomètres en suivant les contours de notre pays et en quinze étapes.
Trump a voulu copier notre fête nationale, mais n’avons-nous pas eu trop tendance à copier les États-Unis ?
Il avait le physique prospère et le verbe rassurant.
Le traité de Versailles, signé le 28 juin 1919 dans la galerie des Glaces du château de Versailles, met un terme définitif à la Première Guerre mondiale sur le front occidental.
Clemenceau invite cinq « gueules cassées » à prendre place au premier rang.
Ce n’était pas Georges Pompidou qui parlait en anglais aux chefs des gouvernements espagnol et portugais.
Le dernier chèque des réparations de 1914, d’un montant de 95 millions d’euros, signé Angela Merkel est daté du 3 octobre… 2010.
La reconstruction de la carte de l’Europe est dénoncée comme purement artificielle car, à quelques exceptions près, les populations ne sont pas consultées.
Les Français peuvent occuper la rive gauche du Rhin, et donc la Sarre, pendant quinze ans, mais ils s’engagent à partir plus tôt si l’Allemagne applique bien le futur traité de Versailles.
Deux camps se déchirent : les tenants d’une paix de conciliation, menés par le président des États-Unis, et ceux d’une paix de vengeance, conduits par l’intraitable Georges Clemenceau.
Le traité de Versailles, signé le 28 juin 1919 dans la galerie des Glaces du château de Versailles, met un terme définitif à la Première
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.
Honorer le 18 juin, ce n’est pas simplement déposer une gerbe au mont Valérien
Des Alsaciens et, partant, des Français, « forcés » de « servir » dans l’armée allemande ?
Alors que le général quittait la conduite du gouvernement avant l’avènement de la IVe République, la « culture de gauche » avait pris le pouvoir en France, un pouvoir qu’elle conserve encore aujourd’hui.
La figure de Jeanne, par son universalité, incarne l’esprit de résistance.
« La flamme qu’a allumée Jeanne est invincible et irréversible. Elle a traversé l’épaisseur des temps, elle se s’éteindra jamais », prêcha Buisson.
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