Histoire
La France, ma France, est un pays plein d’émotions, de sensibilité, d’harmonie, de traditions et de valeurs.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».
N’en déplaise aux ONG, les Etats sont souverains.
Une chose est sûre : ce député-là ne sera pas un parlementaire mémorable. Et encore moins un frondeur.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
La Chine raisonne sur le temps long, alors que ce qui demeure de l’Occident ne parvient qu’à raisonner sur le temps court.
Ça y est, le suspense insoutenable est levé. On sait désormais où les époux Macron passent leurs vacances : à Marseille.
C’est un échec pour Donald Trump, empêtré dans sa ligne de « désobamisation ».
61 % des Français sont toujours opposés à l’accueil des migrants sur le territoire national.
Nous n’avons d’autre choix que de soutenir une démocratie contre une dictature sanguinaire.
Avec dix millions de chômeurs, la France a sans doute d’autres préoccupations que cette loi sur la moralisation de la vie politique.
Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».
C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher.
Ce qui s’est passé à Beauvais, le 25 juillet dernier, dépasse l’entendement. Sauf, peut-être, pour des magistrats nourris au lait de la repentance.
Rien de nouveau : c’est la politique anglo-saxonne depuis le XIXe siècle !
La dame a des fantasmes. Au fond, quelque part, c’est rassurant.
Du Audiard, entre une réplique sénégalaise du Cave se rebiffe et un dialogue paimpolais de Ne nous fâchons pas.
La France n’a pas commis de tentative de suicide, on a organisé son assassinat (raté) qu’on a déguisé en suicide mais elle bouge encore et va porter plainte.
La Douce France est d’abord celle des paysages, souvent des bourgs et villages si pittoresques, parfois aussi de villes à l’authenticité préservée.
Un chef-d’oeuvre absolu adapté magnifiquement au cinéma en 1963 par Luchino Visconti.
Au soir du premier jour de combat, les Américains comptent 108 morts, 150 blessés, contre 1.500 morts côté japonais.
Il nous appartient aujourd’hui de préserver ce trésor, hérité des gloires passées de nos parents.
Sauf accident, ils ne risquent pas leur peau…
La France, ma France, est un pays plein d’émotions, de sensibilité, d’harmonie, de traditions et de valeurs.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».
N’en déplaise aux ONG, les Etats sont souverains.
Une chose est sûre : ce député-là ne sera pas un parlementaire mémorable. Et encore moins un frondeur.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
La Chine raisonne sur le temps long, alors que ce qui demeure de l’Occident ne parvient qu’à raisonner sur le temps court.
Ça y est, le suspense insoutenable est levé. On sait désormais où les époux Macron passent leurs vacances : à Marseille.
C’est un échec pour Donald Trump, empêtré dans sa ligne de « désobamisation ».
61 % des Français sont toujours opposés à l’accueil des migrants sur le territoire national.
Nous n’avons d’autre choix que de soutenir une démocratie contre une dictature sanguinaire.
Avec dix millions de chômeurs, la France a sans doute d’autres préoccupations que cette loi sur la moralisation de la vie politique.
Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Durant le mois d’août, Christian Combaz fait l’honneur à Boulevard Voltaire de publier des extraits de son très dérangeant « livre annulé ».
C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher.
Ce qui s’est passé à Beauvais, le 25 juillet dernier, dépasse l’entendement. Sauf, peut-être, pour des magistrats nourris au lait de la repentance.
Rien de nouveau : c’est la politique anglo-saxonne depuis le XIXe siècle !
La dame a des fantasmes. Au fond, quelque part, c’est rassurant.
Du Audiard, entre une réplique sénégalaise du Cave se rebiffe et un dialogue paimpolais de Ne nous fâchons pas.
La France n’a pas commis de tentative de suicide, on a organisé son assassinat (raté) qu’on a déguisé en suicide mais elle bouge encore et va porter plainte.
La Douce France est d’abord celle des paysages, souvent des bourgs et villages si pittoresques, parfois aussi de villes à l’authenticité préservée.
Un chef-d’oeuvre absolu adapté magnifiquement au cinéma en 1963 par Luchino Visconti.
Au soir du premier jour de combat, les Américains comptent 108 morts, 150 blessés, contre 1.500 morts côté japonais.
Il nous appartient aujourd’hui de préserver ce trésor, hérité des gloires passées de nos parents.
Sauf accident, ils ne risquent pas leur peau…
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