Histoire
Le très bling-bling Sarkozy avait attendu le succès du second tour pour s’offrir une soirée VIP au Fouquet’s. Emmanuel Macron est un jeune homme pressé.
Ceux d’aujourd’hui défilent-ils vraiment pour la science ?
Alice Weidel et Alexander Gauland ont été désignés par l’AfD en tant que candidats de tête pour les élections législatives du 24 septembre 2017.
Ce premier tour de l’élection présidentielle aura au moins présenté la saveur de l’inédit.
Ce 23 avril, le peuple de droite a présenté l’addition à celui qui représentait ces errances et ces démissions.
C’est donc le scénario annoncé, et programmé, que les électeurs ont décidé de valider.
Aucun des deux qualifiés ne dépassait les 25 %. Et le favori des sondages était éliminé.
Hasard du calendrier, le 23 avril 1972 – il y a tout juste 45 ans -, les Français étaient appelés aux urnes.
Le cortège de personnalités se rend à la statue de Lafayette, place du Carrousel, saluée par la foule en liesse aux balcons et le long des trottoirs…
L’élection du président de la République au suffrage universel a été voulue par le Général de Gaulle comme la rencontre entre un homme et un peuple.
En France, à partir de 1789, l’idée de fidélité à la tradition a été mal vue, et cela n’a fait que s’aggraver tout au long de notre Histoire.
Pour se rafraîchir le cervelet, il y a toujours le régime Ducon, meilleur remède contre la peur de l’autre et de l’inconnu.
Les patriotes de toutes origines vont devoir se rassembler : car la Nation c’est nous tous.
« L’histoire ne se répète pas, elle bégaie », disait Karl Marx. Un adage confirmé par la série d’attentats.
Fin 1944, des accusations pour crimes de guerre avaient été préparées contre Hitler et ses principaux collaborateurs…
Les choses empirent.
Au dernier moment, dans l’isoloir, les Français, même s’ils doivent se boucher le nez, choisiront par leur vote de ne pas se faire voler cette élection.
L’hystérie médiatique autour de l’élection présidentielle nous aura presque fait oublier la menace djihadiste.
Le programme éducatif de François Fillon est clair, cohérent, efficace, solidement construit et même agréable à lire.
À une semaine du premier tour de l’élection présidentielle 2017, la favorite des sondages répond aux questions de Boulevard Voltaire.
L’électorat de droite est particulièrement remonté. Très, très remonté.
Quels grands thèmes retenir de cette campagne ? Aucun. C’est terrible.
100.000 morts, blessés, disparus et prisonniers côté français, et 80.000 côté allemand.
Un appel à la constitution immédiate et bouleversante d’un comité patriote, voilà ce que devrait être le choix historique annoncé.
Le nombre des victimes parle de lui-même et résulte des erreurs militaires évidentes…
« Je veux être Chateaubriand ou rien. » Cela ne dépend pas de la volonté d’Emmanuel Macron mais de celle des Français…
Chez tous ceux qui veulent établir un système d’éducation unique, je crois déceler une « tentation totalitaire » sous-jacente qui me gêne aux entournures.
Toutes les bourgeoisies de mœurs, d’argent, pseudo-intellectuelles se trouvent acculées. L’esprit français est en train de les vomir.
Le très bling-bling Sarkozy avait attendu le succès du second tour pour s’offrir une soirée VIP au Fouquet’s. Emmanuel Macron est un jeune homme pressé.
Ceux d’aujourd’hui défilent-ils vraiment pour la science ?
Alice Weidel et Alexander Gauland ont été désignés par l’AfD en tant que candidats de tête pour les élections législatives du 24 septembre 2017.
Ce premier tour de l’élection présidentielle aura au moins présenté la saveur de l’inédit.
Ce 23 avril, le peuple de droite a présenté l’addition à celui qui représentait ces errances et ces démissions.
C’est donc le scénario annoncé, et programmé, que les électeurs ont décidé de valider.
Aucun des deux qualifiés ne dépassait les 25 %. Et le favori des sondages était éliminé.
Hasard du calendrier, le 23 avril 1972 – il y a tout juste 45 ans -, les Français étaient appelés aux urnes.
Le cortège de personnalités se rend à la statue de Lafayette, place du Carrousel, saluée par la foule en liesse aux balcons et le long des trottoirs…
L’élection du président de la République au suffrage universel a été voulue par le Général de Gaulle comme la rencontre entre un homme et un peuple.
En France, à partir de 1789, l’idée de fidélité à la tradition a été mal vue, et cela n’a fait que s’aggraver tout au long de notre Histoire.
Pour se rafraîchir le cervelet, il y a toujours le régime Ducon, meilleur remède contre la peur de l’autre et de l’inconnu.
Les patriotes de toutes origines vont devoir se rassembler : car la Nation c’est nous tous.
« L’histoire ne se répète pas, elle bégaie », disait Karl Marx. Un adage confirmé par la série d’attentats.
Fin 1944, des accusations pour crimes de guerre avaient été préparées contre Hitler et ses principaux collaborateurs…
Les choses empirent.
Au dernier moment, dans l’isoloir, les Français, même s’ils doivent se boucher le nez, choisiront par leur vote de ne pas se faire voler cette élection.
L’hystérie médiatique autour de l’élection présidentielle nous aura presque fait oublier la menace djihadiste.
Le programme éducatif de François Fillon est clair, cohérent, efficace, solidement construit et même agréable à lire.
À une semaine du premier tour de l’élection présidentielle 2017, la favorite des sondages répond aux questions de Boulevard Voltaire.
L’électorat de droite est particulièrement remonté. Très, très remonté.
Quels grands thèmes retenir de cette campagne ? Aucun. C’est terrible.
100.000 morts, blessés, disparus et prisonniers côté français, et 80.000 côté allemand.
Un appel à la constitution immédiate et bouleversante d’un comité patriote, voilà ce que devrait être le choix historique annoncé.
Le nombre des victimes parle de lui-même et résulte des erreurs militaires évidentes…
« Je veux être Chateaubriand ou rien. » Cela ne dépend pas de la volonté d’Emmanuel Macron mais de celle des Français…
Chez tous ceux qui veulent établir un système d’éducation unique, je crois déceler une « tentation totalitaire » sous-jacente qui me gêne aux entournures.
Toutes les bourgeoisies de mœurs, d’argent, pseudo-intellectuelles se trouvent acculées. L’esprit français est en train de les vomir.
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