Immigration et diversité
Grâce aux subventions, les municipalités écologistes ont trouvé une arme efficace pour poursuivre leur œuvre de déconstruction.
Sur les bords de la vallée de la Seine, il fut un temps où les vignes fleurissaient autour de ce bourg médiéval nommé Les Mureaux…
Une surprise que les Cuersois n’ont pas forcément appréciée, déplorant notamment le manque de transparence du maire sur ce sujet qui les touche très directement.
Trop, c’est trop : le maire de Saint-Lys s’oppose à la création d’un centre d’accueil pour migrants et dénonce des décisions prises par l’Etat sans aucune concertation.
Face à cette insécurité, très souvent liée au narcobanditisme qui irrigue l’ensemble des réseaux criminels, les moyens mis en œuvre ne suffisent plus.
L’association de riverains et de parents d’élèves sont « sous le choc » depuis qu’ils ont appris le projet de la mairie d’implanter un nouveau centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) sur un terrain résidentiel, à 100 mètres de la plage, entre camping et école primaire
Le passeur est un être généreux, certes, mais il aime être payé à temps. Sans quoi, il réagira à sa manière, c’est-à-dire par « les coups, les viols, les menaces sur leur vie et celle de leur famille »…
En Hollande, des bateaux géants sont aménagés pour des transferts massifs de migrants en Europe.
Une ville ou règne sans partage la gauche, puisque l’immense majorité des élus macronistes sont eux aussi issus du PS ou des anciens EELV ralliés à Macron.
Au total, selon les Nations unies, le trafic de migrants générerait donc plus de 7 milliards de dollars.
« Le PLF (Plan de loi de finances) pour 2023 prévoit la création de 900 nouvelles places d’hébergement d’urgence pour les demandeurs d’asile en outre-mer, 1.500 places en centres d’accueil et d’examen des situations et 2.500 places en centre d’accueil pour demandeurs d’asile », explique le dossier officiel.
Durant l’été 2021, la municipalité avait été mise devant le fait accompli après l’acquisition de locaux par le groupe Adoma, mandaté par l’État…
Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.
Depuis le début de l’année, le nombre de personnes à avoir emprunté cette voie migratoire périlleuse est historiquement haut : la barre des 30.000 a été franchie.
D’après Xavier Delrieu, chef de l’OCRIEST, il s’agit de la plus grosse saisie de matériel nautique réalisée en France.
Interpellés, les deux chefs sont passés aux aveux et ont reconnu avoir fait passer quatre ou cinq personnes, ces six derniers mois.
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter au ministre de l’Intérieur que ses déclaration soient rapidement suivies d’effet, sous peine d’enterrer définitivement sa crédibilité plus que vacillante auprès des Français.
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
Alors qu’en Iran, théocratie islamiste, les femmes se rebellent contre l’obligation du port du voile, en France, réputée république laïque, les islamistes – aidés de leurs alliés objectifs les néo-féministes et les islamo-gauchistes – imposent le voile dans l’espace public.
Comment s’étonner qu’une histoire d’amour entre une jeune fille kurde et un militaire français, dont l’origine étrangère prétendue est un détail (quand on s’appelle Julien et qu’on sert la France, on peut venir d’où on veut), se termine à coups de couteau dans la baignoire ?
Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?
Pour justifier son initiative, Michaël Delafosse met en avant le cosmopolitisme de sa ville, une ville universitaire qui, à l’en croire, ne serait peuplée que de brillants étudiants et de savants chercheurs…
Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.
Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.
Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.
Il suffit qu’Ursula von der Leyen encourage les pays européens à « gérer les migrations avec dignité et respect » dans son discours sur l’état de l’Union pour qu’Emmanuel Macron, dès le lendemain, se saisisse du sujet migratoire.
Pour redynamiser la commune, la mairie de Callac, aidée de l’État et d’une fondation privée philanthrope, prévoit de faire venir des demandeurs d’asile en plein centre-ville.
Entre ces gens venus de loin et la bourgeoisie richissime qui nous vante leurs qualités, leurs diplômes, leurs capacités, l’enrichissement culturel qu’ils nous apportent, pourquoi n’organiserait-on pas, enfin, une rencontre ?
Grâce aux subventions, les municipalités écologistes ont trouvé une arme efficace pour poursuivre leur œuvre de déconstruction.
Sur les bords de la vallée de la Seine, il fut un temps où les vignes fleurissaient autour de ce bourg médiéval nommé Les Mureaux…
Une surprise que les Cuersois n’ont pas forcément appréciée, déplorant notamment le manque de transparence du maire sur ce sujet qui les touche très directement.
Trop, c’est trop : le maire de Saint-Lys s’oppose à la création d’un centre d’accueil pour migrants et dénonce des décisions prises par l’Etat sans aucune concertation.
Face à cette insécurité, très souvent liée au narcobanditisme qui irrigue l’ensemble des réseaux criminels, les moyens mis en œuvre ne suffisent plus.
L’association de riverains et de parents d’élèves sont « sous le choc » depuis qu’ils ont appris le projet de la mairie d’implanter un nouveau centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) sur un terrain résidentiel, à 100 mètres de la plage, entre camping et école primaire
Le passeur est un être généreux, certes, mais il aime être payé à temps. Sans quoi, il réagira à sa manière, c’est-à-dire par « les coups, les viols, les menaces sur leur vie et celle de leur famille »…
En Hollande, des bateaux géants sont aménagés pour des transferts massifs de migrants en Europe.
Une ville ou règne sans partage la gauche, puisque l’immense majorité des élus macronistes sont eux aussi issus du PS ou des anciens EELV ralliés à Macron.
Au total, selon les Nations unies, le trafic de migrants générerait donc plus de 7 milliards de dollars.
« Le PLF (Plan de loi de finances) pour 2023 prévoit la création de 900 nouvelles places d’hébergement d’urgence pour les demandeurs d’asile en outre-mer, 1.500 places en centres d’accueil et d’examen des situations et 2.500 places en centre d’accueil pour demandeurs d’asile », explique le dossier officiel.
Durant l’été 2021, la municipalité avait été mise devant le fait accompli après l’acquisition de locaux par le groupe Adoma, mandaté par l’État…
Éric Zemmour sait bien que c’est cette France rurale et périphérique des petites et moyennes communes qui vote majoritairement RN qui peut lui fournir l’élargissement populaire qui lui a manqué ce printemps.
Depuis le début de l’année, le nombre de personnes à avoir emprunté cette voie migratoire périlleuse est historiquement haut : la barre des 30.000 a été franchie.
D’après Xavier Delrieu, chef de l’OCRIEST, il s’agit de la plus grosse saisie de matériel nautique réalisée en France.
Interpellés, les deux chefs sont passés aux aveux et ont reconnu avoir fait passer quatre ou cinq personnes, ces six derniers mois.
Il ne nous reste plus qu’à souhaiter au ministre de l’Intérieur que ses déclaration soient rapidement suivies d’effet, sous peine d’enterrer définitivement sa crédibilité plus que vacillante auprès des Français.
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
Alors qu’en Iran, théocratie islamiste, les femmes se rebellent contre l’obligation du port du voile, en France, réputée république laïque, les islamistes – aidés de leurs alliés objectifs les néo-féministes et les islamo-gauchistes – imposent le voile dans l’espace public.
Comment s’étonner qu’une histoire d’amour entre une jeune fille kurde et un militaire français, dont l’origine étrangère prétendue est un détail (quand on s’appelle Julien et qu’on sert la France, on peut venir d’où on veut), se termine à coups de couteau dans la baignoire ?
Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?
Pour justifier son initiative, Michaël Delafosse met en avant le cosmopolitisme de sa ville, une ville universitaire qui, à l’en croire, ne serait peuplée que de brillants étudiants et de savants chercheurs…
Cette proposition émane à l’évidence d’un personnage qui n’a jamais été un élu rural et qui regarde la ruralité au travers des lunettes déformantes de la technocratie.
Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.
Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.
Il suffit qu’Ursula von der Leyen encourage les pays européens à « gérer les migrations avec dignité et respect » dans son discours sur l’état de l’Union pour qu’Emmanuel Macron, dès le lendemain, se saisisse du sujet migratoire.
Pour redynamiser la commune, la mairie de Callac, aidée de l’État et d’une fondation privée philanthrope, prévoit de faire venir des demandeurs d’asile en plein centre-ville.
Entre ces gens venus de loin et la bourgeoisie richissime qui nous vante leurs qualités, leurs diplômes, leurs capacités, l’enrichissement culturel qu’ils nous apportent, pourquoi n’organiserait-on pas, enfin, une rencontre ?
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