Immigration et diversité
Jean-Paul Gourévitch et Contribuables associés ont publié une étude dépassionnée visant à évaluer les coûts de l’immigration en France et à émettre des propositions pour les réduire.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme.
L’antiracisme est devenu l’alpha et l’oméga de l’idéologie politiquement correcte qui dicte sa loi au législateur, qui guide la plume de tous ceux qui écrivent.
Chaque jour apporte son lot de révélations au sujet de l’exploitation de centaines d’enfants en Grande-Bretagne.
L’université de Paris 8 prend depuis, des semaines, des allures de camp retranché aux portes de Paris.
Première question, lancinante, que faisait cet individu sur NOTRE SOL ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Dimanche, la basilique de Saint-Denis, nécropole des rois de France, a été envahie par des migrants aidés de quelques militants d’extrême gauche.
Les images terrifiantes de la profanation de la basilique Saint Denis…
Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.
La consommation effrénée, souvent au prix d’un endettement important, et parfois sur les comptes sociaux, est la seule insertion qui fonctionne en France en ce moment pour les nouvelles populations.
Sur le plateau de l’Émission politique, France 2
Ne sachant plus où donner de la tête, le président de « L’Auberge des migrants » accuse les pouvoirs publics d’agir avec maladresse.
À quand la sous-préfète en soubrette pour prendre les commandes de ces messieurs ?
Gobee.bike jette l’éponge et abandonne son activité en France. Les raisons principales invoquées par la mediasphère : « Des dégradations, de la casse et de la malveillance de la part de certains usagers. »
À Toulouse aujourd’hui, introduire de la diversité signifie réinjecter un peu de gaulois dans le halal, un peu comme on remet des ours dans les Pyrénées. À croire que « le Grand Remplacement » ne serait pas un fantasme…
Les budgets déficitaires de la France continuent de financer des centres d’accueil toujours plus nombreux, et les journalistes continuent de maquiller la vérité.
On verbaliserait sans état d’âme une personne âgée qui a oublié sa carte senior, mais on refuserait de signaler un groupe de migrants dans l’illégalité ?
Le calme et la tranquillité qui caractérisent la petite commune de Saint-Macaire en Gironde risquent bien de disparaître d’ici quelques semaines.
Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.
À force de moquer les propriétaires campés sur leurs biens et accusés d’y tenir, on a peu à peu légitimé toutes les atteintes, même les plus intolérables, au droit d’être tranquillement chez soi et de s’y croire en sûreté.
Diverses initiatives prises par des femmes, notamment des manifestations, voient le jour en Allemagne afin de dénoncer les violences sexuelles commises par les migrants.
Vouloir rassurer les foules face à un taux de fécondité en déclin à 1,88 enfant par femme parce que la population globale, en France, augmente en raison de l’invasion migratoire et suite à l’augmentation de la durée de vie est inacceptable.
Selon eux, des migrants soudanais que la Belgique avait renvoyés vers leur pays d’origine auraient subi des mauvais traitements à leur retour.
Des migrants y seraient bien. Des espaces infinis où l’on pourrait construire jusqu’à plus soif des centres d’hébergement.
Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent.
C’est à la nation française seule de décider de son immigration : zéro, négative ou positive. Or, elle n’a jamais été consultée sur cette grave question.
On cherche à nous imposer l’idée que c’est en accueillant sans cesse des nouveaux venus que les communautés locales font taire leurs querelles internes. En vérité c’est exactement le contraire.
Depuis la nuit des temps, l’esclavage a toujours consisté à déraciner par la force et la contrainte des êtres humains pour les entraîner loin de leur patrie, loin de leur famille, et les asservir au bénéfice d’autres être humains.
Jean-Paul Gourévitch et Contribuables associés ont publié une étude dépassionnée visant à évaluer les coûts de l’immigration en France et à émettre des propositions pour les réduire.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme.
L’antiracisme est devenu l’alpha et l’oméga de l’idéologie politiquement correcte qui dicte sa loi au législateur, qui guide la plume de tous ceux qui écrivent.
Chaque jour apporte son lot de révélations au sujet de l’exploitation de centaines d’enfants en Grande-Bretagne.
L’université de Paris 8 prend depuis, des semaines, des allures de camp retranché aux portes de Paris.
Première question, lancinante, que faisait cet individu sur NOTRE SOL ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Dimanche, la basilique de Saint-Denis, nécropole des rois de France, a été envahie par des migrants aidés de quelques militants d’extrême gauche.
Les images terrifiantes de la profanation de la basilique Saint Denis…
Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.
La consommation effrénée, souvent au prix d’un endettement important, et parfois sur les comptes sociaux, est la seule insertion qui fonctionne en France en ce moment pour les nouvelles populations.
Sur le plateau de l’Émission politique, France 2
Ne sachant plus où donner de la tête, le président de « L’Auberge des migrants » accuse les pouvoirs publics d’agir avec maladresse.
À quand la sous-préfète en soubrette pour prendre les commandes de ces messieurs ?
Gobee.bike jette l’éponge et abandonne son activité en France. Les raisons principales invoquées par la mediasphère : « Des dégradations, de la casse et de la malveillance de la part de certains usagers. »
À Toulouse aujourd’hui, introduire de la diversité signifie réinjecter un peu de gaulois dans le halal, un peu comme on remet des ours dans les Pyrénées. À croire que « le Grand Remplacement » ne serait pas un fantasme…
Les budgets déficitaires de la France continuent de financer des centres d’accueil toujours plus nombreux, et les journalistes continuent de maquiller la vérité.
On verbaliserait sans état d’âme une personne âgée qui a oublié sa carte senior, mais on refuserait de signaler un groupe de migrants dans l’illégalité ?
Le calme et la tranquillité qui caractérisent la petite commune de Saint-Macaire en Gironde risquent bien de disparaître d’ici quelques semaines.
Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.
À force de moquer les propriétaires campés sur leurs biens et accusés d’y tenir, on a peu à peu légitimé toutes les atteintes, même les plus intolérables, au droit d’être tranquillement chez soi et de s’y croire en sûreté.
Diverses initiatives prises par des femmes, notamment des manifestations, voient le jour en Allemagne afin de dénoncer les violences sexuelles commises par les migrants.
Vouloir rassurer les foules face à un taux de fécondité en déclin à 1,88 enfant par femme parce que la population globale, en France, augmente en raison de l’invasion migratoire et suite à l’augmentation de la durée de vie est inacceptable.
Selon eux, des migrants soudanais que la Belgique avait renvoyés vers leur pays d’origine auraient subi des mauvais traitements à leur retour.
Des migrants y seraient bien. Des espaces infinis où l’on pourrait construire jusqu’à plus soif des centres d’hébergement.
Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent.
C’est à la nation française seule de décider de son immigration : zéro, négative ou positive. Or, elle n’a jamais été consultée sur cette grave question.
On cherche à nous imposer l’idée que c’est en accueillant sans cesse des nouveaux venus que les communautés locales font taire leurs querelles internes. En vérité c’est exactement le contraire.
Depuis la nuit des temps, l’esclavage a toujours consisté à déraciner par la force et la contrainte des êtres humains pour les entraîner loin de leur patrie, loin de leur famille, et les asservir au bénéfice d’autres être humains.
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