Industrie
Je reprends le début de mon article du 25 septembre (1), car il n’y a pas à y changer un iota : « Depuis quarante
Il en est de même pour Sally Susman, la vice-présidente des laboratoires, qui a, elle aussi, cédé des actions et vendu 43.662 titres pour la somme de 1,8 million de dollars (1,5 million d’euros).
Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.
Le groupe japonais Bridgestone a annoncé, le 16 septembre, la fermeture de son usine de Béthune (Pas-de-Calais), employant 863 personnes dans la fabrication de pneumatiques
Si la Commission européenne a qualifié les sanctions américaines de « contraire aux lois internationales », aucune riposte en vue. Cela ne surprendra personne.
Comme toujours, il s’agit d’une affaire de doigté. Pourtant, une fois de plus, Benjamin Griveaux n’a pas eu la main tout à fait heureuse dans le choix de ses nouvelles occupations en solitaire.
Après les têtes des statues, ce seront celles des récalcitrants qui pourraient bien tomber.
Ne serait-il pas préférable de maintenir le nucléaire et soutenir la recherche pour des énergies moins polluantes et éphémères que les éoliennes ?
Le marché est mondial et gigantesque, actuellement plus de 120 candidats-vaccins contre ce coronavirus sont à l’étude dans le monde…
Patatras ! le pouvoir se prend encore les pieds dans le tapis.
Bruno Le Maire annonce une récession à hauteur de 8 %, conséquence prévisible de cette période inédite de confinement. Comment envisager une reprise de l’économie « après Covid » ?
Les masques en sont l’exemple le plus flagrant. Tout le monde a bien compris, malgré les explications à dormir debout des ministres et de leurs perroquets médiatiques, que comme les frontières, ils sont une forme de confinement.
Un peu de bon sens, un peu de sens collectif français, face à la mondialisation heureuse et financière à tous crins qui n’avait pas prévu la pandémie.
Cet homme, même s’il n’est guère aimé, réunit des qualités rarissimes : celles d’avoir une vision à long terme du secteur et celles de savoir mettre en œuvre jusque dans les moindres détails.
Le « made in France » devient attractif car nous, consommateurs, avons besoin d’une traçabilité des produits.
Le camp du bien, c’est eux, ils décident. Les gouvernements libyen et français doivent s’exécuter, et n’entraver ni le trafic des passeurs ni l’action salvatrice des ONG.
Avec le cas Lubrizol, on touche du doigt aux aberrations de la « gestion de l’aménagement du territoire à la française ».
Mais moi, ce qui m’étonne, c’est qu’une telle invention n’ait été annoncée nulle part dans les médias. On préfère maintenir les bons peuples dans l’angoisse de la destruction de la planète.
Carlos Ghosn n’est pas, précisément, un tendre poulain égaré ; mais cela n’enlève rien à la laideur de la curée qui s’annonce.
C’est le mot d’ordre, aujourd’hui, car la question est de sauver… Bayer !
C’est que le projet a un énorme défaut : si personne ne peut matériellement dépasser les vitesses limites, les radars ne servent plus à rien, et surtout plus à siphonner…
Confier la prééminence à l’Allemagne dans les relations commerciales avec la Chine, c’est prendre plus qu’un risque : c’est être cocu à terme !
L’objectif premier du CNC, qui était de lutter contre la déferlante de films anglo-saxons sur les écrans, étant manifestement un échec, à quoi bon conserver cet organisme ?
Reste à savoir lequel, désormais, est le vrai « Master » de cette grande ambition ?
Pour Bruno Le Maire, la décision de la Commission européenne d’empêcher la fusion d’Asltom avec Siemens serait contraire aux intérêts de l’Europe…
Bic prend ses cliques et ses claques pour se délocaliser en Tunisie.
Il importe donc de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations.
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
Je reprends le début de mon article du 25 septembre (1), car il n’y a pas à y changer un iota : « Depuis quarante
Il en est de même pour Sally Susman, la vice-présidente des laboratoires, qui a, elle aussi, cédé des actions et vendu 43.662 titres pour la somme de 1,8 million de dollars (1,5 million d’euros).
Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.
Le groupe japonais Bridgestone a annoncé, le 16 septembre, la fermeture de son usine de Béthune (Pas-de-Calais), employant 863 personnes dans la fabrication de pneumatiques
Si la Commission européenne a qualifié les sanctions américaines de « contraire aux lois internationales », aucune riposte en vue. Cela ne surprendra personne.
Comme toujours, il s’agit d’une affaire de doigté. Pourtant, une fois de plus, Benjamin Griveaux n’a pas eu la main tout à fait heureuse dans le choix de ses nouvelles occupations en solitaire.
Après les têtes des statues, ce seront celles des récalcitrants qui pourraient bien tomber.
Ne serait-il pas préférable de maintenir le nucléaire et soutenir la recherche pour des énergies moins polluantes et éphémères que les éoliennes ?
Le marché est mondial et gigantesque, actuellement plus de 120 candidats-vaccins contre ce coronavirus sont à l’étude dans le monde…
Patatras ! le pouvoir se prend encore les pieds dans le tapis.
Bruno Le Maire annonce une récession à hauteur de 8 %, conséquence prévisible de cette période inédite de confinement. Comment envisager une reprise de l’économie « après Covid » ?
Les masques en sont l’exemple le plus flagrant. Tout le monde a bien compris, malgré les explications à dormir debout des ministres et de leurs perroquets médiatiques, que comme les frontières, ils sont une forme de confinement.
Un peu de bon sens, un peu de sens collectif français, face à la mondialisation heureuse et financière à tous crins qui n’avait pas prévu la pandémie.
Cet homme, même s’il n’est guère aimé, réunit des qualités rarissimes : celles d’avoir une vision à long terme du secteur et celles de savoir mettre en œuvre jusque dans les moindres détails.
Le « made in France » devient attractif car nous, consommateurs, avons besoin d’une traçabilité des produits.
Le camp du bien, c’est eux, ils décident. Les gouvernements libyen et français doivent s’exécuter, et n’entraver ni le trafic des passeurs ni l’action salvatrice des ONG.
Avec le cas Lubrizol, on touche du doigt aux aberrations de la « gestion de l’aménagement du territoire à la française ».
Mais moi, ce qui m’étonne, c’est qu’une telle invention n’ait été annoncée nulle part dans les médias. On préfère maintenir les bons peuples dans l’angoisse de la destruction de la planète.
Carlos Ghosn n’est pas, précisément, un tendre poulain égaré ; mais cela n’enlève rien à la laideur de la curée qui s’annonce.
C’est le mot d’ordre, aujourd’hui, car la question est de sauver… Bayer !
C’est que le projet a un énorme défaut : si personne ne peut matériellement dépasser les vitesses limites, les radars ne servent plus à rien, et surtout plus à siphonner…
Confier la prééminence à l’Allemagne dans les relations commerciales avec la Chine, c’est prendre plus qu’un risque : c’est être cocu à terme !
L’objectif premier du CNC, qui était de lutter contre la déferlante de films anglo-saxons sur les écrans, étant manifestement un échec, à quoi bon conserver cet organisme ?
Reste à savoir lequel, désormais, est le vrai « Master » de cette grande ambition ?
Pour Bruno Le Maire, la décision de la Commission européenne d’empêcher la fusion d’Asltom avec Siemens serait contraire aux intérêts de l’Europe…
Bic prend ses cliques et ses claques pour se délocaliser en Tunisie.
Il importe donc de ne pas détruire l’Union européenne, mais de prendre le pouvoir de l’intérieur pour la mettre au service des nations.
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
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