International
On pourrait considérer que c’est comme ça, que ce n’est pas si grave et que c’est même plutôt sympa, et s’arrêter là.
Cet événement semble marquer la fin de l’influence de Trump sur les républicains.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Par ce texte, premier pas dans la limitation effective de l’immigration clandestine, le gouvernement Meloni s’engage dans la voie du bras de fer avec les ONG.
Face à l’ampleur du phénomène, le gouvernement de Justin Trudeau a décidé de privilégier les citoyens canadiens face aux étrangers.
Les politiques, longtemps complices de l’ouverture massive des frontières, établissent désormais sans sourciller le lien entre immigration et criminalité.
Sur deux continents aux antipodes, les avions de chasse de notre constructeur national pointent leurs ailes défensives dans des ciels potentiellement turbulents, voire menaçants.
Ces propos de Conner Rousseau ont été très fortement diabolisés par la classe politique belge.
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
Ce 23 décembre, donc, le patron de Radio M et du site d’information Maghreb émergent est arrêté à son domicile et embarqué dès le lendemain pour une perquisition au siège de ses médias, menottes aux poignets.
La Suisse a été victime de son succès. Le pays est l’un des plus attractifs d’Europe à plusieurs niveaux.
Il est des causes qu’on ne veut pas entendre. Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop.
Et la France, dans tout ça ? On a peine à entendre sa voix.
Le Congrès américain s’est prononcé favorablement pour une aide massive à l’Ukraine : 45 milliards de dollars, sur les 1.700 milliards du budget fédéral.
Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.
Le ministre de l’Intérieur ne connaît pas la trêve des confiseurs. Mais il a quand même la hotte du père Noël. Remplie de visas.
Officieusement, Joe Biden devrait aussi faire comprendre à son homologue que cette aide n’est pas non plus inconditionnelle. Plus officieusement encore, il s’agit de tordre le bras de Zelensky et de l’obliger à s’asseoir à la table des négociations.
Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.
Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.
Si l’Europe est absente, la France, on s’en doute, ne lèvera pas le petit doigt pour l’Arménie.
Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.
L’assistant parlementaire de 35 ans reconnaît être membre d’un réseau d’influence en faveur du Qatar et des services de renseignement marocains.
La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?
Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.
Il est reproché à la Justice hongroise d’être trop proche du pouvoir politique en place. Il est un fait que ce n’est pas en France qu’on assisterait à de telles dérives…
Pénitente décoloniale masochiste, la France est le catalyseur naturel des frustrations populaires légitimes, dont les causes réelles sont liées avant tout à la mauvaise gouvernance locale, couverte par la communauté internationale.
Mais cette fois-ci, ces eurodéputés, adeptes du rôle d’accusateurs, risquent bien de se retrouver sur le banc des accusés.
On pourrait considérer que c’est comme ça, que ce n’est pas si grave et que c’est même plutôt sympa, et s’arrêter là.
Cet événement semble marquer la fin de l’influence de Trump sur les républicains.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Par ce texte, premier pas dans la limitation effective de l’immigration clandestine, le gouvernement Meloni s’engage dans la voie du bras de fer avec les ONG.
Face à l’ampleur du phénomène, le gouvernement de Justin Trudeau a décidé de privilégier les citoyens canadiens face aux étrangers.
Les politiques, longtemps complices de l’ouverture massive des frontières, établissent désormais sans sourciller le lien entre immigration et criminalité.
Sur deux continents aux antipodes, les avions de chasse de notre constructeur national pointent leurs ailes défensives dans des ciels potentiellement turbulents, voire menaçants.
Ces propos de Conner Rousseau ont été très fortement diabolisés par la classe politique belge.
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
Ce 23 décembre, donc, le patron de Radio M et du site d’information Maghreb émergent est arrêté à son domicile et embarqué dès le lendemain pour une perquisition au siège de ses médias, menottes aux poignets.
La Suisse a été victime de son succès. Le pays est l’un des plus attractifs d’Europe à plusieurs niveaux.
Il est des causes qu’on ne veut pas entendre. Quel est le tort de ces vieillards, de ces femmes et de ces enfants qui fuient ? Être Arméniens, être chrétiens, deux raisons d’être de trop.
Et la France, dans tout ça ? On a peine à entendre sa voix.
Le Congrès américain s’est prononcé favorablement pour une aide massive à l’Ukraine : 45 milliards de dollars, sur les 1.700 milliards du budget fédéral.
Tout le problème provient du fait que l’Union européenne, depuis qu’elle a renoncé au gaz russe, est prise à la gorge. Nous sommes passés d’une dépendance à une autre.
Le ministre de l’Intérieur ne connaît pas la trêve des confiseurs. Mais il a quand même la hotte du père Noël. Remplie de visas.
Officieusement, Joe Biden devrait aussi faire comprendre à son homologue que cette aide n’est pas non plus inconditionnelle. Plus officieusement encore, il s’agit de tordre le bras de Zelensky et de l’obliger à s’asseoir à la table des négociations.
Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.
Il semble bien, en effet, que l’état-major russe, sous la conduite du général Sourovikine, ait appris de ses erreurs et fait le choix, cette fois-ci, de reprendre les choses dans l’ordre en commençant par des bombardements massifs, comme les Occidentaux l’avaient fait en Serbie ou en Irak.
Si l’Europe est absente, la France, on s’en doute, ne lèvera pas le petit doigt pour l’Arménie.
Que la politique européenne (et donc française), notamment en matière migratoire, puisse être soumise à des pressions, on pouvait s’en douter.
L’assistant parlementaire de 35 ans reconnaît être membre d’un réseau d’influence en faveur du Qatar et des services de renseignement marocains.
La tentation ne serait-elle pas grande d’entrer en Ukraine afin de sécuriser sa partie occidentale ?
Fort opportunément, les médias français, par de misérables contre-feux, tentent de lier l’actuel gouvernement italien à un quelconque objectif de favoriser l’évasion fiscale.
Il est reproché à la Justice hongroise d’être trop proche du pouvoir politique en place. Il est un fait que ce n’est pas en France qu’on assisterait à de telles dérives…
Pénitente décoloniale masochiste, la France est le catalyseur naturel des frustrations populaires légitimes, dont les causes réelles sont liées avant tout à la mauvaise gouvernance locale, couverte par la communauté internationale.
Mais cette fois-ci, ces eurodéputés, adeptes du rôle d’accusateurs, risquent bien de se retrouver sur le banc des accusés.