International
Cet ancien militaire de 44 ans, à la ligne conservatrice et très engagé sur les sujets d’éducation, est devenu au fil des années l’un des poids lourds du parti républicain.

Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.

Si ce gouvernement accepte de se laisser dicter sa politique migratoire, sujet éminemment régalien, par les ONG et ne peut s’opposer à cet afflux continu de clandestins alors qu’il a toutes les cartes en main pour cela, qui pourra le faire ?

Les grands discours ne fonctionnent plus, les promesses ne sont pas tenues, et pourtant des choses se font. Ou, plutôt, se défont.

Nous avons été nombreux à découvrir l’horreur avec l’assassinat de Sœur Marie-Sylvie Kavuke Vakatsuraki, le 19 octobre 2022, dans l’est de la République démocratique du Congo.

Grâce à son incompétence particulièrement remarquable, Liz Truss, et à travers elle la Grande-Bretagne, vient paradoxalement de donner une victoire éclatante au féminisme.

Avec la victoire de Lula, ils jubilent. Il n’y a pas forcément de quoi.

Non pas la « fin de l’Histoire » de Fukuyama mais la fin d’un cycle. Celui de la domination occidentale du monde.

Une récente décision judiciaire est venue fragiliser encore une situation sécuritaire déjà extrêmement précaire.

Voilà une femme de droite aux convictions radicales, prête à en découdre face à ses opposants politiques.

Bon courage à nos frères d’Orient, que nous avons fait serment de protéger depuis 1535, mais qui nous renvoient aujourd’hui à notre propre incapacité.

La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.

Quoi qu’il en soit, si les démocrates devaient perdre la majorité à la Chambre des représentants et au Sénat, Joe Biden ne bénéficierait pas d’un 49-3 à l’américaine et ne pourrait plus faire ce qu’il veut…

Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.

Ce n’est pas parce que Poutine combat l’idéologie « woke LGBT » que cela devrait amener, par un absurde reflexe binaire, à le soutenir.

Les yeux fixés sur la ligne de front, peut-être découvrirons-nous bientôt que ce ne sont ni les HIMARS ni les canons CAESAr qui finiront par déterminer le sort du conflit mais des pompes à essence…

Il avait tout pour devenir une vedette de la gauche anglaise… et française. Ça ne sera pas le cas ! Rishi Sunak est assuré de devenir l’un des Premiers ministres les plus conservateurs et libéraux de Sa Majesté.

Voici maintenant que l’Allemagne se prépare à faire interdire la vente d’armes, au sein de l’Union européenne, à d’autres pays que ceux de l’Union ou de l’OTAN.

En revanche, si jamais la France durcissait sa politique migratoire – ce qui n’est pas près d’arriver sous la présidence de Macron –, que de pressions subirait-elle !

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

Obama, lui, a bien compris que comme en France, le clivage « USA d’en haut/USA d’en bas » commence à supplanter le classique gauche/droite.

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

L’encre a déjà beaucoup coulé sur ce sujet, ni cette pauvre enfant ni ses bourreaux ne présentaient le bon profil pour les médias. Ils ne méritent donc pas qu’on en fasse tout un plat.

Dans les couples, il y a souvent un cocu. La France, donc.
Liz Truss aura été le chef de gouvernement qui aura occupé le moins longtemps le 10 Downing Street.

Aussitôt la gauche italienne, qui, fait rarissime, a refusé d’applaudir lors de son élection comme il est de coutume en Italie, s’est déchaînée.
L’agitation qui secoue le pays a plus à voir avec la situation économique et sociale qu’à une histoire de voile ou d’aspirations progressistes.

Le problème n’est pas tant la générosité de la France que son inconséquence. C’est tout le problème de la fameuse ambiguïté macronienne.
Cet ancien militaire de 44 ans, à la ligne conservatrice et très engagé sur les sujets d’éducation, est devenu au fil des années l’un des poids lourds du parti républicain.

Ce constat, nombre de nos confrères l’ont déjà dressé : il n’y a plus rien à négocier entre ces deux Amérique.

Si ce gouvernement accepte de se laisser dicter sa politique migratoire, sujet éminemment régalien, par les ONG et ne peut s’opposer à cet afflux continu de clandestins alors qu’il a toutes les cartes en main pour cela, qui pourra le faire ?

Les grands discours ne fonctionnent plus, les promesses ne sont pas tenues, et pourtant des choses se font. Ou, plutôt, se défont.

Nous avons été nombreux à découvrir l’horreur avec l’assassinat de Sœur Marie-Sylvie Kavuke Vakatsuraki, le 19 octobre 2022, dans l’est de la République démocratique du Congo.

Grâce à son incompétence particulièrement remarquable, Liz Truss, et à travers elle la Grande-Bretagne, vient paradoxalement de donner une victoire éclatante au féminisme.

Avec la victoire de Lula, ils jubilent. Il n’y a pas forcément de quoi.

Non pas la « fin de l’Histoire » de Fukuyama mais la fin d’un cycle. Celui de la domination occidentale du monde.

Une récente décision judiciaire est venue fragiliser encore une situation sécuritaire déjà extrêmement précaire.

Voilà une femme de droite aux convictions radicales, prête à en découdre face à ses opposants politiques.

Bon courage à nos frères d’Orient, que nous avons fait serment de protéger depuis 1535, mais qui nous renvoient aujourd’hui à notre propre incapacité.

La gauche française, la joue rouge et les fesses endolories depuis la descente aux enfers entamée à la rentrée de septembre, boit enfin le lait quasi divin d’une victoire électorale.

Quoi qu’il en soit, si les démocrates devaient perdre la majorité à la Chambre des représentants et au Sénat, Joe Biden ne bénéficierait pas d’un 49-3 à l’américaine et ne pourrait plus faire ce qu’il veut…

Giorgia Meloni, l’ex-jeune militante du MSI du quartier populaire de la Garbatella à Rome, est entrée magistralement dans la cour des grands.

Ce n’est pas parce que Poutine combat l’idéologie « woke LGBT » que cela devrait amener, par un absurde reflexe binaire, à le soutenir.

Les yeux fixés sur la ligne de front, peut-être découvrirons-nous bientôt que ce ne sont ni les HIMARS ni les canons CAESAr qui finiront par déterminer le sort du conflit mais des pompes à essence…

Il avait tout pour devenir une vedette de la gauche anglaise… et française. Ça ne sera pas le cas ! Rishi Sunak est assuré de devenir l’un des Premiers ministres les plus conservateurs et libéraux de Sa Majesté.

Voici maintenant que l’Allemagne se prépare à faire interdire la vente d’armes, au sein de l’Union européenne, à d’autres pays que ceux de l’Union ou de l’OTAN.

En revanche, si jamais la France durcissait sa politique migratoire – ce qui n’est pas près d’arriver sous la présidence de Macron –, que de pressions subirait-elle !

En France, loin de ce pragmatisme, retour à l’idéologie. La NUPES, bien installée dans son rôle d’agitateur (ou d’amuseur ?) public, s’étouffe d’indignation.

Obama, lui, a bien compris que comme en France, le clivage « USA d’en haut/USA d’en bas » commence à supplanter le classique gauche/droite.

La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »

L’encre a déjà beaucoup coulé sur ce sujet, ni cette pauvre enfant ni ses bourreaux ne présentaient le bon profil pour les médias. Ils ne méritent donc pas qu’on en fasse tout un plat.

Dans les couples, il y a souvent un cocu. La France, donc.
Liz Truss aura été le chef de gouvernement qui aura occupé le moins longtemps le 10 Downing Street.

Aussitôt la gauche italienne, qui, fait rarissime, a refusé d’applaudir lors de son élection comme il est de coutume en Italie, s’est déchaînée.
L’agitation qui secoue le pays a plus à voir avec la situation économique et sociale qu’à une histoire de voile ou d’aspirations progressistes.

Le problème n’est pas tant la générosité de la France que son inconséquence. C’est tout le problème de la fameuse ambiguïté macronienne.
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