International
La réalité opérationnelle surprend les militaires occidentaux qui ne s’attendaient pas à autant de difficultés de la part d’une armée russe en théorie parmi les plus puissantes du monde.
Le 4 avril 1940 avait lieu le massacre de Katyń. Des milliers d’officiers polonais étaient exécutés sommairement. Un crime que l’URSS imputa des années durant à l’Allemagne nazie. Il fallut attendre 1990 pour que les Soviétiques reconnaissent leur responsabilité.
Le skipper toulonnais Sébastien Destremau a décidé, face à la situation d’urgence touchant la population ukrainienne, d’organiser un convoi humanitaire pour venir en aide aux réfugiés.
Et maintenant ? Les défis sont nombreux pour Orbán, il lui faudra gérer et absorber les effets économiques très pesants pour l’Union européenne des sanctions…
Jusqu’où le citoyen français ou espagnol, peu dépendant du gaz russe, est-il prêt à aller pour aider son collègue allemand, tchèque ou finlandais à passer ce moment difficile ?
Bien davantage qu’un pacte militaire, l’OTAN, c’est d’abord un marché.
Les peuples ne peuvent vivre, se développer et s’épanouir que dans un cadre national…
L’Union européenne fait la guerre à la Russie (qui, elle-même, a déclenché une guerre), avec des armes non pas militaires mais économiques : elle a lancé
Cet événement, au-delà du fait qu’il montre la fébrilité allemande face à une hypothèse d’agression russe absolument pas avérée (et assez peu probable à ce jour), pose également la question d’une course aux armements contre-productive.
Pour la presse, c’est le scandale. Pas les frasques et affaires de corruption du clan Biden, non. La simple mention du président russe « prouverait » que Donald Trump entretient des liens avec le va-t-en-guerre Vladimir Poutine.
Orban, qui a lancé il y a dix ans une révolution conservatrice unique en Europe, veut maintenir son pays arrimé à ses racines et affronter avec pragmatisme la tempête économique des conséquences de la guerre en Ukraine.
Ce terrible conflit en plein cœur de l’Europe ne peut laisser personne indifférent. Ces enfants pourraient être les miens.
Pour l’avocat, certains sont tellement biberonnés à la cause palestinienne qu’ils en perdent toute capacité d’objectivité.
Aujourd’hui, c’est Decathlon (2.500 salariés en Russie) qui doit baisser les bras, officiellement pour des questions d’approvisionnement, officieusement parce que la pression est trop forte.
Une grande recomposition géopolitique, en marche depuis quelque temps, pourrait s’accélérer et laisser l’Amérique et ses valets plus solitaires que prévu.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
Ils sont partis la fleur au fusil. Insouciants et sûrs d’eux, car la guerre serait courte, la victoire certaine, sans aucun doute. D’Ursula von der Leyen à Emmanuel Macron…
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
Alors que la Maison-Blanche travaille d’arrache-pied pour donner l’image d’un duo Biden-Harris uni, ces nouvelles révélations présentent Kamala Harris comme incompétente et loin des critères requis pour le poste qu’elle occupe.
En quelques semaines, nos indécrottables bien-pensants ont retourné leurs vestes comme crêpes à la Chandeleur, avec une rapidité de transformiste de métier.
À l’heure où nous écrivons, la ville a été rasée à 85 % par l’armée russe mais tient encore. Deux ou trois mille civils au moins ont été tués et des dizaines de milliers d’autres ont dû fuir à la hâte, laissant tout derrière eux.
Vladimir Zelinsky s’est adressé aux députés et sénateurs français par visioconférence, ce mercredi.
La Syrie ? Connais pas. Le Yémen, l’Afghanistan, le Liban, l’Iran ? C’est où, ça… Il n’y a plus personne pour couvrir ces conflits, plus grand monde pour seulement les évoquer.
En France, un homme connaît bien le milieu des engagés français en Ukraine, et pour cause : il en est le principal recruteur. L’« Oncle Sam » (un nom d’emprunt) est le Français qui gère la logistique du départ des volontaires.
Ils y ont été accueillis avec force joie et bonne humeur par les occupants du moment, selon la pure tradition de fraternité et convivialité du bord.
Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
Le philosophe français à la chemise blanche a estimé qu’Israël a eu tort de rester neutre dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie…
La réalité opérationnelle surprend les militaires occidentaux qui ne s’attendaient pas à autant de difficultés de la part d’une armée russe en théorie parmi les plus puissantes du monde.
Le 4 avril 1940 avait lieu le massacre de Katyń. Des milliers d’officiers polonais étaient exécutés sommairement. Un crime que l’URSS imputa des années durant à l’Allemagne nazie. Il fallut attendre 1990 pour que les Soviétiques reconnaissent leur responsabilité.
Le skipper toulonnais Sébastien Destremau a décidé, face à la situation d’urgence touchant la population ukrainienne, d’organiser un convoi humanitaire pour venir en aide aux réfugiés.
Et maintenant ? Les défis sont nombreux pour Orbán, il lui faudra gérer et absorber les effets économiques très pesants pour l’Union européenne des sanctions…
Jusqu’où le citoyen français ou espagnol, peu dépendant du gaz russe, est-il prêt à aller pour aider son collègue allemand, tchèque ou finlandais à passer ce moment difficile ?
Bien davantage qu’un pacte militaire, l’OTAN, c’est d’abord un marché.
Les peuples ne peuvent vivre, se développer et s’épanouir que dans un cadre national…
L’Union européenne fait la guerre à la Russie (qui, elle-même, a déclenché une guerre), avec des armes non pas militaires mais économiques : elle a lancé
Cet événement, au-delà du fait qu’il montre la fébrilité allemande face à une hypothèse d’agression russe absolument pas avérée (et assez peu probable à ce jour), pose également la question d’une course aux armements contre-productive.
Pour la presse, c’est le scandale. Pas les frasques et affaires de corruption du clan Biden, non. La simple mention du président russe « prouverait » que Donald Trump entretient des liens avec le va-t-en-guerre Vladimir Poutine.
Orban, qui a lancé il y a dix ans une révolution conservatrice unique en Europe, veut maintenir son pays arrimé à ses racines et affronter avec pragmatisme la tempête économique des conséquences de la guerre en Ukraine.
Ce terrible conflit en plein cœur de l’Europe ne peut laisser personne indifférent. Ces enfants pourraient être les miens.
Pour l’avocat, certains sont tellement biberonnés à la cause palestinienne qu’ils en perdent toute capacité d’objectivité.
Aujourd’hui, c’est Decathlon (2.500 salariés en Russie) qui doit baisser les bras, officiellement pour des questions d’approvisionnement, officieusement parce que la pression est trop forte.
Une grande recomposition géopolitique, en marche depuis quelque temps, pourrait s’accélérer et laisser l’Amérique et ses valets plus solitaires que prévu.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
Ils sont partis la fleur au fusil. Insouciants et sûrs d’eux, car la guerre serait courte, la victoire certaine, sans aucun doute. D’Ursula von der Leyen à Emmanuel Macron…
La venue éclair de Joe Biden à Bruxelles est surtout le symbole de l’alignement européen sur la politique américaine, que souligne de façon éclatante la présence du président américain au Conseil européen.
Le 16 mars dernier, Joe Biden n’avait pas hésité à qualifier Vladimir Poutine de « criminel de guerre »…
Alors que la Maison-Blanche travaille d’arrache-pied pour donner l’image d’un duo Biden-Harris uni, ces nouvelles révélations présentent Kamala Harris comme incompétente et loin des critères requis pour le poste qu’elle occupe.
En quelques semaines, nos indécrottables bien-pensants ont retourné leurs vestes comme crêpes à la Chandeleur, avec une rapidité de transformiste de métier.
À l’heure où nous écrivons, la ville a été rasée à 85 % par l’armée russe mais tient encore. Deux ou trois mille civils au moins ont été tués et des dizaines de milliers d’autres ont dû fuir à la hâte, laissant tout derrière eux.
Vladimir Zelinsky s’est adressé aux députés et sénateurs français par visioconférence, ce mercredi.
La Syrie ? Connais pas. Le Yémen, l’Afghanistan, le Liban, l’Iran ? C’est où, ça… Il n’y a plus personne pour couvrir ces conflits, plus grand monde pour seulement les évoquer.
En France, un homme connaît bien le milieu des engagés français en Ukraine, et pour cause : il en est le principal recruteur. L’« Oncle Sam » (un nom d’emprunt) est le Français qui gère la logistique du départ des volontaires.
Ils y ont été accueillis avec force joie et bonne humeur par les occupants du moment, selon la pure tradition de fraternité et convivialité du bord.
Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
Le philosophe français à la chemise blanche a estimé qu’Israël a eu tort de rester neutre dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie…