International

C’est justement cette incapacité des belligérants à faire la différence qui rend la situation extrêmement dangereuse.

En Hollande, des bateaux géants sont aménagés pour des transferts massifs de migrants en Europe.

Paradis, non point des djihadistes, qui y demeurent minoritaires et fort mal vus et guère mieux traités, mais surtout des trafiquants d’êtres humains ; d’où l’actuelle déferlante migratoire qu’on sait, naguère jugulée par un Kadhafi faisant office de garde-frontière.

Du bon sens, un programme de réformes indispensables, une droite classique mais qui s’assume… une véritable révolution !

Ce n’est pas pour rien qu’à gauche, on est souvent écolo, on recycle les vieux anathèmes et on fait dans la reductio ad Mussolinium renouvelable.

Reste que voir s’allier entre eux les gouvernement hongrois, polonais, suédois et italiens pour faire front à Ursula von der Leyen pourrait bien relever du fantasme.

L’État français n’est ni crédible, ni audible, en Afrique. Il se comporte en donneur de leçons de démocratie et de souveraineté nationale

Depuis la guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie, les dirigeants occidentaux ont plus que jamais besoin de l’Azerbaïdjan et de la Turquie. Le premier pour son gaz et la seconde pour son rôle de gardien du Bosphore.

Mercredi 21 septembre, le président Poutine s’est adressé à la nation russe. « Ceux qui font le chantage de l’arme nucléaire doivent savoir que ce

Grand reporter, Régis Le Sommier revient sur les différents référendums organisés dans les oblasts ukrainiens passés sous contrôle russe.

Une promesse de stabilité, un discours classique de droite, réformiste et pragmatique apte à séduire une grande partie du patronat italien.

En d’autres termes, l’Arménie n’aura ni les moyens ni les capacités de battre l’Azerbaïdjan et son allié turc.
On ne peut pas mélanger combats féministes et défense de l’islam politique. Louis Boyard ne veut pas le comprendre.

Dans ce contexte, où chaque partie exprime à nouveau, et de plus en plus clairement, sa capacité ou sa volonté de détruire l’autre, nous ne devrions pas sous-estimer la réponse de la Russie.
Interpellés, les deux chefs sont passés aux aveux et ont reconnu avoir fait passer quatre ou cinq personnes, ces six derniers mois.

On entrerait dans la Troisième Guerre mondiale si les troupes américaines ou de l’OTAN prenaient les armes directement contre les Russes en Ukraine ou en Russie. Nous sommes dans une situation inédite que tout le monde reconnaît.

Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.

Si les richesses gazières de l’Azerbaïdjan protègent le pays de sanctions économiques, la tolérance des dirigeants européens s’explique aussi par un lobbyisme azerbaïdjanais particulièrement bien implanté en Europe.

Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Le hijab est, sous nos latitudes, un tissu inoffensif, une parure dans les cheveux comme une autre, équivalente

C’est aujourd’hui un versement de 7,5 milliards d’euros qui est suspendu si, d’ici le mois de novembre, Viktor Orbán n’a pas mis en œuvre des réformes profondes et structurelles.

Le Royaume-Uni montre au monde à quel point l’union d’un peuple et son identité font sa force. Les images se passent de mots.

Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?

Eh bien, c’est là que l’on tombe de l’armoire : les esclaves en question sont amenés d’Afrique dans des pays arabes.

Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.

La reine ne faisait pas de la politique, elle ÉTAIT politique. Une incarnation du conservatisme, une relique de notre civilisation.

Si la Grèce et la Turquie entretiennent une mémoire vive de l’événement, il serait bon que nos dirigeants en fassent autant, eux qui se piquent de redessiner les frontières de l’Europe…

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Entre ces gens venus de loin et la bourgeoisie richissime qui nous vante leurs qualités, leurs diplômes, leurs capacités, l’enrichissement culturel qu’ils nous apportent, pourquoi n’organiserait-on pas, enfin, une rencontre ?

C’est justement cette incapacité des belligérants à faire la différence qui rend la situation extrêmement dangereuse.

En Hollande, des bateaux géants sont aménagés pour des transferts massifs de migrants en Europe.

Paradis, non point des djihadistes, qui y demeurent minoritaires et fort mal vus et guère mieux traités, mais surtout des trafiquants d’êtres humains ; d’où l’actuelle déferlante migratoire qu’on sait, naguère jugulée par un Kadhafi faisant office de garde-frontière.

Du bon sens, un programme de réformes indispensables, une droite classique mais qui s’assume… une véritable révolution !

Ce n’est pas pour rien qu’à gauche, on est souvent écolo, on recycle les vieux anathèmes et on fait dans la reductio ad Mussolinium renouvelable.

Reste que voir s’allier entre eux les gouvernement hongrois, polonais, suédois et italiens pour faire front à Ursula von der Leyen pourrait bien relever du fantasme.

L’État français n’est ni crédible, ni audible, en Afrique. Il se comporte en donneur de leçons de démocratie et de souveraineté nationale

Depuis la guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie, les dirigeants occidentaux ont plus que jamais besoin de l’Azerbaïdjan et de la Turquie. Le premier pour son gaz et la seconde pour son rôle de gardien du Bosphore.

Mercredi 21 septembre, le président Poutine s’est adressé à la nation russe. « Ceux qui font le chantage de l’arme nucléaire doivent savoir que ce

Grand reporter, Régis Le Sommier revient sur les différents référendums organisés dans les oblasts ukrainiens passés sous contrôle russe.

Une promesse de stabilité, un discours classique de droite, réformiste et pragmatique apte à séduire une grande partie du patronat italien.

En d’autres termes, l’Arménie n’aura ni les moyens ni les capacités de battre l’Azerbaïdjan et son allié turc.
On ne peut pas mélanger combats féministes et défense de l’islam politique. Louis Boyard ne veut pas le comprendre.

Dans ce contexte, où chaque partie exprime à nouveau, et de plus en plus clairement, sa capacité ou sa volonté de détruire l’autre, nous ne devrions pas sous-estimer la réponse de la Russie.
Interpellés, les deux chefs sont passés aux aveux et ont reconnu avoir fait passer quatre ou cinq personnes, ces six derniers mois.

On entrerait dans la Troisième Guerre mondiale si les troupes américaines ou de l’OTAN prenaient les armes directement contre les Russes en Ukraine ou en Russie. Nous sommes dans une situation inédite que tout le monde reconnaît.

Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.

Si les richesses gazières de l’Azerbaïdjan protègent le pays de sanctions économiques, la tolérance des dirigeants européens s’explique aussi par un lobbyisme azerbaïdjanais particulièrement bien implanté en Europe.

Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Le hijab est, sous nos latitudes, un tissu inoffensif, une parure dans les cheveux comme une autre, équivalente

C’est aujourd’hui un versement de 7,5 milliards d’euros qui est suspendu si, d’ici le mois de novembre, Viktor Orbán n’a pas mis en œuvre des réformes profondes et structurelles.

Le Royaume-Uni montre au monde à quel point l’union d’un peuple et son identité font sa force. Les images se passent de mots.

Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?

Eh bien, c’est là que l’on tombe de l’armoire : les esclaves en question sont amenés d’Afrique dans des pays arabes.

Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.

La reine ne faisait pas de la politique, elle ÉTAIT politique. Une incarnation du conservatisme, une relique de notre civilisation.

Si la Grèce et la Turquie entretiennent une mémoire vive de l’événement, il serait bon que nos dirigeants en fassent autant, eux qui se piquent de redessiner les frontières de l’Europe…

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Entre ces gens venus de loin et la bourgeoisie richissime qui nous vante leurs qualités, leurs diplômes, leurs capacités, l’enrichissement culturel qu’ils nous apportent, pourquoi n’organiserait-on pas, enfin, une rencontre ?
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