International
Le président ukrainien Zelensky a demandé, ce lundi 28 février, l’intégration sans délai de son pays à l’Union européenne. Jean-Paul Garraud, député RN au Parlement
Si l’Ukraine ne correspondait pas, géographiquement parlant, à la plus grande épine qu’il soit possible de mettre dans le pied de Vladimir Poutine, l’Occident s’érigerait-il en grand sauveur du peuple d’Ukraine ?
Nous pouvons accueillir les Ukrainiens. Ils partagent la culture de la vieille Europe, partagent aussi nos mœurs…
Les partis pris sans nuance résistent même au constat aveuglant des responsabilités russes dans le drame actuel qui se joue en Ukraine.
Demander à la Russie de battre sa coulpe aurait forcé la gauche à battre aussi la sienne.
A la question « Sommes-nous prêts à engager notre armée dans un tel conflit ? », la réponse est « Oui, mais pas sans notre peuple ».
Cette guerre est la conséquence de trente années d’erreurs politiques de la Russie, des États-Unis et de l’Union européenne. De duperies et de non-respect de la parole donnée aussi.
Il faudrait plus s’interroger sur la part de folie qui, depuis bien longtemps, a envahi l’oligarchie politique et médiatique occidentale que sur la supposée « paranoïa » de Vladimir Poutine.
Les États-Unis ont immédiatement dénoncé une escalade « inacceptable ».
Le Président Macron plie les gaules au motif que si les Maliens n’aiment plus la France, elle s’en va. Quelle naïveté !
L’OTAN, c’est un fantastique débouché pour la vente d’armements
Les occupants de la station sont quatre Américains, deux Russes et un Allemand. On peut donc imaginer que les événements dramatiques qui se déroulent sur terre, 450 kilomètre en dessous d’eux, ne laissent pas ces hommes de l’espace indifférents !
Poutine a remplacé les non-vaccinés. À présent, le méchant, l’acteur central de la grande tragédie médiatique, c’est lui.
Le consommateur européen doit malheureusement s’attendre, dans les prochains mois, à voir sa facture énergétique déjà élevée s’accroître à nouveau de façon très significative.
L’histoire de l’Ukraine est une histoire infiniment tragique.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
Poutine est aux commandes de la Russie depuis août 1999 : il a en tête les engagements successifs des uns et des autres. Côté américain, il en est à son cinquième président. Côté français, à son quatrième. Il a la mémoire du temps long.
Eurodéputé et soutien d’Éric Zemmour, Jérôme Rivière revient, pour Boulevard Voltaire, sur la crise ukrainienne et l’invasion du pays par l’armée russe. Vous êtes eurodéputé
Hervé Juvin répond aux questions de Geoffroy Antoine, dans un entretien réalisé ce 23 février, sur la crise ukrainienne
« Pour nous, chaque perte, c’est le fils, le père, le frère de quelqu’un. »
Frédéric Pons, journaliste, écrivain, professeur, est l’auteur d’un Poutine, paru en 2018 aux Éditions Calmann-Lévy. Joint ce 24 février par Boulevard Voltaire, il doute de l’efficacité des sanctions occidentales contre la Russie.
Jamais dans l’Histoire du pays, en dehors des deux guerres mondiales, le gouvernement canadien n’avait mis en œuvre l’état de siège, encore moins la loi martiale.
Poutine arrive au pouvoir au début du nouveau millénaire, et avec lui les perspectives changent. C’est un patriote qui n’accepte pas que la Russie ait perdu la « grandeur », comme aurait dit de Gaulle.
Regards croisés du politique et du militaire sur la stratégie au Donbass de l’homme qui fait trembler l’Europe : Vladimir Poutine.
Le problème ukrainien aurait dû être traité avec réalisme. Mais les strates mémorielles accumulées sur cette partie du monde et leur utilisation par les acteurs du drame selon leurs intérêts divergents ont éloigné toute solution raisonnable.
Si le Mozart de la finance, l’homme à la pensée complexe, le petit prince de la stabilité planétaire, était tout simplement une quiche ?
Pour la France, la guerre coûte de l’argent, aux Russes elle en rapporte.
L’Ukraine est une création artificielle des bolcheviques, regroupement de territoires russes de longue date à l’est et au sud ou conquis plus récemment sur les Polonais à l’Ouest.
Le président ukrainien Zelensky a demandé, ce lundi 28 février, l’intégration sans délai de son pays à l’Union européenne. Jean-Paul Garraud, député RN au Parlement
Si l’Ukraine ne correspondait pas, géographiquement parlant, à la plus grande épine qu’il soit possible de mettre dans le pied de Vladimir Poutine, l’Occident s’érigerait-il en grand sauveur du peuple d’Ukraine ?
Nous pouvons accueillir les Ukrainiens. Ils partagent la culture de la vieille Europe, partagent aussi nos mœurs…
Les partis pris sans nuance résistent même au constat aveuglant des responsabilités russes dans le drame actuel qui se joue en Ukraine.
Demander à la Russie de battre sa coulpe aurait forcé la gauche à battre aussi la sienne.
A la question « Sommes-nous prêts à engager notre armée dans un tel conflit ? », la réponse est « Oui, mais pas sans notre peuple ».
Cette guerre est la conséquence de trente années d’erreurs politiques de la Russie, des États-Unis et de l’Union européenne. De duperies et de non-respect de la parole donnée aussi.
Il faudrait plus s’interroger sur la part de folie qui, depuis bien longtemps, a envahi l’oligarchie politique et médiatique occidentale que sur la supposée « paranoïa » de Vladimir Poutine.
Les États-Unis ont immédiatement dénoncé une escalade « inacceptable ».
Le Président Macron plie les gaules au motif que si les Maliens n’aiment plus la France, elle s’en va. Quelle naïveté !
L’OTAN, c’est un fantastique débouché pour la vente d’armements
Les occupants de la station sont quatre Américains, deux Russes et un Allemand. On peut donc imaginer que les événements dramatiques qui se déroulent sur terre, 450 kilomètre en dessous d’eux, ne laissent pas ces hommes de l’espace indifférents !
Poutine a remplacé les non-vaccinés. À présent, le méchant, l’acteur central de la grande tragédie médiatique, c’est lui.
Le consommateur européen doit malheureusement s’attendre, dans les prochains mois, à voir sa facture énergétique déjà élevée s’accroître à nouveau de façon très significative.
L’histoire de l’Ukraine est une histoire infiniment tragique.
Joe Biden joue sa dernière carte. Le coup de poker diplomatique sera-t-il possible ?
Poutine est aux commandes de la Russie depuis août 1999 : il a en tête les engagements successifs des uns et des autres. Côté américain, il en est à son cinquième président. Côté français, à son quatrième. Il a la mémoire du temps long.
Eurodéputé et soutien d’Éric Zemmour, Jérôme Rivière revient, pour Boulevard Voltaire, sur la crise ukrainienne et l’invasion du pays par l’armée russe. Vous êtes eurodéputé
Hervé Juvin répond aux questions de Geoffroy Antoine, dans un entretien réalisé ce 23 février, sur la crise ukrainienne
« Pour nous, chaque perte, c’est le fils, le père, le frère de quelqu’un. »
Frédéric Pons, journaliste, écrivain, professeur, est l’auteur d’un Poutine, paru en 2018 aux Éditions Calmann-Lévy. Joint ce 24 février par Boulevard Voltaire, il doute de l’efficacité des sanctions occidentales contre la Russie.
Jamais dans l’Histoire du pays, en dehors des deux guerres mondiales, le gouvernement canadien n’avait mis en œuvre l’état de siège, encore moins la loi martiale.
Poutine arrive au pouvoir au début du nouveau millénaire, et avec lui les perspectives changent. C’est un patriote qui n’accepte pas que la Russie ait perdu la « grandeur », comme aurait dit de Gaulle.
Regards croisés du politique et du militaire sur la stratégie au Donbass de l’homme qui fait trembler l’Europe : Vladimir Poutine.
Le problème ukrainien aurait dû être traité avec réalisme. Mais les strates mémorielles accumulées sur cette partie du monde et leur utilisation par les acteurs du drame selon leurs intérêts divergents ont éloigné toute solution raisonnable.
Si le Mozart de la finance, l’homme à la pensée complexe, le petit prince de la stabilité planétaire, était tout simplement une quiche ?
Pour la France, la guerre coûte de l’argent, aux Russes elle en rapporte.
L’Ukraine est une création artificielle des bolcheviques, regroupement de territoires russes de longue date à l’est et au sud ou conquis plus récemment sur les Polonais à l’Ouest.