International
Erdoğan et Poutine ont prévu de se rencontrer le 5 mars.
En attendant, les Afghans auront démontré qu’eux, ne se mêlant jamais des affaires du vaste monde, peuvent en remontrer à quiconque vient s’inviter dans les leurs.
La Russie soutient l’État syrien et sa souveraineté. Les Occidentaux et les Turcs leur portent atteinte : curieux renversement des principes depuis la guerre froide.
Sur le port de Lesbos, les manifestants bloquaient, dimanche, l’arrivée des migrants, prenant à partie le représentant local du Haut Commissariat aux réfugiés (HCR)…
Erdoğan a besoin des Occidentaux pour contraindre la Russie à accepter un cessez-le-feu.
Poignante façon de nous rendre compte, confortablement installés dans nos vies paisibles, qu’à quelques heures d’ici, les enfants vivent sous les décombres et sous les balles.
Julian Assange et Edward Snowden, en s’attachant à produire des faits cachés mais vérifiables, sont devenus les vrais ennemis de ce système techno-algorithmique généralisé de surveillance et de manipulations.
Dans notre monde avide de transparence, il en va désormais de César comme de sa femme : il ne doit pas être soupçonné. Exit Sun Yang, vae victis.
Faut-il rappeler que plusieurs milliards d’euros sont versés, chaque année, à la Turquie pour la gestion des immigrés syriens et éviter ainsi leur envoi vers l’Europe ?
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
La politique africaine de Macron nous emmène droit dans un mur de pisé à la vitesse d’un taxi-brousse hors d’âge.
Mardi, la capitale de la Mauritanie, Nouakchott, accueillait un G5 Sahel qui réunit, outre la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad dans la lutte contre les groupes djihadistes actifs dans la région.
Entre la classe politique, la presse et la Lombardie, le climat se tend.
La Turquie est toujours nationaliste, mais elle se réapproprie l’islamisme, celui des Frères musulmans…
On l’appelait le raïs, mais il n’en était pas un…
Faut-il rappeler, ici, que près de 40 % des Grecs au chômage n’ont plus aucune couverture sociale et que 60 % des jeunes de moins de 25 ans sont sans emploi ?
l’édifice de la défense continentale s’appuie sur deux piliers : l’un en béton précontraint, marqué par la grande et inaltérable étoile bleue de l’OTAN, l’autre en ciment encore mal armé, illustré par quelques étoiles jaunes à la peinture fraîche…
le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie. Pourquoi donc ? Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri, par Matteo Salvini.
C’est Poutine qui va gagner l’élection de 2020, car il dispose désormais des deux candidats de la finale. Il faut faire barrage aux deux !
Cela fait maintenant vingt ans que le criminel Robert Mugabe a donné l’ordre d’expulser tous les propriétaires blancs de leurs fermes.
Le Proche-Orient étant ce qu’il est, Trump, avec sa brutalité et son mépris du droit international habituels, a pris des risques considérables car, dans cette région du monde, le moindre accident peut facilement dégénérer.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Poutine écoutera, impassible, et prendra sa décision. Plus que jamais, c’est lui le maître du jeu en Syrie.
Soyons clairs tout suite : je ne sais pas si la « main de Poutine » est derrière le GriveauxGate. Par contre, ceux qui l’excluent et moquent cette hypothèse me semblent d’une naïveté déconcertante.
Le printemps arabe a été une supercherie…
Comme le Liban ne peut pas compter sur les alliés, visibles et/ou cachés, des Israéliens ni sur les institutions financières mondiales, il faudra qu’il se tourne vers d’autres sources.
Il est temps, pour la France, de prendre conscience que ses intérêts convergent avec la politique russe et sont en tous points opposés à ceux de la Turquie.
Face à ce nouveau bras de fer, pour quel type de riposte Vladimir Poutine va opter ?
Erdoğan et Poutine ont prévu de se rencontrer le 5 mars.
En attendant, les Afghans auront démontré qu’eux, ne se mêlant jamais des affaires du vaste monde, peuvent en remontrer à quiconque vient s’inviter dans les leurs.
La Russie soutient l’État syrien et sa souveraineté. Les Occidentaux et les Turcs leur portent atteinte : curieux renversement des principes depuis la guerre froide.
Sur le port de Lesbos, les manifestants bloquaient, dimanche, l’arrivée des migrants, prenant à partie le représentant local du Haut Commissariat aux réfugiés (HCR)…
Erdoğan a besoin des Occidentaux pour contraindre la Russie à accepter un cessez-le-feu.
Poignante façon de nous rendre compte, confortablement installés dans nos vies paisibles, qu’à quelques heures d’ici, les enfants vivent sous les décombres et sous les balles.
Julian Assange et Edward Snowden, en s’attachant à produire des faits cachés mais vérifiables, sont devenus les vrais ennemis de ce système techno-algorithmique généralisé de surveillance et de manipulations.
Dans notre monde avide de transparence, il en va désormais de César comme de sa femme : il ne doit pas être soupçonné. Exit Sun Yang, vae victis.
Faut-il rappeler que plusieurs milliards d’euros sont versés, chaque année, à la Turquie pour la gestion des immigrés syriens et éviter ainsi leur envoi vers l’Europe ?
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
La politique africaine de Macron nous emmène droit dans un mur de pisé à la vitesse d’un taxi-brousse hors d’âge.
Mardi, la capitale de la Mauritanie, Nouakchott, accueillait un G5 Sahel qui réunit, outre la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad dans la lutte contre les groupes djihadistes actifs dans la région.
Entre la classe politique, la presse et la Lombardie, le climat se tend.
La Turquie est toujours nationaliste, mais elle se réapproprie l’islamisme, celui des Frères musulmans…
On l’appelait le raïs, mais il n’en était pas un…
Faut-il rappeler, ici, que près de 40 % des Grecs au chômage n’ont plus aucune couverture sociale et que 60 % des jeunes de moins de 25 ans sont sans emploi ?
l’édifice de la défense continentale s’appuie sur deux piliers : l’un en béton précontraint, marqué par la grande et inaltérable étoile bleue de l’OTAN, l’autre en ciment encore mal armé, illustré par quelques étoiles jaunes à la peinture fraîche…
le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie. Pourquoi donc ? Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri, par Matteo Salvini.
C’est Poutine qui va gagner l’élection de 2020, car il dispose désormais des deux candidats de la finale. Il faut faire barrage aux deux !
Cela fait maintenant vingt ans que le criminel Robert Mugabe a donné l’ordre d’expulser tous les propriétaires blancs de leurs fermes.
Le Proche-Orient étant ce qu’il est, Trump, avec sa brutalité et son mépris du droit international habituels, a pris des risques considérables car, dans cette région du monde, le moindre accident peut facilement dégénérer.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Poutine écoutera, impassible, et prendra sa décision. Plus que jamais, c’est lui le maître du jeu en Syrie.
Soyons clairs tout suite : je ne sais pas si la « main de Poutine » est derrière le GriveauxGate. Par contre, ceux qui l’excluent et moquent cette hypothèse me semblent d’une naïveté déconcertante.
Le printemps arabe a été une supercherie…
Comme le Liban ne peut pas compter sur les alliés, visibles et/ou cachés, des Israéliens ni sur les institutions financières mondiales, il faudra qu’il se tourne vers d’autres sources.
Il est temps, pour la France, de prendre conscience que ses intérêts convergent avec la politique russe et sont en tous points opposés à ceux de la Turquie.
Face à ce nouveau bras de fer, pour quel type de riposte Vladimir Poutine va opter ?