International
Laissons faire les aborigènes et leurs techniques de brûlis à la bonne saison, ils ont un peu d’expérience…
Si Donald Trump n’est pas le fou dangereux que la majorité des médias décrit, il n’empêche qu’il joue ici un jeu dangereux ; même si, chez lui, il y a souvent loin des paroles aux actes.
On n’est pas des bêtes, on a même du cœur, un petit cœur qui saigne.
Dans la crise entre les États-Unis et l’Iran, on n’entend pas la voix de la diplomatie française, ni celle de l’Union européenne. Explications de Jérôme
La dissolution de la nation espagnole, patrie charnelle du peuple du même nom, réjouirait bien du monde.
Il n’y aura plus de définition générale, permettant le dialogue, mais des mots qui changent de sens en fonction de leur auteur.
Sur le site d’une association de pompiers volontaires, on peut lire : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le changement climatique mais avec de nouvelles règles environnementales qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
La CDU, parce qu’elle refuse tout contact avec les patriotes de l’AfD, se retrouve contrainte de choisir entre soutenir de l’extérieur un gouvernement de gauche dirigé par les post-communistes ou participer à l’exécutif avec ces derniers.
Une chose est sûre : l’Iran d’après les 52 frappes promises aura perdu une part considérable de sa capacité de nuisance, dont celle de se doter de l’arme atomique.
Ne reste plus qu’à savoir en quoi consistera la riposte iranienne, patrie des échecs, contre celle d’un poker souvent menteur.
Cet impeachment de Trump révèle l’ampleur de la morgue et de la corruption de la nomenklatura progressiste américaine.
Un affrontement et une confusion supplémentaires pour une population désabusée dont une partie des espoirs de changement se sont envolés avec le fiasco du coup d’État prévu le 2 mai 2019.
Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.
La moindre étincelle, telle que l’assassinat du général iranien Soleimani, peut mettre le feu aux poudres.
Oui, l’Australie est en proie à des incendies ravageurs. Mais, encore une fois, on parle d’un pays-continent. Il est important de relativiser.
En cas de crise de réfugiés, comme celle survenue en 2015, une législation d’exception sera introduite et, au cas où les écologistes ne la voteraient pas, les sociaux-chrétiens seraient habilités à le faire avec les patriotes du FPÖ.
Trump a-t-il bien mesuré les conséquences de sa décision ? On ose l’espérer, mais alors, pourquoi avoir claironné à de très nombreuses reprises que les interventions lointaines et coûteuses devaient prendre fin ?
Un article récemment paru dans la Tribune de Genève dépeint la France au vitriol…
Le général Qassem Soleimani, grande figure militaire en Iran, a été tué lors d’un raid américain à Bagdad, ce jeudi 3 janvier. Au micro de
Il est vrai qu’ils courent tous avec un casque sur la tête, version moderne des œillères. Ça évite de voir ce qui se passe à côté.
La ségrégation et l’esclavagisme des champs de coton ont certes disparu, pourtant la société américaine semble toujours aussi morcelée…
Résurrection de Gérard de Villiers et des films de Belmondo à l’heure de la pasteurisation volontaire de la culture occidentale !
Le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, le socialiste espagnol Josep Borrell, vient d’appeler « Damas et ses alliés » à arrêter l’escalade de la violence…
Mais alors, à quoi a pu servir le « coup d’éclat » de Macron à Biarritz ?
La France doit s’impliquer avec la plus grande détermination auprès des peuples victimes. C’est sa mission, son devoir de peuple ami, et aussi son intérêt géostratégique supérieur…
« Tant que les cloches sonneront, nous résisterons. »
Au Nigeria, la veille du réveillon de Noël, des chrétiens ont été exécutés pour venger la mort du chef de l’État islamique Al-Baghdadi…
Laissons faire les aborigènes et leurs techniques de brûlis à la bonne saison, ils ont un peu d’expérience…
Si Donald Trump n’est pas le fou dangereux que la majorité des médias décrit, il n’empêche qu’il joue ici un jeu dangereux ; même si, chez lui, il y a souvent loin des paroles aux actes.
On n’est pas des bêtes, on a même du cœur, un petit cœur qui saigne.
Dans la crise entre les États-Unis et l’Iran, on n’entend pas la voix de la diplomatie française, ni celle de l’Union européenne. Explications de Jérôme
La dissolution de la nation espagnole, patrie charnelle du peuple du même nom, réjouirait bien du monde.
Il n’y aura plus de définition générale, permettant le dialogue, mais des mots qui changent de sens en fonction de leur auteur.
Sur le site d’une association de pompiers volontaires, on peut lire : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le changement climatique mais avec de nouvelles règles environnementales qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
La CDU, parce qu’elle refuse tout contact avec les patriotes de l’AfD, se retrouve contrainte de choisir entre soutenir de l’extérieur un gouvernement de gauche dirigé par les post-communistes ou participer à l’exécutif avec ces derniers.
Une chose est sûre : l’Iran d’après les 52 frappes promises aura perdu une part considérable de sa capacité de nuisance, dont celle de se doter de l’arme atomique.
Ne reste plus qu’à savoir en quoi consistera la riposte iranienne, patrie des échecs, contre celle d’un poker souvent menteur.
Cet impeachment de Trump révèle l’ampleur de la morgue et de la corruption de la nomenklatura progressiste américaine.
Un affrontement et une confusion supplémentaires pour une population désabusée dont une partie des espoirs de changement se sont envolés avec le fiasco du coup d’État prévu le 2 mai 2019.
Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.
La moindre étincelle, telle que l’assassinat du général iranien Soleimani, peut mettre le feu aux poudres.
Oui, l’Australie est en proie à des incendies ravageurs. Mais, encore une fois, on parle d’un pays-continent. Il est important de relativiser.
En cas de crise de réfugiés, comme celle survenue en 2015, une législation d’exception sera introduite et, au cas où les écologistes ne la voteraient pas, les sociaux-chrétiens seraient habilités à le faire avec les patriotes du FPÖ.
Trump a-t-il bien mesuré les conséquences de sa décision ? On ose l’espérer, mais alors, pourquoi avoir claironné à de très nombreuses reprises que les interventions lointaines et coûteuses devaient prendre fin ?
Un article récemment paru dans la Tribune de Genève dépeint la France au vitriol…
Le général Qassem Soleimani, grande figure militaire en Iran, a été tué lors d’un raid américain à Bagdad, ce jeudi 3 janvier. Au micro de
Il est vrai qu’ils courent tous avec un casque sur la tête, version moderne des œillères. Ça évite de voir ce qui se passe à côté.
La ségrégation et l’esclavagisme des champs de coton ont certes disparu, pourtant la société américaine semble toujours aussi morcelée…
Résurrection de Gérard de Villiers et des films de Belmondo à l’heure de la pasteurisation volontaire de la culture occidentale !
Le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, le socialiste espagnol Josep Borrell, vient d’appeler « Damas et ses alliés » à arrêter l’escalade de la violence…
Mais alors, à quoi a pu servir le « coup d’éclat » de Macron à Biarritz ?
La France doit s’impliquer avec la plus grande détermination auprès des peuples victimes. C’est sa mission, son devoir de peuple ami, et aussi son intérêt géostratégique supérieur…
« Tant que les cloches sonneront, nous résisterons. »
Au Nigeria, la veille du réveillon de Noël, des chrétiens ont été exécutés pour venger la mort du chef de l’État islamique Al-Baghdadi…