Justice
En France, la censure des activistes trans gagne du terrain.
La 17e chambre semble elle-même choisir les préoccupations sociales et sociétales d’importance dans la France d’aujourd’hui : Assa Traoré est autorisée à diffamer. On peut comprendre pourquoi les gendarmes ont interjeté appel de cette décision.
Le procès s’est tenu mardi devant le tribunal de grande instance de Lyon. Mis en délibéré, le jugement sera rendu le 14 mars.
Quand le tribunal appelle l’affaire et vérifie les parties en présence, côté prévenu, seule l’avocate s’approche de la barre. Son client est absent. Elle tente de justifier son attitude.
Les membres du corps de son épouse ont été retrouvés le 13 février dans le parc parisien des Buttes-Chaumont.
Après, on comprend donc mal ce fétichisme de la nationalité venant de gens estimant que cette dernière n’a finalement que peu de valeur.
Le tribunal administratif de Lille a en effet estimé que la mairie n’avait pas respecté la procédure adéquate lors de son arrêté de fermeture, le 14 février dernier.
La boite de Pandore est ouverte. Ce que fait précisément la Cour dans cet arrêt, c’est de créer une « norme morale commune » à tous les pays européens.
Découvrant qu’un de ses agents enchaîne les tournois de badminton alors qu’il est en arrêt maladie, la RATP lui signifie sa révocation. L’homme porte l’affaire auprès de la Justice et obtient gain de cause.
Dis-moi comment tu écris, je te dirai qui tu es.
Un fastueux dîner aurait été organisé par Laurent Wauquiez au château de la Chaize, à Odenas, dans le Rhône.
L’émission de Barthès et sa bande est revenue sur l’affaire Palmade. Mais attention, pas au sens où on aurait pu l’entendre. Il s’est agi, en réalité, d’un florilège sur la banalité du mal.
Moins d’un mois plus tard, le sénateur Reconquête Stéphane Ravier a annoncé saisir le procureur « pour qu’il se saisisse de ces faits d’une particulière gravité ! »
En réalité, il y aurait trop de danger pour le camp de la bien-pensance à reconnaître le fœtus comme une personne à part entière.
Samedi 1er février, le petit-fils de Jean et Mireille retrouvait ses grands-parents assassinés dans leur propriété située à Salon-de-Provence.
Voilà qu’il fanfaronne en expliquant que « Le PNF n’a pas retenu le délit de corruption ». Cela signifie en langage enarco-macronien, « Je ne suis pas corrompu, alors laissez-moi tranquille ».
Seule une partie infime des crimes, délits et contraventions portés à la connaissance de la justice aboutit à une sanction pénale.
Un dispositif qui n’est pas sans poser de questions.
Ce samedi 4 février, Matignon a affirmé qu’Olivier Dussopt conservait « toute la confiance de la Première ministre ».
Côté Élysée, Emmanuel Macron propose d’abord Élisabeth Guigou.
C’est un juge d’instruction saisi du dossier qui devra décider si un procès se tiendra ou non.
« Il s’agit d’une question qui relève d’un choix de société », souligne la cour.
Rien ne va plus chez les élus. Les uns souffrent d’une « addiction aux normes », les autres dénoncent un « harcèlement textuel »…
Trois entrepreneurs ont été condamnés par le tribunal de Grasse à de lourdes amendes pour avoir emmené des touristes nager avec les dauphins.
Les professionnels du droit interrogés pour en témoigner l’affirment avec certitude : un « tribunal médiatique » s’est instauré qui met en danger la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.
Ce n’est malheureusement qu’un triste instantané de ce qu’est devenue la société française, en voie (rapide) de barbarisation.
Cet arrêt fait d’abord payer à Éric Zemmour le prix de sa notoriété médiatique.
Le problème majeur, en réalité, est que le prisonnier, et surtout celui des courtes peines, entretient en détention une oisiveté perverse qui l’empêchera de s’insérer sereinement.
En France, la censure des activistes trans gagne du terrain.
La 17e chambre semble elle-même choisir les préoccupations sociales et sociétales d’importance dans la France d’aujourd’hui : Assa Traoré est autorisée à diffamer. On peut comprendre pourquoi les gendarmes ont interjeté appel de cette décision.
Le procès s’est tenu mardi devant le tribunal de grande instance de Lyon. Mis en délibéré, le jugement sera rendu le 14 mars.
Quand le tribunal appelle l’affaire et vérifie les parties en présence, côté prévenu, seule l’avocate s’approche de la barre. Son client est absent. Elle tente de justifier son attitude.
Les membres du corps de son épouse ont été retrouvés le 13 février dans le parc parisien des Buttes-Chaumont.
Après, on comprend donc mal ce fétichisme de la nationalité venant de gens estimant que cette dernière n’a finalement que peu de valeur.
Le tribunal administratif de Lille a en effet estimé que la mairie n’avait pas respecté la procédure adéquate lors de son arrêté de fermeture, le 14 février dernier.
La boite de Pandore est ouverte. Ce que fait précisément la Cour dans cet arrêt, c’est de créer une « norme morale commune » à tous les pays européens.
Découvrant qu’un de ses agents enchaîne les tournois de badminton alors qu’il est en arrêt maladie, la RATP lui signifie sa révocation. L’homme porte l’affaire auprès de la Justice et obtient gain de cause.
Dis-moi comment tu écris, je te dirai qui tu es.
Un fastueux dîner aurait été organisé par Laurent Wauquiez au château de la Chaize, à Odenas, dans le Rhône.
L’émission de Barthès et sa bande est revenue sur l’affaire Palmade. Mais attention, pas au sens où on aurait pu l’entendre. Il s’est agi, en réalité, d’un florilège sur la banalité du mal.
Moins d’un mois plus tard, le sénateur Reconquête Stéphane Ravier a annoncé saisir le procureur « pour qu’il se saisisse de ces faits d’une particulière gravité ! »
En réalité, il y aurait trop de danger pour le camp de la bien-pensance à reconnaître le fœtus comme une personne à part entière.
Samedi 1er février, le petit-fils de Jean et Mireille retrouvait ses grands-parents assassinés dans leur propriété située à Salon-de-Provence.
Voilà qu’il fanfaronne en expliquant que « Le PNF n’a pas retenu le délit de corruption ». Cela signifie en langage enarco-macronien, « Je ne suis pas corrompu, alors laissez-moi tranquille ».
Seule une partie infime des crimes, délits et contraventions portés à la connaissance de la justice aboutit à une sanction pénale.
Un dispositif qui n’est pas sans poser de questions.
Ce samedi 4 février, Matignon a affirmé qu’Olivier Dussopt conservait « toute la confiance de la Première ministre ».
Côté Élysée, Emmanuel Macron propose d’abord Élisabeth Guigou.
C’est un juge d’instruction saisi du dossier qui devra décider si un procès se tiendra ou non.
« Il s’agit d’une question qui relève d’un choix de société », souligne la cour.
Rien ne va plus chez les élus. Les uns souffrent d’une « addiction aux normes », les autres dénoncent un « harcèlement textuel »…
Trois entrepreneurs ont été condamnés par le tribunal de Grasse à de lourdes amendes pour avoir emmené des touristes nager avec les dauphins.
Les professionnels du droit interrogés pour en témoigner l’affirment avec certitude : un « tribunal médiatique » s’est instauré qui met en danger la présomption d’innocence et le droit à un procès équitable.
Ce n’est malheureusement qu’un triste instantané de ce qu’est devenue la société française, en voie (rapide) de barbarisation.
Cet arrêt fait d’abord payer à Éric Zemmour le prix de sa notoriété médiatique.
Le problème majeur, en réalité, est que le prisonnier, et surtout celui des courtes peines, entretient en détention une oisiveté perverse qui l’empêchera de s’insérer sereinement.
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