Justice
Julien Odoul a provoqué la polémique sur le plateau de Jean-Marc Morandini en affirmant qu’Adama Traoré était une « racaille ». Au micro de Boulevard
Sous la frise ACAB, le sommier de police relatant les faits d’armes du héros et de ses frères ferait une jolie déco sur les murs. Ça serait sympa, non ?
Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.
Certains veulent même aller plus loin en éradiquant la racine du mal.
Qu’a donc pu annoncer la médiatique Aïssa Maïga pour que des titres français ou internationaux cèdent à la facilité de l’uniformité ? En quoi son discours est-il unanimement édifiant ?
Rien qu’une infortune discrète en France périphérique.
Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.
Si l’épidémie a été une épreuve pour tous et une tragédie pour ceux qui ont perdu beaucoup d’êtres chers, j’ose dire que, sur le plan judiciaire et pénitentiaire, elle a été honteusement exploitée.
Las, ce n’est pas l’épidémie du Covid-19 qui aura eu raison du troquet, mais un tout autre mal bien plus pernicieux.
Cette résolution délirante a été approuvée par l’UNEF, la FSU et la CGT.
L’Italie connaît-elle une République des juges ? Oui, à en croire les révélations des échanges WhatsApp entre magistrats italiens au sujet de la politique antimigratoire
Sans faire de bruit, alors que les esprits sont ailleurs, l’État nous engage dans un programme qui bouleverse le fonctionnement de la Justice.
Que les Français ne se fassent pas d’illusions : le procès, s’il a lieu, se tiendra dans dix ans.
Oui, la mosquée de Poitiers est radicale, oui, M. Boubaker El Hadj Amor est un islamiste qui fait la promotion d’autres islamistes, oui, son institut de formation est un nid à djihadistes
Le procès en appel de Damien Rieu et d’autres militants qui avaient occupé le chantier de la mosquée de Poitiers, en octobre 2012, se tenait ce mercredi. L’avocat général a écarté le délit de « provocation à la haine ».
Il est un fait que ce sont diverses composantes de la mouvance traditionnelle qui ont mené ce combat contre cette atteinte à la liberté de culte. Les évêques de France ont été absents de ce combat judiciaire.
Le Conseil d’État vient d’ordonner au gouvernement de lever l’interdiction générale et absolue de réunion dans les lieux de culte et d’édicter, à sa place,
Mercredi 20 mai se tiendra le procès en appel des militants de Génération identitaire qui avaient réalisé, en 2012, une action sur le toit du
Je tente de comprendre : « On n’a plus le droit de dire “j’aime pas” : c’est ça ? » Sa réponse me crucifie : « Même les idiots l’avaient compris ! » m’assène-t-il…
Peut-être ai-je des indulgences coupables pour Valéry Giscard d’Estaing et Brigitte Bardot, mais la justice ne devrait-elle pas être d’abord, et parfois, de la dentelle au sein du massif ?
S’il est permis de penser qu’une récidive du papy était peu à craindre, ce n’est pas le cas des 10.000 autres détenus récemment remis dans la nature sous prétexte d’épidémie.
70% des détenus dans les prisons suisses seraient étrangers. Un chiffre effarant pourtant présenté par les médias comme « en baisse »…
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes.
Ce n’est pas exactement ainsi qu’on se forge un peuple de samouraïs.
Quant à moi, j’attends toujours la nomination du juge d’instruction promise suite à mon agression avec violences, en février 2017…
Le gouvernement veut proroger l’état d’urgence sanitaire pour deux mois, pour protéger les futures victimes potentielles. A quand la même audace pour l’état d’urgence sécuritaire…
Grâce au Covid-19, les prisons sont désormais passées sous la barre des 100 % d’occupation.
Les médias ne se sont guère étendus sur cette affaire. Elle est pourtant là pour rappeler que la crise sanitaire n’a pas effacé le danger terroriste.
Julien Odoul a provoqué la polémique sur le plateau de Jean-Marc Morandini en affirmant qu’Adama Traoré était une « racaille ». Au micro de Boulevard
Sous la frise ACAB, le sommier de police relatant les faits d’armes du héros et de ses frères ferait une jolie déco sur les murs. Ça serait sympa, non ?
Les clans allaient se renforcer à la mesure de la désespérance, par l’illusion de chimères prophétiques et communautaristes pour les uns, par l’asservissement compulsif à un modèle économique mondialisé dévastateur pour les autres.
Certains veulent même aller plus loin en éradiquant la racine du mal.
Qu’a donc pu annoncer la médiatique Aïssa Maïga pour que des titres français ou internationaux cèdent à la facilité de l’uniformité ? En quoi son discours est-il unanimement édifiant ?
Rien qu’une infortune discrète en France périphérique.
Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.
Si l’épidémie a été une épreuve pour tous et une tragédie pour ceux qui ont perdu beaucoup d’êtres chers, j’ose dire que, sur le plan judiciaire et pénitentiaire, elle a été honteusement exploitée.
Las, ce n’est pas l’épidémie du Covid-19 qui aura eu raison du troquet, mais un tout autre mal bien plus pernicieux.
Cette résolution délirante a été approuvée par l’UNEF, la FSU et la CGT.
L’Italie connaît-elle une République des juges ? Oui, à en croire les révélations des échanges WhatsApp entre magistrats italiens au sujet de la politique antimigratoire
Sans faire de bruit, alors que les esprits sont ailleurs, l’État nous engage dans un programme qui bouleverse le fonctionnement de la Justice.
Que les Français ne se fassent pas d’illusions : le procès, s’il a lieu, se tiendra dans dix ans.
Oui, la mosquée de Poitiers est radicale, oui, M. Boubaker El Hadj Amor est un islamiste qui fait la promotion d’autres islamistes, oui, son institut de formation est un nid à djihadistes
Le procès en appel de Damien Rieu et d’autres militants qui avaient occupé le chantier de la mosquée de Poitiers, en octobre 2012, se tenait ce mercredi. L’avocat général a écarté le délit de « provocation à la haine ».
Il est un fait que ce sont diverses composantes de la mouvance traditionnelle qui ont mené ce combat contre cette atteinte à la liberté de culte. Les évêques de France ont été absents de ce combat judiciaire.
Le Conseil d’État vient d’ordonner au gouvernement de lever l’interdiction générale et absolue de réunion dans les lieux de culte et d’édicter, à sa place,
Mercredi 20 mai se tiendra le procès en appel des militants de Génération identitaire qui avaient réalisé, en 2012, une action sur le toit du
Je tente de comprendre : « On n’a plus le droit de dire “j’aime pas” : c’est ça ? » Sa réponse me crucifie : « Même les idiots l’avaient compris ! » m’assène-t-il…
Peut-être ai-je des indulgences coupables pour Valéry Giscard d’Estaing et Brigitte Bardot, mais la justice ne devrait-elle pas être d’abord, et parfois, de la dentelle au sein du massif ?
S’il est permis de penser qu’une récidive du papy était peu à craindre, ce n’est pas le cas des 10.000 autres détenus récemment remis dans la nature sous prétexte d’épidémie.
70% des détenus dans les prisons suisses seraient étrangers. Un chiffre effarant pourtant présenté par les médias comme « en baisse »…
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes.
Ce n’est pas exactement ainsi qu’on se forge un peuple de samouraïs.
Quant à moi, j’attends toujours la nomination du juge d’instruction promise suite à mon agression avec violences, en février 2017…
Le gouvernement veut proroger l’état d’urgence sanitaire pour deux mois, pour protéger les futures victimes potentielles. A quand la même audace pour l’état d’urgence sécuritaire…
Grâce au Covid-19, les prisons sont désormais passées sous la barre des 100 % d’occupation.
Les médias ne se sont guère étendus sur cette affaire. Elle est pourtant là pour rappeler que la crise sanitaire n’a pas effacé le danger terroriste.