Justice
N’est-elle pas toute puissante, forte de la légitimité des gourdiflots qui lui cèdent notre souveraineté à répétition ?
Article 1 : La gauche a toujours raison. Article 2 : Lorsque la gauche a tort, se référer à l’article 1
Et l’on ne sait jamais, on a vu naguère des électeurs rappeler aux urnes des élus un moment disqualifiés par quelques petites erreurs…
Tout ce beau monde cru que l’on pouvait « interdire d’interdire » et qu’il fallait surtout jouir sans entraves.
Au moins le gouvernement aura donné des gages à la bien-pensance.
Comment se fait-il que deux mois après les faits, aucun gouvernement, aucun média mainstream ne s’étonnent bruyamment en réclamant ces « preuves » qui jouent à l’Arlésienne ?
L’attentat qui a été commis samedi à Paris aurait-il pu être évité alors qu’on sait que son auteur, Khamzat Azimov, était fiché S, comme la majorité des auteurs d’attentats islamistes sur le sol français ? Pourquoi ne neutralise-t-on pas ces individus avant leur passage à l’acte ? C’est les questions que se posent légitiment les citoyens.
« Hors de danger » devenait le refrain et comme le bilan de ce nouvel attentat.
Cédric Herrou, l’agriculteur engagé, qui, après les marches du palais de justice, gravira celles du palais des Festivals.
La commedia dell’arte pourrait tourner au vinaigre assez vite.
Je devine les haut le coeur. Je viens de prononcer un gros mot. Le peuple. Ce peuple qui en se mêlant de la Justice se mêle de ce qui le concerne au premier chef.
Kamal Belbakkal, qui avait agressé, on se souvient, un agriculteur qui travaillait dans son champ, le 18 juin 2017, à Laroque-Timbaut (Lot-et-Garonne), avait été laissé
« La Démographie est le Destin » disait Auguste Comte.
Le syndrome Malik Oussekine a encore frappé.
Les événements survenus dans les rues de la capitale à l’occasion de la fête du Travail, en d’autres temps, auraient provoqué le départ immédiat du ministre de l’Intérieur…
Éric Zemmour a donc été condamné par la Cour d’appel de Paris à 5.000 euros d’amende pour « provocation à la haine religieuse ».
On peut même s’interroger sur un certain degré de connivence tant chacun des comparses s’acharne à tenir son rôle. Ils ont d’ailleurs un point commun évident : ce sont d’excellents comédiens…
Faut-il castrer chimiquement les criminels sexuels ? Philippe Bilger donne des éléments de réponse au micro de Boulevard Voltaire. Le débat porte sur la nécessité
Nous aurons beau nous parer de toutes nos pensées humanistes et progressistes, la mort délibérée du petit Alfie Evans en Angleterre n’a rien de moins révoltant que les infanticides qui nous ont précédés.
Dimanche, l’ambassadeur de Bahreïn en France, s’est fait délester de son portefeuille. Au même moment, un couple de diplomates américains était victime d’un vol à la portière.
Et les évêques face à Mai 68 ? Incompréhension, suivisme, mutisme. Aucun ne porta vraiment une parole forte qui aurait été la version mitrée du très militaire « La réforme, oui ! La chienlit, non ! » de De Gaulle.
Et à nouveau resurgissent les mêmes questions. Pourquoi une peine au départ si clémente ? A quoi sert le fichier des délinquants sexuels et violents ? Pourquoi n’y a t-il pas eu de suivi médical ?
Je ne sous-estime pas l’odeur de poudre révolutionnaire et de lutte finale que ces intellectuels et artistes vont avoir le bonheur de sentir le 5 mai.
Le conservateur aspire globalement à une immobilité des lignes et à un statu quo paisible. Le réactionnaire pense, organise, compare et n’hésite pas à s’armer de certaines séquences et réussites passées pour mieux sauver le présent.
C’est donc la croix, les croix qui étaient systématiquement visées. Mais à aucun moment la presse locale n’émet l’hypothèse d’un acte christianophobe.
Et lorsque la réalité ment, il faut lui faire dire la vérité dont on a besoin.
Alfie Evans est un bébé britannique, âgé de vingt-trois mois. Atteint d’une maladie dégénérative très grave, il fait l’objet d’un « protocole de fin de vie »
N’est-elle pas toute puissante, forte de la légitimité des gourdiflots qui lui cèdent notre souveraineté à répétition ?
Article 1 : La gauche a toujours raison. Article 2 : Lorsque la gauche a tort, se référer à l’article 1
Et l’on ne sait jamais, on a vu naguère des électeurs rappeler aux urnes des élus un moment disqualifiés par quelques petites erreurs…
Tout ce beau monde cru que l’on pouvait « interdire d’interdire » et qu’il fallait surtout jouir sans entraves.
Au moins le gouvernement aura donné des gages à la bien-pensance.
Comment se fait-il que deux mois après les faits, aucun gouvernement, aucun média mainstream ne s’étonnent bruyamment en réclamant ces « preuves » qui jouent à l’Arlésienne ?
L’attentat qui a été commis samedi à Paris aurait-il pu être évité alors qu’on sait que son auteur, Khamzat Azimov, était fiché S, comme la majorité des auteurs d’attentats islamistes sur le sol français ? Pourquoi ne neutralise-t-on pas ces individus avant leur passage à l’acte ? C’est les questions que se posent légitiment les citoyens.
« Hors de danger » devenait le refrain et comme le bilan de ce nouvel attentat.
Cédric Herrou, l’agriculteur engagé, qui, après les marches du palais de justice, gravira celles du palais des Festivals.
La commedia dell’arte pourrait tourner au vinaigre assez vite.
Je devine les haut le coeur. Je viens de prononcer un gros mot. Le peuple. Ce peuple qui en se mêlant de la Justice se mêle de ce qui le concerne au premier chef.
Kamal Belbakkal, qui avait agressé, on se souvient, un agriculteur qui travaillait dans son champ, le 18 juin 2017, à Laroque-Timbaut (Lot-et-Garonne), avait été laissé
« La Démographie est le Destin » disait Auguste Comte.
Le syndrome Malik Oussekine a encore frappé.
Les événements survenus dans les rues de la capitale à l’occasion de la fête du Travail, en d’autres temps, auraient provoqué le départ immédiat du ministre de l’Intérieur…
Éric Zemmour a donc été condamné par la Cour d’appel de Paris à 5.000 euros d’amende pour « provocation à la haine religieuse ».
On peut même s’interroger sur un certain degré de connivence tant chacun des comparses s’acharne à tenir son rôle. Ils ont d’ailleurs un point commun évident : ce sont d’excellents comédiens…
Faut-il castrer chimiquement les criminels sexuels ? Philippe Bilger donne des éléments de réponse au micro de Boulevard Voltaire. Le débat porte sur la nécessité
Nous aurons beau nous parer de toutes nos pensées humanistes et progressistes, la mort délibérée du petit Alfie Evans en Angleterre n’a rien de moins révoltant que les infanticides qui nous ont précédés.
Dimanche, l’ambassadeur de Bahreïn en France, s’est fait délester de son portefeuille. Au même moment, un couple de diplomates américains était victime d’un vol à la portière.
Et les évêques face à Mai 68 ? Incompréhension, suivisme, mutisme. Aucun ne porta vraiment une parole forte qui aurait été la version mitrée du très militaire « La réforme, oui ! La chienlit, non ! » de De Gaulle.
Et à nouveau resurgissent les mêmes questions. Pourquoi une peine au départ si clémente ? A quoi sert le fichier des délinquants sexuels et violents ? Pourquoi n’y a t-il pas eu de suivi médical ?
Je ne sous-estime pas l’odeur de poudre révolutionnaire et de lutte finale que ces intellectuels et artistes vont avoir le bonheur de sentir le 5 mai.
Le conservateur aspire globalement à une immobilité des lignes et à un statu quo paisible. Le réactionnaire pense, organise, compare et n’hésite pas à s’armer de certaines séquences et réussites passées pour mieux sauver le présent.
C’est donc la croix, les croix qui étaient systématiquement visées. Mais à aucun moment la presse locale n’émet l’hypothèse d’un acte christianophobe.
Et lorsque la réalité ment, il faut lui faire dire la vérité dont on a besoin.
Alfie Evans est un bébé britannique, âgé de vingt-trois mois. Atteint d’une maladie dégénérative très grave, il fait l’objet d’un « protocole de fin de vie »