Justice
On a beaucoup parlé de l’interpellation de Théo au mois de février 2017 et des quatre fonctionnaires de police qui y avaient tant bien que mal procédé.
Le premier statut général de la fonction publique a été défini par la loi du 19 octobre 1946. Le communiste Maurice Thorez était alors chargé de la Fonction publique.
Marlène Schiappa a divisé la classe politique ces jours derniers en commentant une affaire judiciaire en cours : celle du couple Daval.
En dépit d’une intéressante reconstitution historique, le film, hélas, n’est pas d’une grande subtilité.
L’État, en France, est fort avec les faibles et les isolés, mais faible avec les forts et les organisés. La conclusion ? À chacun, dans ce pays, de la tirer.
Puisque vous vous permettez de commenter une affaire judiciaire qui n’en est qu’à ses débuts, puis-je vous faire une suggestion ?
On oublierait presque que « Le grand show de Jawad Bendaoud » (RTL) est un procès pour juger le présumé complice de l’attentat durant lequel les islamistes ont tué 130 personnes.
Ce 30 janvier, les élus démocrates étaient si tendus pendant le discours de Trump qu’ils n’écoutaient pas.
Sombre 31 janvier pour Tariq Ramadam, l’un des prédicateurs musulmans les plus connus de France, qui se retrouve en garde à vue et sous le coup de deux accusations de viol.
Par sa démission, le général de Villiers a su briser le silence car non seulement la vie de nos soldats engagés sur les théâtres extérieurs est menacée, mais la vie des citoyens est elle-même en danger sur leur propre sol.
On peut être avocat et aimer son métier. Force est de constater que la profession se laisse parfois aller à de curieuses pratiques. Trois exemples tirés de l’actualité en font foi.
Ils trahissent le clivage essentiel qui parcourt le monde, entre une gauche intellectuelle bouffie de suffisance, et une droite populiste qui s’appuie sur le bon sens.
Valérie Pécresse a évoqué deux droites au Conseil national des Républicains en espérant qu’elles soient conciliables. Des sifflets et des huées l’ont accueillie.
La France a officiellement reconnu le génocide arménien de 1915 par la loi n° 2001-70 du 29 janvier 2001. Sans en spécifier les auteurs, toutefois : il ne fallait pas froisser la Turquie !
Ces deux faits divers remettent au goût du jour les propos de La Fontaine…
Les personnes âgées maltraitées… n’est-ce pas honteux dans un pays dit civilisé ?
Il ne faut pas laisser s’éteindre le feu. Il faut continuer d’alimenter la machine, cette gueule fumante dans laquelle on balance les porcs.
Le procès de Jawad Bendaoud, « logeur » des djihadistes du 13 novembre, n’est certes pas celui du siècle ; il pourrait pourtant demeurer dans les annales.
Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Nicolás Maduro aura réussi à museler en quelques années une opposition hétérogène sur le plan idéologique, allant de la gauche modérée à la droite dure.
Dans un gros mois, le 7 mars exactement, soit à la veille de la Journée de la femme, nos politiques nous feront un cadeau : un nouveau délit, destiné à sanctionner le harcèlement de rue.
Les électeurs tchèques ont choisi de refuser les principes de la société ouverte chère au milliardaire américain George Soros.
Laisser un article, quand on en a écrit des milliers, c’est peu ; une expression, c’est moins encore, quand on est romancier ; c’est pourtant ce qui est arrivé à Pauwels, que ce « sida mental » résume.
Ce n’est pas quand le feu du cannabis embrase nos jeunes qu’il faut se débarrasser des extincteurs (la législation) destinés à le contenir.
La France, autrefois hérissée de libertés (y compris provinciales), devient une peau de chagrin, façon léopard.
Karim Ouchikh est indigné par cette décision qui vient renforcer encore l’appel d’air migratoire.
On a beaucoup parlé de l’interpellation de Théo au mois de février 2017 et des quatre fonctionnaires de police qui y avaient tant bien que mal procédé.
Le premier statut général de la fonction publique a été défini par la loi du 19 octobre 1946. Le communiste Maurice Thorez était alors chargé de la Fonction publique.
Marlène Schiappa a divisé la classe politique ces jours derniers en commentant une affaire judiciaire en cours : celle du couple Daval.
En dépit d’une intéressante reconstitution historique, le film, hélas, n’est pas d’une grande subtilité.
L’État, en France, est fort avec les faibles et les isolés, mais faible avec les forts et les organisés. La conclusion ? À chacun, dans ce pays, de la tirer.
Puisque vous vous permettez de commenter une affaire judiciaire qui n’en est qu’à ses débuts, puis-je vous faire une suggestion ?
On oublierait presque que « Le grand show de Jawad Bendaoud » (RTL) est un procès pour juger le présumé complice de l’attentat durant lequel les islamistes ont tué 130 personnes.
Ce 30 janvier, les élus démocrates étaient si tendus pendant le discours de Trump qu’ils n’écoutaient pas.
Sombre 31 janvier pour Tariq Ramadam, l’un des prédicateurs musulmans les plus connus de France, qui se retrouve en garde à vue et sous le coup de deux accusations de viol.
Par sa démission, le général de Villiers a su briser le silence car non seulement la vie de nos soldats engagés sur les théâtres extérieurs est menacée, mais la vie des citoyens est elle-même en danger sur leur propre sol.
On peut être avocat et aimer son métier. Force est de constater que la profession se laisse parfois aller à de curieuses pratiques. Trois exemples tirés de l’actualité en font foi.
Ils trahissent le clivage essentiel qui parcourt le monde, entre une gauche intellectuelle bouffie de suffisance, et une droite populiste qui s’appuie sur le bon sens.
Valérie Pécresse a évoqué deux droites au Conseil national des Républicains en espérant qu’elles soient conciliables. Des sifflets et des huées l’ont accueillie.
La France a officiellement reconnu le génocide arménien de 1915 par la loi n° 2001-70 du 29 janvier 2001. Sans en spécifier les auteurs, toutefois : il ne fallait pas froisser la Turquie !
Ces deux faits divers remettent au goût du jour les propos de La Fontaine…
Les personnes âgées maltraitées… n’est-ce pas honteux dans un pays dit civilisé ?
Il ne faut pas laisser s’éteindre le feu. Il faut continuer d’alimenter la machine, cette gueule fumante dans laquelle on balance les porcs.
Le procès de Jawad Bendaoud, « logeur » des djihadistes du 13 novembre, n’est certes pas celui du siècle ; il pourrait pourtant demeurer dans les annales.
Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Nicolás Maduro aura réussi à museler en quelques années une opposition hétérogène sur le plan idéologique, allant de la gauche modérée à la droite dure.
Dans un gros mois, le 7 mars exactement, soit à la veille de la Journée de la femme, nos politiques nous feront un cadeau : un nouveau délit, destiné à sanctionner le harcèlement de rue.
Les électeurs tchèques ont choisi de refuser les principes de la société ouverte chère au milliardaire américain George Soros.
Laisser un article, quand on en a écrit des milliers, c’est peu ; une expression, c’est moins encore, quand on est romancier ; c’est pourtant ce qui est arrivé à Pauwels, que ce « sida mental » résume.
Ce n’est pas quand le feu du cannabis embrase nos jeunes qu’il faut se débarrasser des extincteurs (la législation) destinés à le contenir.
La France, autrefois hérissée de libertés (y compris provinciales), devient une peau de chagrin, façon léopard.
Karim Ouchikh est indigné par cette décision qui vient renforcer encore l’appel d’air migratoire.