Justice
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018.
On va bien sûr faire quelques replâtrages. Mais le problème de fond va demeurer.
Récemment nommée à la tête du conseil supérieur des programmes (CSP), Saoud Ayada a jeté un pavé pour le moins politiquement incorrect dans la mare du sacro-saint « vivre-ensemble ».
Comment ne pas comprendre la grande colère des gardiens de prison ?
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.
Jawad Bendaoud, le logeur de Saint-Denis surnommé « Stéphane Plaza » ou encore « Century 21 » par les policiers, comparaît ce mercredi devant la Justice.
Le pouvoir a pris conscience de la dangerosité de ces individus, et sait que s’ils reviennent sur le sol français, ils seront incontrôlables.
Dimanche soir, France 2 diffusait un reportage surprenant qui fait beaucoup parler.
Eric Zemmour avait été condamné par la cour d’appel pour provocation à la haine et à la discrimination. Il lui était reproché d’avoir utilisé le terme de « déportés » au sujet des musulmans en France.
Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites.
L’idéologie « progressiste » qui domine dans les médias en profite pour glisser sa désinformation. Les prisons seraient surpeuplées parce que la Justice condamnerait trop à la détention.
« La droite ne peut pas être que conservatrice. Encore une fois, elle doit être pragmatique avec un objectif de puissance. »
Si le but de la Révolution était l’égalité fiscale et l’abolition des privilèges, l’objectif est loin d’être atteint aujourd’hui.
« Les conservateurs sont ceux qui allient rappel des principes et mise en œuvre des premières mesures allant dans leur sens. »
Le monde carcéral français est, une fois de plus, en ébullition.
Que l’on aime ou pas Trump, force est de constater que nulle bête n’aurait survécu aux trappes et attaques dont il a fait l’objet.
Les Français sont capables d’accepter un reniement de la part d’un responsable politique. Mais à certaines conditions, que ne remplissaient pas la cascade de reniements des présidents précédents.
« Je voudrais que ma mort fît le bonheur des Français et pût écarter les malheurs que je prévois, le peuple livré à l’anarchie, devenu la victime de toutes les factions. »
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
On ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce.
170 décisions de justice et un référendum parfaitement légal ne comptent pour rien pour notre Président et son gouvernement.
Les patronymes des accusés – un couple franco-algérien – dérangeraient-ils, en ces temps de chasse aux sorcières racistes ?
Il n’est pas scandaleux que le pouvoir détermine la politique pénale générale, plutôt que de laisser chaque procureur (il y en a 174) faire sa cuisine dans son coin.
La sécurité des entreprises étant devenue une affaire largement privée, l’ordre public va prendre le même chemin…
La candidature de Delphine Batho à la tête de l’ancien parti présidentiel n’a rien d’incongru, sachant qu’elle incarne mieux que personne ce que la gauche est devenue.
Le jeune Mathieu Gallet, vient d’être lourdement condamné pour favoritisme alors qu’il était à la tête de l’INA.
Quelle que soit la décision au sujet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’évacuation de la ZAD est programmée et il y a un risque sérieux de morts et de nombreux blessés de part et d’autre.
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018.
On va bien sûr faire quelques replâtrages. Mais le problème de fond va demeurer.
Récemment nommée à la tête du conseil supérieur des programmes (CSP), Saoud Ayada a jeté un pavé pour le moins politiquement incorrect dans la mare du sacro-saint « vivre-ensemble ».
Comment ne pas comprendre la grande colère des gardiens de prison ?
Le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites.
Jawad Bendaoud, le logeur de Saint-Denis surnommé « Stéphane Plaza » ou encore « Century 21 » par les policiers, comparaît ce mercredi devant la Justice.
Le pouvoir a pris conscience de la dangerosité de ces individus, et sait que s’ils reviennent sur le sol français, ils seront incontrôlables.
Dimanche soir, France 2 diffusait un reportage surprenant qui fait beaucoup parler.
Eric Zemmour avait été condamné par la cour d’appel pour provocation à la haine et à la discrimination. Il lui était reproché d’avoir utilisé le terme de « déportés » au sujet des musulmans en France.
Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites.
L’idéologie « progressiste » qui domine dans les médias en profite pour glisser sa désinformation. Les prisons seraient surpeuplées parce que la Justice condamnerait trop à la détention.
« La droite ne peut pas être que conservatrice. Encore une fois, elle doit être pragmatique avec un objectif de puissance. »
Si le but de la Révolution était l’égalité fiscale et l’abolition des privilèges, l’objectif est loin d’être atteint aujourd’hui.
« Les conservateurs sont ceux qui allient rappel des principes et mise en œuvre des premières mesures allant dans leur sens. »
Le monde carcéral français est, une fois de plus, en ébullition.
Que l’on aime ou pas Trump, force est de constater que nulle bête n’aurait survécu aux trappes et attaques dont il a fait l’objet.
Les Français sont capables d’accepter un reniement de la part d’un responsable politique. Mais à certaines conditions, que ne remplissaient pas la cascade de reniements des présidents précédents.
« Je voudrais que ma mort fît le bonheur des Français et pût écarter les malheurs que je prévois, le peuple livré à l’anarchie, devenu la victime de toutes les factions. »
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
On ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce.
170 décisions de justice et un référendum parfaitement légal ne comptent pour rien pour notre Président et son gouvernement.
Les patronymes des accusés – un couple franco-algérien – dérangeraient-ils, en ces temps de chasse aux sorcières racistes ?
Il n’est pas scandaleux que le pouvoir détermine la politique pénale générale, plutôt que de laisser chaque procureur (il y en a 174) faire sa cuisine dans son coin.
La sécurité des entreprises étant devenue une affaire largement privée, l’ordre public va prendre le même chemin…
La candidature de Delphine Batho à la tête de l’ancien parti présidentiel n’a rien d’incongru, sachant qu’elle incarne mieux que personne ce que la gauche est devenue.
Le jeune Mathieu Gallet, vient d’être lourdement condamné pour favoritisme alors qu’il était à la tête de l’INA.
Quelle que soit la décision au sujet de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’évacuation de la ZAD est programmée et il y a un risque sérieux de morts et de nombreux blessés de part et d’autre.