Livres

Tout bon Patagon se doit de posséder ce monument.

Le lecteur passe un excellent moment à lire ce récit héroïque et touchant, dont on espère qu’il sera réédité.

Ce n’est pas « une odyssée féministe », comme l’a écrit démagogiquement John Irving, mais une odyssée féminine, ce qui n’est pas la même chose.

C’est le siège de la plus importante citadelle albanaise que nous raconte, avec une force incroyable, Ismaïl Kadaré sous forme romancée.

La question que l’on se pose en refermant le livre est la suivante : la politique migratoire de la France ne risque-t-elle pas, à terme, de lui faire perdre la Corse définitivement ?

Elizabeth Goudge fut un des auteurs les plus lus en Angleterre pendant des décennies. Son style et sa profondeur en font un écrivain de grande valeur.

Ce livre, récemment réédité, est un document rare. Il nous apprend beaucoup sur un épisode tragique de l’Histoire et l’on salue ces vaincues innocentes.

Les phrases courent, comme Pierre Nioxe, et la rapidité du récit en rend la lecture très facile. Mais la leçon est plus profonde, et l’homme pressé est un peu l’homme moderne qui court vainement vers un but indéterminé.

Dans cet ouvrage, tous les aspects, y compris le coût économique, de la subversion islamique au sein des entreprises, fussent-elles publiques ou privées, sont abordés…

Richard Millet pulvérise à la nitroglycérine. Âmes sensibles, s’abstenir !

Ce livre est un itinéraire de réflexion. Il questionne les limites de notre loyauté et nous éclaire sur nos vulnérabilités induites par l’avènement de l’ère numérique.

Avec habileté et sans détour, il montre à quel point Emmanuel Macron est la carte la plus forte dans le jeu d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et de David Sassoli, président du Parlement européen.

Couvrant une période allant d’octobre 2015 à mars 2021, Benoist, avec l’intelligence acérée qu’on lui connaît, s’efforce de dissocier le bon grain des permanences et des tendances lourdes de l’ivraie contingente des modes et futilités médiatico-journalistiques.

L’intégration réussie s’appelle l’assimilation, l’intégration ratée s’appelle le communautarisme et entraînera une inévitable scission républicaine.

Dès les premières pages, l’auteur fait le constat du retour « de la guerre froide des idées » – censure, sectarisme, culture du clash…

Dans cet essai incisif, Levavasseur fourbit les armes rhétoriques d’un combat civilisationnel aussi âpre et impérieux qu’enthousiasmant pour la part d’inaltérable vérité qu’il contient.

Aborder l’œuvre de Proust par la porte de l’identité et y pénétrer avec les outils et les questionnements de l’historien restent une entreprise pertinente et féconde.

Si la stratégie de la peur a pu laisser accroire un moment que le peuple était calmé et rentré chez lui, il faut s’attendre, en réaction, à de nombreuses et diverses manifestations communielles.

Nous devons savoir infiniment gré à Patrick Buisson d’avoir pris le temps de disséquer et dépecer cette ère si courte mais ô combien ! dense et dévastatrice…

Le psychologue Jordan Peterson, blanc, marié, père de famille et plus de 50 ans au compteur, coche toutes les cases pour mériter la détestation

À une époque où, à l’université et ailleurs, l’ignorance sur le sujet est parfois stupéfiante, l’ouvrage vient combler un vide.

Un vrai travail de bénédictin qui ne laissera personne indifférent…

Ce brillant ouvrage devrait être lu et médité par tous les candidats à la présidentielle.

Jean-Marie Rouart est bien conscient de la difficulté d’imposer aux musulmans un imamat public du fait que l’islam, à travers sa communauté de l’oumma, refuse les frontières nationales et n’a pas de hiérarchie ecclésiale…

Servi par un style vigoureux et un humour pince-sans-rire alternant avec de caustiques sous-entendus, l’essai est une petite bombe à fragmentation qui explose à chaque page.

L’auteur n’a pas de mots assez durs pour critiquer notre système de classes préparatoires aux grandes écoles, puis de grandes écoles…

Vincent Coussedière le démontre : l’assimilation n’est pas une option politique parmi d’autres, mais elle est la condition même de la démocratie, son fondement impensé.

Cyril Bennasar est d’abord menuisier, c’est peut-être de là qu’il tient son solide bon sens, et ses deux pieds rivés sur Terre, le bois se laissant rarement attendrir par l’utopie et l’idéologie.

Tout bon Patagon se doit de posséder ce monument.

Le lecteur passe un excellent moment à lire ce récit héroïque et touchant, dont on espère qu’il sera réédité.

Ce n’est pas « une odyssée féministe », comme l’a écrit démagogiquement John Irving, mais une odyssée féminine, ce qui n’est pas la même chose.

C’est le siège de la plus importante citadelle albanaise que nous raconte, avec une force incroyable, Ismaïl Kadaré sous forme romancée.

La question que l’on se pose en refermant le livre est la suivante : la politique migratoire de la France ne risque-t-elle pas, à terme, de lui faire perdre la Corse définitivement ?

Elizabeth Goudge fut un des auteurs les plus lus en Angleterre pendant des décennies. Son style et sa profondeur en font un écrivain de grande valeur.

Ce livre, récemment réédité, est un document rare. Il nous apprend beaucoup sur un épisode tragique de l’Histoire et l’on salue ces vaincues innocentes.

Les phrases courent, comme Pierre Nioxe, et la rapidité du récit en rend la lecture très facile. Mais la leçon est plus profonde, et l’homme pressé est un peu l’homme moderne qui court vainement vers un but indéterminé.

Dans cet ouvrage, tous les aspects, y compris le coût économique, de la subversion islamique au sein des entreprises, fussent-elles publiques ou privées, sont abordés…

Richard Millet pulvérise à la nitroglycérine. Âmes sensibles, s’abstenir !

Ce livre est un itinéraire de réflexion. Il questionne les limites de notre loyauté et nous éclaire sur nos vulnérabilités induites par l’avènement de l’ère numérique.

Avec habileté et sans détour, il montre à quel point Emmanuel Macron est la carte la plus forte dans le jeu d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et de David Sassoli, président du Parlement européen.

Couvrant une période allant d’octobre 2015 à mars 2021, Benoist, avec l’intelligence acérée qu’on lui connaît, s’efforce de dissocier le bon grain des permanences et des tendances lourdes de l’ivraie contingente des modes et futilités médiatico-journalistiques.

L’intégration réussie s’appelle l’assimilation, l’intégration ratée s’appelle le communautarisme et entraînera une inévitable scission républicaine.

Dès les premières pages, l’auteur fait le constat du retour « de la guerre froide des idées » – censure, sectarisme, culture du clash…

Dans cet essai incisif, Levavasseur fourbit les armes rhétoriques d’un combat civilisationnel aussi âpre et impérieux qu’enthousiasmant pour la part d’inaltérable vérité qu’il contient.

Aborder l’œuvre de Proust par la porte de l’identité et y pénétrer avec les outils et les questionnements de l’historien restent une entreprise pertinente et féconde.

Si la stratégie de la peur a pu laisser accroire un moment que le peuple était calmé et rentré chez lui, il faut s’attendre, en réaction, à de nombreuses et diverses manifestations communielles.

Nous devons savoir infiniment gré à Patrick Buisson d’avoir pris le temps de disséquer et dépecer cette ère si courte mais ô combien ! dense et dévastatrice…

Le psychologue Jordan Peterson, blanc, marié, père de famille et plus de 50 ans au compteur, coche toutes les cases pour mériter la détestation

À une époque où, à l’université et ailleurs, l’ignorance sur le sujet est parfois stupéfiante, l’ouvrage vient combler un vide.

Un vrai travail de bénédictin qui ne laissera personne indifférent…

Ce brillant ouvrage devrait être lu et médité par tous les candidats à la présidentielle.

Jean-Marie Rouart est bien conscient de la difficulté d’imposer aux musulmans un imamat public du fait que l’islam, à travers sa communauté de l’oumma, refuse les frontières nationales et n’a pas de hiérarchie ecclésiale…

Servi par un style vigoureux et un humour pince-sans-rire alternant avec de caustiques sous-entendus, l’essai est une petite bombe à fragmentation qui explose à chaque page.

L’auteur n’a pas de mots assez durs pour critiquer notre système de classes préparatoires aux grandes écoles, puis de grandes écoles…

Vincent Coussedière le démontre : l’assimilation n’est pas une option politique parmi d’autres, mais elle est la condition même de la démocratie, son fondement impensé.

Cyril Bennasar est d’abord menuisier, c’est peut-être de là qu’il tient son solide bon sens, et ses deux pieds rivés sur Terre, le bois se laissant rarement attendrir par l’utopie et l’idéologie.
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