Médias
Ne pas retirer ces contenus est passible d’un an d’emprisonnement et 250.000 euros d’amende…
Voici que le vent tourne. Selon Le Parisien, le président ukrainien commence à subir des critiques.
Christophe Izard était le papa de Casimir et Casimir était l’ami de nombreux d’entre nous, alors en apprenant sa mort, nous nous sommes replongés dans nos réminiscences.
On veut réduire le déficit et l’on supprime une redevance… toujours sans augmenter les impôts ! Un enfant de 10 ans trouverait cela « bizarre ».
Donc, ces gens jouissent d’un totem d’immunité à vie, ils peuvent être impliqués dans des actes délictueux ou les couvrir, les médias bien-pensants n’ont pas le droit d’en parler.
Les résultats d’une étude menée dans 46 pays ont de quoi dessiller les yeux de ces grands médias que les Français ne croient plus.
Qui seront les modérateurs des plates-formes qui feront la pluie et le beau temps sur les contenus ?
Aujourd’hui, Vincent Glad et David Doucet, arroseurs arrosés, prennent leur revanche, ayant tous plus ou moins gagné aux prud’hommes contre leurs anciens employeurs, eux-mêmes arrosés par le scandale.
Aux États-Unis la liberté de la presse est garantie par le premier amendement. Certes. Mais certaines libertés sont moins libres que d’autres.
L’Arcom a de grands desseins. Pas celui de l’information la plus exigeante sur l’état réel de la France, non, rassurez-vous.
Après avoir moqué les troupes à pied dans un style gaucho-ringard qui tient de l’antimilitarisme neuneu des années 70, le journaliste part en vrille.
C’est le bad buzz de la journée : la déclaration officielle de la Société des journalistes de Paris Match qui « s’indigne » (sic) de voir le cardinal Sarah sur la couverture glacée du dernier numéro.
Il faut, toutes affaires cessantes, envoyer sur le front médiatique les plus fines lames de ce nouveau gouvernement. Qu’ils expliquent à tous et toutes, celles z’et ceux compris, que le navire file droit vers des horizons radieux… Que le capitaine tient le cap.
Les médias publics sont en grève. Ça nous fait des vacances. Pourvu que cela dure, et longtemps !
Le journaliste du Point, Aziz Zemouri, auteur de l’article, a été mis à pied et convoqué à un entretien préalable à un possible licenciement le vendredi 24 juin.
Sidérant de malhonnêteté, il est fondé sur des amalgames scandaleux et des raccourcis qui n’ont d’autre raison d’être que la volonté d’imposer une idéologie.
Michel Onfray, comme à son habitude, a pris le contre-pied de quelques évidences médiatiques, dont le rabâchage a pour but de les faire passer pour des vérités insubmersibles.
Pour les fans de Zemmour… et pas que. Tous ceux qui se piquent de politique – de gauche ou de droite – seront à coup sûr devant leur petit écran pour ce grand retour.
Aucune preuve, donc, d’une quelconque collusion, mais peu importe, on procède par suggestion : des liens « flous ».
Ce qui est inquiétant, dans cette histoire, c’est de se dire que si quelqu’un comme Hervé Le Bras prend acte d’un petit remplacement, c’est sans doute que le grand est beaucoup plus avancé que nous ne le croyons.
C’est bien par cette méthode autoritaire de gouvernance, par des clés qui ferment toute pensée pour museler la parole, que la technocratie mondiale prétend imposer ses délires de bien-pensance et ses désirs de puissance, pour sonner le glas des cultures locales.
La gauche est un poison mortel, mais elle crée.
Aujourd’hui, donc, on veut humaniser Abdeslam – c’est la trame de l’intervention à Quotidien de son avocat. Or, comment ne pas penser d’abord aux victimes et à leurs familles ?
Le conciliateur officiel du « vivre ensemble », Cyril Hanouna, invite alors la victime de cette hostilité générale à venir s’exprimer dans son émission.
Les journalistes étrangers présents à Saint-Denis pour couvrir l’événement ont dépeint une bien triste réalité. Ce n’est pas la défaite de Liverpool qui a retenu l’attention de la presse britannique.
La compétition s’enlise dans les marécages de la bien-pensance.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler plutôt compliqué pour les actionnaires de Disney…
Ne pas retirer ces contenus est passible d’un an d’emprisonnement et 250.000 euros d’amende…
Voici que le vent tourne. Selon Le Parisien, le président ukrainien commence à subir des critiques.
Christophe Izard était le papa de Casimir et Casimir était l’ami de nombreux d’entre nous, alors en apprenant sa mort, nous nous sommes replongés dans nos réminiscences.
On veut réduire le déficit et l’on supprime une redevance… toujours sans augmenter les impôts ! Un enfant de 10 ans trouverait cela « bizarre ».
Donc, ces gens jouissent d’un totem d’immunité à vie, ils peuvent être impliqués dans des actes délictueux ou les couvrir, les médias bien-pensants n’ont pas le droit d’en parler.
Les résultats d’une étude menée dans 46 pays ont de quoi dessiller les yeux de ces grands médias que les Français ne croient plus.
Qui seront les modérateurs des plates-formes qui feront la pluie et le beau temps sur les contenus ?
Aujourd’hui, Vincent Glad et David Doucet, arroseurs arrosés, prennent leur revanche, ayant tous plus ou moins gagné aux prud’hommes contre leurs anciens employeurs, eux-mêmes arrosés par le scandale.
Aux États-Unis la liberté de la presse est garantie par le premier amendement. Certes. Mais certaines libertés sont moins libres que d’autres.
L’Arcom a de grands desseins. Pas celui de l’information la plus exigeante sur l’état réel de la France, non, rassurez-vous.
Après avoir moqué les troupes à pied dans un style gaucho-ringard qui tient de l’antimilitarisme neuneu des années 70, le journaliste part en vrille.
C’est le bad buzz de la journée : la déclaration officielle de la Société des journalistes de Paris Match qui « s’indigne » (sic) de voir le cardinal Sarah sur la couverture glacée du dernier numéro.
Il faut, toutes affaires cessantes, envoyer sur le front médiatique les plus fines lames de ce nouveau gouvernement. Qu’ils expliquent à tous et toutes, celles z’et ceux compris, que le navire file droit vers des horizons radieux… Que le capitaine tient le cap.
Les médias publics sont en grève. Ça nous fait des vacances. Pourvu que cela dure, et longtemps !
Le journaliste du Point, Aziz Zemouri, auteur de l’article, a été mis à pied et convoqué à un entretien préalable à un possible licenciement le vendredi 24 juin.
Sidérant de malhonnêteté, il est fondé sur des amalgames scandaleux et des raccourcis qui n’ont d’autre raison d’être que la volonté d’imposer une idéologie.
Michel Onfray, comme à son habitude, a pris le contre-pied de quelques évidences médiatiques, dont le rabâchage a pour but de les faire passer pour des vérités insubmersibles.
Pour les fans de Zemmour… et pas que. Tous ceux qui se piquent de politique – de gauche ou de droite – seront à coup sûr devant leur petit écran pour ce grand retour.
Aucune preuve, donc, d’une quelconque collusion, mais peu importe, on procède par suggestion : des liens « flous ».
Ce qui est inquiétant, dans cette histoire, c’est de se dire que si quelqu’un comme Hervé Le Bras prend acte d’un petit remplacement, c’est sans doute que le grand est beaucoup plus avancé que nous ne le croyons.
C’est bien par cette méthode autoritaire de gouvernance, par des clés qui ferment toute pensée pour museler la parole, que la technocratie mondiale prétend imposer ses délires de bien-pensance et ses désirs de puissance, pour sonner le glas des cultures locales.
La gauche est un poison mortel, mais elle crée.
Aujourd’hui, donc, on veut humaniser Abdeslam – c’est la trame de l’intervention à Quotidien de son avocat. Or, comment ne pas penser d’abord aux victimes et à leurs familles ?
Le conciliateur officiel du « vivre ensemble », Cyril Hanouna, invite alors la victime de cette hostilité générale à venir s’exprimer dans son émission.
Les journalistes étrangers présents à Saint-Denis pour couvrir l’événement ont dépeint une bien triste réalité. Ce n’est pas la défaite de Liverpool qui a retenu l’attention de la presse britannique.
La compétition s’enlise dans les marécages de la bien-pensance.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler plutôt compliqué pour les actionnaires de Disney…