Médias
Priver les Français de cette incursion quotidienne dans un monde de nigauds bien pensants laisserait le pays exsangue. Culturellement dévasté.
Globalement, 35 % de citoyens seraient atteints par le virus. Le pourcentage de Français qui ne croient pas aux résultats de ce sondage fera l’objet d’un sondage ultérieur.
Pourtant, celle qui se vante d’avoir « déconstruit » son mari admet toutefois « prendre du plaisir à boire un verre de bon vin »… Que d’audace dans la transgression.
L’échange fut relativement paisible et respectueux, sans trop de hausse du ton. Les idées ont pu se confronter, mais sans que ce soit forcément à la gloire de Valérie Pécresse.
Cela dit, on aura eu un candidat-Président faisant une campagne service minimum. On ne voit pas pourquoi on n’aurait pas aussi une soirée électorale service minimum.
La Syrie ? Connais pas. Le Yémen, l’Afghanistan, le Liban, l’Iran ? C’est où, ça… Il n’y a plus personne pour couvrir ces conflits, plus grand monde pour seulement les évoquer.
Quid de la projection de nos politiques sur ces changements de nos sociétés à portée de main et agissant sur nos libertés ?
Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.
Devant cette censure, Erik Tegnér appelle à une mobilisation, non pour « faire du buzz, mais pour avoir du résultat ».
Nul ne sait ce qui se passe vraiment et comment va se finir cette guerre. La désinformation atteint des niveaux époustouflants et la vertu de prudence devrait davantage inspirer les moralistes de la bien-pensance.
Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.
Nos colonnes lui resteront évidemment toujours ouvertes, car nous avons à cœur de conserver ce qu’il a transmis à l’équipe, et établi comme principe fondateur de Boulevard Voltaire : l’amour de la liberté d’expression.
Pour une pleine satisfaction de la clientèle, la boutique l’Élysée précise que les assemblages de tout avec son contraire sont possibles.
Wikipédia est un outil prisé de centralisation de données présumées factuelles. Pourtant, sous la neutralité affichée, un combat politique s’y déroule depuis des années. Plongée dans un empire d’entre-soi arbitraire qui ne souffre aucune nuance.
Meta, l’entreprise qui détient Facebook et Instagram, vient d’instituer le droit à la « bonne » haine.
Bref, Zemmour, donc, était l’invité de « Face aux Françaises ». Il venait de dire qu’un « excès de valeurs féminines [menait] à une faiblesse de la société ». Déjà, c’est sacrément gonflé.
Il faut bien reconnaître que ses images et ses commentaires dérangent. Elles montrent ce que nul ne voulait voir.
Il faut bien reconnaître que ses images et ses commentaires dérangent. Elles montrent ce que nul ne voulait voir.
Le casus belli, c’est un entretien accordé en novembre dernier par Mme Marine Le Pen à Tysol, le média du syndicat.
Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.
S’il aimait la France des oubliés, elle le lui rendait bien. Cravaté, peigné, rasé de frais, souriant, s’exprimant dans une langue simple mais parfaite ne sacrifiant jamais à la vulgarité, il la respectait et elle le savait.
Ce n’est pas la première fois que l’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’en prend à la liberté de l’information, toujours sous le couvert d’une bonne conscience proclamée, la marque du macronisme.
Sur le papier, le projet est convaincant : des médias qui informent au moyen d’enquêtes et de reportages, voilà qui semble tout à fait correspondre à la mission des journalistes…
Poutine a remplacé les non-vaccinés. À présent, le méchant, l’acteur central de la grande tragédie médiatique, c’est lui.
On aurait tort de prendre Dominique de Villepin pour sa propre caricature.
On aurait aimé que ses trois semaines d’absence mystérieuse en janvier, poussant ses auditeurs inquiets à l’idée de ne plus savoir quoi penser, jusqu’à écrire pour demander « Où est Charline », puissent permettre à la dame de se renouveler un peu. Mais non.
La nomination de cette nouvelle directrice façonnée à Radio France ne devrait donc pas rassurer ceux qui espéraient naïvement que la station bien-pensante tiendrait compte des nombreuses critiques dont elle fait l’objet.
Priver les Français de cette incursion quotidienne dans un monde de nigauds bien pensants laisserait le pays exsangue. Culturellement dévasté.
Globalement, 35 % de citoyens seraient atteints par le virus. Le pourcentage de Français qui ne croient pas aux résultats de ce sondage fera l’objet d’un sondage ultérieur.
Pourtant, celle qui se vante d’avoir « déconstruit » son mari admet toutefois « prendre du plaisir à boire un verre de bon vin »… Que d’audace dans la transgression.
L’échange fut relativement paisible et respectueux, sans trop de hausse du ton. Les idées ont pu se confronter, mais sans que ce soit forcément à la gloire de Valérie Pécresse.
Cela dit, on aura eu un candidat-Président faisant une campagne service minimum. On ne voit pas pourquoi on n’aurait pas aussi une soirée électorale service minimum.
La Syrie ? Connais pas. Le Yémen, l’Afghanistan, le Liban, l’Iran ? C’est où, ça… Il n’y a plus personne pour couvrir ces conflits, plus grand monde pour seulement les évoquer.
Quid de la projection de nos politiques sur ces changements de nos sociétés à portée de main et agissant sur nos libertés ?
Si « RT et Sputnik ont été interdits », un « îlot prorusse » subsiste « dans certains supports ou émissions très à droite », nous révèle l’enquêtrice.
La prise de bec est révélatrice d’un tournant dans la manière de traiter la politique dans nos médias.
Devant cette censure, Erik Tegnér appelle à une mobilisation, non pour « faire du buzz, mais pour avoir du résultat ».
Nul ne sait ce qui se passe vraiment et comment va se finir cette guerre. La désinformation atteint des niveaux époustouflants et la vertu de prudence devrait davantage inspirer les moralistes de la bien-pensance.
Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.
Nos colonnes lui resteront évidemment toujours ouvertes, car nous avons à cœur de conserver ce qu’il a transmis à l’équipe, et établi comme principe fondateur de Boulevard Voltaire : l’amour de la liberté d’expression.
Pour une pleine satisfaction de la clientèle, la boutique l’Élysée précise que les assemblages de tout avec son contraire sont possibles.
Wikipédia est un outil prisé de centralisation de données présumées factuelles. Pourtant, sous la neutralité affichée, un combat politique s’y déroule depuis des années. Plongée dans un empire d’entre-soi arbitraire qui ne souffre aucune nuance.
Meta, l’entreprise qui détient Facebook et Instagram, vient d’instituer le droit à la « bonne » haine.
Bref, Zemmour, donc, était l’invité de « Face aux Françaises ». Il venait de dire qu’un « excès de valeurs féminines [menait] à une faiblesse de la société ». Déjà, c’est sacrément gonflé.
Il faut bien reconnaître que ses images et ses commentaires dérangent. Elles montrent ce que nul ne voulait voir.
Il faut bien reconnaître que ses images et ses commentaires dérangent. Elles montrent ce que nul ne voulait voir.
Le casus belli, c’est un entretien accordé en novembre dernier par Mme Marine Le Pen à Tysol, le média du syndicat.
Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.
S’il aimait la France des oubliés, elle le lui rendait bien. Cravaté, peigné, rasé de frais, souriant, s’exprimant dans une langue simple mais parfaite ne sacrifiant jamais à la vulgarité, il la respectait et elle le savait.
Ce n’est pas la première fois que l’État, sous la présidence d’Emmanuel Macron, s’en prend à la liberté de l’information, toujours sous le couvert d’une bonne conscience proclamée, la marque du macronisme.
Sur le papier, le projet est convaincant : des médias qui informent au moyen d’enquêtes et de reportages, voilà qui semble tout à fait correspondre à la mission des journalistes…
Poutine a remplacé les non-vaccinés. À présent, le méchant, l’acteur central de la grande tragédie médiatique, c’est lui.
On aurait tort de prendre Dominique de Villepin pour sa propre caricature.
On aurait aimé que ses trois semaines d’absence mystérieuse en janvier, poussant ses auditeurs inquiets à l’idée de ne plus savoir quoi penser, jusqu’à écrire pour demander « Où est Charline », puissent permettre à la dame de se renouveler un peu. Mais non.
La nomination de cette nouvelle directrice façonnée à Radio France ne devrait donc pas rassurer ceux qui espéraient naïvement que la station bien-pensante tiendrait compte des nombreuses critiques dont elle fait l’objet.