Médias
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
Le jeudi 26 novembre, France 2 diffusait un nouveau numéro de son émission politique « Vous avez la parole », présentée par Léa Salamé et
Dans la presse de progrès, l’hécatombe continue.
Un conditionnement idéologique subversif pour leur inculquer, dès le plus jeune âge, des valeurs sociales bien ancrées dans le subconscient. Aldous Huxley en rêvait, le gouvernement macronien l’aura fait.
Et Darmanin, qui a sauté dans le piège à pieds joints…
Karen Attiah, journaliste au Washington Post, a affirmé dans un tweet, samedi, qu’Emmanuel Macron allait donner « des numéros d’identification aux enfants musulmans pour aller à l’école ».
En France, on a, bien sûr, tout faux. Le régalien veut se débarrasser de son devoir de contrôle et de sanction en le confiant aux médias sociaux qui seraient leurs propres juges.
Au micro de Boulevard Voltaire, Didier Maïsto revient sur cette proposition de loi pour la sécurité globale qui est en discussion à l’Assemblée nationale. Il
L’offre ne fait que répondre à la demande. Logique inadmissible pour l’idéologue Hamon.
Quotidien pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre.
Ce n’est rien moins qu’une lettre adressée à Jill Biden dont le ton flagorneur et le style vipérin donnent à voir un concentré chimiquement pur de l’entre-soi médiatique qui règne en France depuis les années Mitterrand.
Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »
Cette appétence à tendre le micro a fini par créer une sorte de « mainthink » qui fonctionne comme un paradigme, auquel il est difficile d’échapper.
L’homme censé être le plus puissant du monde se trouve publiquement humilié par ce quatrième pouvoir en passe de devenir le premier
Vous sortez un opuscule sur le médiatique Yann Barthès, animateur de « Quotidien » et anciennement du « Petit Journal » de Canal+, Yann Barthès,
D’abord, on dénonce les propos comme criminels (le voyou), puis on demande que l’impétrant soit réduit au silence et sa parole publiquement désavouée, enfin on exige qu’il soit limogé par son employeur.
Pour la première fois dans l’histoire de la télévision, les responsables d’une chaîne se mobilisent pour examiner les moyens de faire baisser l’audience d’une émission. Du jamais-vu.
Combien nous coûte ce monument de vacuité à la sauce bobo ? En ces temps de crise sanitaro-économique, on aimerait bien savoir.
Le ridicule et la vanité s’ajoutent à l’arrogance et au mépris.
A-t-on si soigneusement effacé la figure du père pour ne plus seulement savoir à quoi il ressemble ?
En tout cas, si vous voulez vraiment « prendre soin de vous », et en attendant peut-être la redevance pour tous, je ne saurais trop vous conseiller de balancer votre télé par la fenêtre…
Quand Zemmour parle et fait parler, c’est le signe que la démocratie est en forme, qu’elle débat, qu’elle s’engueule, qu’elle vit.
Avec cet invraisemblable psychodrame d’un genre nouveau qui se joue dans la société, nous assistons au premier dommage de la société transparente et surinformée. Cela m’angoisse davantage que le Covid-19.
Rihanna, comment dire… À la limite, on aurait envie de l’aimer.
Donald Trump ne devait pas être président. Il n’en avait pas le droit. Pas les codes.
Le parquet de Paris a ouvert, jeudi 1er octobre, une enquête pour « provocation à la haine raciale » et « injures publiques à caractère raciste » au lendemain de propos d’Éric Zemmour
Antifa de salon, il camoufle la violence de son propos dans un ton de séminariste en propédeutique et une phraséologie cuistre passablement hermétique.
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
Le jeudi 26 novembre, France 2 diffusait un nouveau numéro de son émission politique « Vous avez la parole », présentée par Léa Salamé et
Dans la presse de progrès, l’hécatombe continue.
Un conditionnement idéologique subversif pour leur inculquer, dès le plus jeune âge, des valeurs sociales bien ancrées dans le subconscient. Aldous Huxley en rêvait, le gouvernement macronien l’aura fait.
Et Darmanin, qui a sauté dans le piège à pieds joints…
Karen Attiah, journaliste au Washington Post, a affirmé dans un tweet, samedi, qu’Emmanuel Macron allait donner « des numéros d’identification aux enfants musulmans pour aller à l’école ».
En France, on a, bien sûr, tout faux. Le régalien veut se débarrasser de son devoir de contrôle et de sanction en le confiant aux médias sociaux qui seraient leurs propres juges.
Au micro de Boulevard Voltaire, Didier Maïsto revient sur cette proposition de loi pour la sécurité globale qui est en discussion à l’Assemblée nationale. Il
L’offre ne fait que répondre à la demande. Logique inadmissible pour l’idéologue Hamon.
Quotidien pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre.
Ce n’est rien moins qu’une lettre adressée à Jill Biden dont le ton flagorneur et le style vipérin donnent à voir un concentré chimiquement pur de l’entre-soi médiatique qui règne en France depuis les années Mitterrand.
Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »
Cette appétence à tendre le micro a fini par créer une sorte de « mainthink » qui fonctionne comme un paradigme, auquel il est difficile d’échapper.
L’homme censé être le plus puissant du monde se trouve publiquement humilié par ce quatrième pouvoir en passe de devenir le premier
Vous sortez un opuscule sur le médiatique Yann Barthès, animateur de « Quotidien » et anciennement du « Petit Journal » de Canal+, Yann Barthès,
D’abord, on dénonce les propos comme criminels (le voyou), puis on demande que l’impétrant soit réduit au silence et sa parole publiquement désavouée, enfin on exige qu’il soit limogé par son employeur.
Pour la première fois dans l’histoire de la télévision, les responsables d’une chaîne se mobilisent pour examiner les moyens de faire baisser l’audience d’une émission. Du jamais-vu.
Combien nous coûte ce monument de vacuité à la sauce bobo ? En ces temps de crise sanitaro-économique, on aimerait bien savoir.
Le ridicule et la vanité s’ajoutent à l’arrogance et au mépris.
A-t-on si soigneusement effacé la figure du père pour ne plus seulement savoir à quoi il ressemble ?
En tout cas, si vous voulez vraiment « prendre soin de vous », et en attendant peut-être la redevance pour tous, je ne saurais trop vous conseiller de balancer votre télé par la fenêtre…
Quand Zemmour parle et fait parler, c’est le signe que la démocratie est en forme, qu’elle débat, qu’elle s’engueule, qu’elle vit.
Avec cet invraisemblable psychodrame d’un genre nouveau qui se joue dans la société, nous assistons au premier dommage de la société transparente et surinformée. Cela m’angoisse davantage que le Covid-19.
Rihanna, comment dire… À la limite, on aurait envie de l’aimer.
Donald Trump ne devait pas être président. Il n’en avait pas le droit. Pas les codes.
Le parquet de Paris a ouvert, jeudi 1er octobre, une enquête pour « provocation à la haine raciale » et « injures publiques à caractère raciste » au lendemain de propos d’Éric Zemmour
Antifa de salon, il camoufle la violence de son propos dans un ton de séminariste en propédeutique et une phraséologie cuistre passablement hermétique.