Médias
Dans un grand quotidien provincial, un ancien rédacteur de l’Observatoire du journalisme me signale qu’en conférence de rédaction, une question revient régulièrement : « Cette information pourrait-elle favoriser le Rassemblement national ? » Si la réponse est oui, l’information est édulcorée ou elle passe à la trappe.
Elle y est allée « fort » en effet dans sa conclusion qui éclate telle une condamnation.
Les méthodes du rejeton donneur de leçons, tant journalistiques que déontologiques, se trouvent désormais dans le collimateur d’autres limiers encore plus féroces.
Aucun lien possible avec le réchauffement climatique. Eh bien, tant pis ! Il fallait en inventer un, même tiré par les tresses, même sans aucun rapport avec le sujet.
Les web TV explosent dans le paysage médiatique français. Gilles-William Goldnadel vient de créer la sienne.
Une journaliste de la télévision publique allemande a porté plainte devant la justice française contre Valéry Giscard d’Estaing.
Le spectacle du président de séance coupant la parole d’un député, en l’occurrence la présidente du RN, alors qu’elle défend la liberté d’expression donne le vrai visage du système : technique, administratif, ignorant le respect dû aux institutions et aux élus.
Cette série accumule les clins d’œil aux communautarismes qui hantent l’unité nationale belge.
Soit les gens sont trop bêtes pour comprendre le message. Soit on n’est pas capable de faire passer le message. Le débat est ouvert.
On entend quelques voix timides demandant un retour à des règles déontologiques simples : le respect du réel et du public.
Stéphane Bern n’a pas manqué d’expliquer à ses millions de téléspectateurs que « cette sainte si proche et si humaine nous rappelle qu’il n’y a pas de plus bel idéal sur Terre que de vouloir vivre d’amour ».
Quelle satisfaction de constater qu’il existe encore un vrai journalisme d’investigation, ainsi que de belles subventions d’État pour le maintenir en vie.
Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression, diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a partagé ce jeudi sur Twitter le lien d’un site dédié à la lutte contre les fausses informations (les fake news).
Selon ces brèves réponses aux vacarmes médiatiques divers et variés, la crise fut donc gérée de main de maître. Des cadors du Covid.
Pendant ce temps, continuent les Sherlock Holmes, « le coronavirus rôdait silencieusement ». Moi, je dis : prix Pulitzer !
Le journaliste n’est pas une star. Et ne doit pas le devenir. Il est là pour interviewer des gens en vue mais pas pour jouer leur rôle, avec ou sans écharpe rouge !
Qui peut encore croire – sinon les mêmes militants mondialistes – à ce rôle d’éternelle victime qui, d’un côté, sert des causes politiques précises et, de l’autre, prête à sourire ?
Depuis 14 ans, Laurent Ruquier vivait confiné dans le studio d’« On n’est pas couché ».
Et si telle était notre situation ? Informés mais idiots… Jusqu’à quand ?
Si l’AFP factuel, le Décodex et CheckNews avaient vécu au temps du Malade imaginaire, toute remise en cause des saignées aurait valu à son téméraire auteur une mention « contenu partiellement faux » et une censure de Facebook…
Les partis au pouvoir, en Hongrie et en Pologne ne trouvent jamais grâce aux yeux des journalistes du Monde.
Sans doute les dealers respectaient-ils les gestes barrière ?
Les quotidiens et les hebdomadaires sont allégés. Je continue à les acheter mais ils se lisent très vite.
Il faut à tout prix que le président américain soit coupable…
Quand tout cela sera fini, mes amis, la pastille rouge sera pour eux, bien visible sur le nez : celle de Bozo le clown. Et tout leur cirque sera fini.
Le monsieur officie tous les matins sur RTL pour une chronique que ma grand-mère aurait pu tenir…
Dans un grand quotidien provincial, un ancien rédacteur de l’Observatoire du journalisme me signale qu’en conférence de rédaction, une question revient régulièrement : « Cette information pourrait-elle favoriser le Rassemblement national ? » Si la réponse est oui, l’information est édulcorée ou elle passe à la trappe.
Elle y est allée « fort » en effet dans sa conclusion qui éclate telle une condamnation.
Les méthodes du rejeton donneur de leçons, tant journalistiques que déontologiques, se trouvent désormais dans le collimateur d’autres limiers encore plus féroces.
Aucun lien possible avec le réchauffement climatique. Eh bien, tant pis ! Il fallait en inventer un, même tiré par les tresses, même sans aucun rapport avec le sujet.
Les web TV explosent dans le paysage médiatique français. Gilles-William Goldnadel vient de créer la sienne.
Une journaliste de la télévision publique allemande a porté plainte devant la justice française contre Valéry Giscard d’Estaing.
Le spectacle du président de séance coupant la parole d’un député, en l’occurrence la présidente du RN, alors qu’elle défend la liberté d’expression donne le vrai visage du système : technique, administratif, ignorant le respect dû aux institutions et aux élus.
Cette série accumule les clins d’œil aux communautarismes qui hantent l’unité nationale belge.
Soit les gens sont trop bêtes pour comprendre le message. Soit on n’est pas capable de faire passer le message. Le débat est ouvert.
On entend quelques voix timides demandant un retour à des règles déontologiques simples : le respect du réel et du public.
Stéphane Bern n’a pas manqué d’expliquer à ses millions de téléspectateurs que « cette sainte si proche et si humaine nous rappelle qu’il n’y a pas de plus bel idéal sur Terre que de vouloir vivre d’amour ».
Quelle satisfaction de constater qu’il existe encore un vrai journalisme d’investigation, ainsi que de belles subventions d’État pour le maintenir en vie.
Maître Gilles-William Goldnadel réagit à l’agression, diffusée sur le réseau social Snapchat et relayée sur Twitter.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a partagé ce jeudi sur Twitter le lien d’un site dédié à la lutte contre les fausses informations (les fake news).
Selon ces brèves réponses aux vacarmes médiatiques divers et variés, la crise fut donc gérée de main de maître. Des cadors du Covid.
Pendant ce temps, continuent les Sherlock Holmes, « le coronavirus rôdait silencieusement ». Moi, je dis : prix Pulitzer !
Le journaliste n’est pas une star. Et ne doit pas le devenir. Il est là pour interviewer des gens en vue mais pas pour jouer leur rôle, avec ou sans écharpe rouge !
Qui peut encore croire – sinon les mêmes militants mondialistes – à ce rôle d’éternelle victime qui, d’un côté, sert des causes politiques précises et, de l’autre, prête à sourire ?
Depuis 14 ans, Laurent Ruquier vivait confiné dans le studio d’« On n’est pas couché ».
Et si telle était notre situation ? Informés mais idiots… Jusqu’à quand ?
Si l’AFP factuel, le Décodex et CheckNews avaient vécu au temps du Malade imaginaire, toute remise en cause des saignées aurait valu à son téméraire auteur une mention « contenu partiellement faux » et une censure de Facebook…
Les partis au pouvoir, en Hongrie et en Pologne ne trouvent jamais grâce aux yeux des journalistes du Monde.
Sans doute les dealers respectaient-ils les gestes barrière ?
Les quotidiens et les hebdomadaires sont allégés. Je continue à les acheter mais ils se lisent très vite.
Il faut à tout prix que le président américain soit coupable…
Quand tout cela sera fini, mes amis, la pastille rouge sera pour eux, bien visible sur le nez : celle de Bozo le clown. Et tout leur cirque sera fini.
Le monsieur officie tous les matins sur RTL pour une chronique que ma grand-mère aurait pu tenir…