Médias
Il n’y a pas pire censure que celle que les journalistes s’infligent eux-mêmes…
Message en l’air : demain, je n’achète plus de Nutella™.
Pour « Quotidien », certains responsables qui ont pris la parole dimanche, à l’occasion de la manifestation des opposants à la PMA, disent n’importe quoi
Ainsi, les médias sont devenus salles de classe dans lesquelles il convient d’éduquer ou de rééduquer ce peuple, ignorant par nature…
Le jeu a souvent consisté en France à, justement, ne pas découvrir, à ne pas nommer, à ne pas trouver le schmilblick.
Il est difficile de déterminer si ce sont les médias d’images qui tendent à nous rendre stupides ou s’ils ne font que s’adapter au niveau moyen de stupidité croissante.
Alors, rappelons l’article 7 de la Convention internationale des droits de l’enfant, signée par la France en 1990 : « Un enfant a le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux. »
Le général de Gaulle lui-même ne bénéficiait pas du soutien quasi unanime de la grande presse écrite et audiovisuelle dont jouit l’actuel occupant de l’Elysée.
Et, quand tout le monde aura appris à parler pour ne rien dire, les réformes les plus antisociales et les plus antinationales passeront comme une lettre à la poste des esprits engourdis.
Sous l’œil maternel de Léa Salamé qui mène l’interview, l’ex-NTM va tenter de relativiser les affirmations de notre Martin Luther King à nous.
C’est beau, c’est grand. Surtout, ça ne mérite aucune discussion ni même interrogation, vu qu’il s’agit d’une « action citoyenne ».
Il ne faut évidemment pas faire « d’amalgames » ou de stigmatisation.
Étant moi-même une vieille chose de sexe féminin, je revendique, au nom de l’égalité et de la parité, le droit de rigoler et de m’agacer des génuflexions devant la gamine aux tresses.
Qu’il s’agisse d’un individu aux intentions terroristes ou d’un « déséquilibré » (les deux ne sont pas incompatibles), on ne peut éluder la question de la politique migratoire.
Chacun sait qu’il n’y a pas grand chemin du Capitole à la roche Tarpéienne !
Qu’on ne croie pas à une irrésistible bouffée narcissique de ma part puisque ce titre se contente de renvoyer à une série que ce quotidien
Les protagonistes de ces conversations étaient des gens qui avaient autorisé Facebook à les retranscrire. Consciemment ? Qui lit toutes les conditions générales des services en ligne avant de les accepter ?
Un groupuscule nommé Sleeping Giants fait pression sur les annonceurs pour les pousser à se retirer de certains sites qu’ils qualifient « d’extrême droite ».
Jean-Michel Ribes aura réussi cet exploit sans précédent : être l’un de ses propres personnages loufoques.
Le nouveau Macron est arrivé. C’est une chroniqueuse de BFM qui nous le dit.
Les Chinois, dit-on, avaient inventé le supplice de la goutte d’eau. Les feuilletons télé en ont repris le principe : un petit matraquage quotidien.
Il faut accepter de considérer que Mediapart n’est pas un bloc à détester ou adorer sans examen.
Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité.
Le site de l’Observatoire du journalisme (OJIM) a subi, la semaine dernière, une attaque informatique le rendant indisponible pendant presque 24 heures. Auparavant, sans que puisse
En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.
Il n’y a pas pire censure que celle que les journalistes s’infligent eux-mêmes…
Message en l’air : demain, je n’achète plus de Nutella™.
Pour « Quotidien », certains responsables qui ont pris la parole dimanche, à l’occasion de la manifestation des opposants à la PMA, disent n’importe quoi
Ainsi, les médias sont devenus salles de classe dans lesquelles il convient d’éduquer ou de rééduquer ce peuple, ignorant par nature…
Le jeu a souvent consisté en France à, justement, ne pas découvrir, à ne pas nommer, à ne pas trouver le schmilblick.
Il est difficile de déterminer si ce sont les médias d’images qui tendent à nous rendre stupides ou s’ils ne font que s’adapter au niveau moyen de stupidité croissante.
Alors, rappelons l’article 7 de la Convention internationale des droits de l’enfant, signée par la France en 1990 : « Un enfant a le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux. »
Le général de Gaulle lui-même ne bénéficiait pas du soutien quasi unanime de la grande presse écrite et audiovisuelle dont jouit l’actuel occupant de l’Elysée.
Et, quand tout le monde aura appris à parler pour ne rien dire, les réformes les plus antisociales et les plus antinationales passeront comme une lettre à la poste des esprits engourdis.
Sous l’œil maternel de Léa Salamé qui mène l’interview, l’ex-NTM va tenter de relativiser les affirmations de notre Martin Luther King à nous.
C’est beau, c’est grand. Surtout, ça ne mérite aucune discussion ni même interrogation, vu qu’il s’agit d’une « action citoyenne ».
Il ne faut évidemment pas faire « d’amalgames » ou de stigmatisation.
Étant moi-même une vieille chose de sexe féminin, je revendique, au nom de l’égalité et de la parité, le droit de rigoler et de m’agacer des génuflexions devant la gamine aux tresses.
Qu’il s’agisse d’un individu aux intentions terroristes ou d’un « déséquilibré » (les deux ne sont pas incompatibles), on ne peut éluder la question de la politique migratoire.
Chacun sait qu’il n’y a pas grand chemin du Capitole à la roche Tarpéienne !
Qu’on ne croie pas à une irrésistible bouffée narcissique de ma part puisque ce titre se contente de renvoyer à une série que ce quotidien
Les protagonistes de ces conversations étaient des gens qui avaient autorisé Facebook à les retranscrire. Consciemment ? Qui lit toutes les conditions générales des services en ligne avant de les accepter ?
Un groupuscule nommé Sleeping Giants fait pression sur les annonceurs pour les pousser à se retirer de certains sites qu’ils qualifient « d’extrême droite ».
Jean-Michel Ribes aura réussi cet exploit sans précédent : être l’un de ses propres personnages loufoques.
Le nouveau Macron est arrivé. C’est une chroniqueuse de BFM qui nous le dit.
Les Chinois, dit-on, avaient inventé le supplice de la goutte d’eau. Les feuilletons télé en ont repris le principe : un petit matraquage quotidien.
Il faut accepter de considérer que Mediapart n’est pas un bloc à détester ou adorer sans examen.
Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité.
Le site de l’Observatoire du journalisme (OJIM) a subi, la semaine dernière, une attaque informatique le rendant indisponible pendant presque 24 heures. Auparavant, sans que puisse
En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.