Médias
Le philosophe Robert Redeker, auteur de Peut-on encore aimer le football ?, analyse les dessous de l’engouement pour le foot : règne de la consommation,
Alexandre Langlois, deux ans après l’attentat de Magnanville et l’assassinat de deux policiers chez eux, fait le point au micro de Boulevard Voltaire sur la
C’est donc sur cette escroquerie intellectuelle que s’est bâti le mythe de l’équipe de France « black, blanc, leur ».
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Du Trump tout craché, en somme : injurieux pour un Justin Trudeau et ses alliés européens, obséquieux avec le dernier dictateur communiste…
Le véritable enjeu de cette élection reste le devenir de l’accord de paix signé entre le président Juan Manuel Santos et le commandant en chef des FARC.
Oui, la France doit rester la France. Proférer cela, le maintenir, le revendiquer n’implique pas de plonger dans un enfer ceux qui l’honorent.
Une fois de plus se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.
Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au
Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel.
On reproche, notamment au sein même des LR, à ce tract de reprendre les thématiques du Front national.
Les révolutionnaires et les guerriers sont les cocus de l’Histoire.
Maintenant, il ne lui reste plus qu’à perdre son vernis de droite.
C’est du lourd et nous, nous l’apprenons en juin 2018 !
Le candidat Macron se serait-il laissé piéger par son équipe de campagne, lui qui est réputé tout contrôler jusqu’au moindre bouton ?
Suggérons à tous les Français qui pensent encore, notamment aux associations patriotiques, aux personnalités qui refusent de se fondre dans le moule de la pensée unique, de renverser la vapeur : qu’on leur donne le droit de se porter partie civile lorsque des propos sont tenus contre la France…
Nous ne sommes plus au temps du général de Gaulle, quand son ministre de l’Information déclarait que l’ORTF, la télévision de l’époque, était la voix du gouvernement.
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Nous mesurons ici où s’arrête la liberté d’expression.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il osé déclarer que cette proposition de loi permettrait « de mieux exercer la démocratie » ?
Placer le concours en fin de licence non seulement diminuerait la formation disciplinaire mais permettrait aux ESPE de prendre en main plus longtemps les étudiants pour les conformer à un modèle préconçu.
Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.
Récemment, on a vu des parents refuser que leurs enfants intègrent un collège d’éducation prioritaire. Ils ont simplement envie que leurs enfants puissent travailler dans de bonnes conditions. C’est un problème bien plus important que celui de la gestion des portables.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?
Le philosophe Robert Redeker, auteur de Peut-on encore aimer le football ?, analyse les dessous de l’engouement pour le foot : règne de la consommation,
Alexandre Langlois, deux ans après l’attentat de Magnanville et l’assassinat de deux policiers chez eux, fait le point au micro de Boulevard Voltaire sur la
C’est donc sur cette escroquerie intellectuelle que s’est bâti le mythe de l’équipe de France « black, blanc, leur ».
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Du Trump tout craché, en somme : injurieux pour un Justin Trudeau et ses alliés européens, obséquieux avec le dernier dictateur communiste…
Le véritable enjeu de cette élection reste le devenir de l’accord de paix signé entre le président Juan Manuel Santos et le commandant en chef des FARC.
Oui, la France doit rester la France. Proférer cela, le maintenir, le revendiquer n’implique pas de plonger dans un enfer ceux qui l’honorent.
Une fois de plus se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.
Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au
Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel.
On reproche, notamment au sein même des LR, à ce tract de reprendre les thématiques du Front national.
Les révolutionnaires et les guerriers sont les cocus de l’Histoire.
Maintenant, il ne lui reste plus qu’à perdre son vernis de droite.
C’est du lourd et nous, nous l’apprenons en juin 2018 !
Le candidat Macron se serait-il laissé piéger par son équipe de campagne, lui qui est réputé tout contrôler jusqu’au moindre bouton ?
Suggérons à tous les Français qui pensent encore, notamment aux associations patriotiques, aux personnalités qui refusent de se fondre dans le moule de la pensée unique, de renverser la vapeur : qu’on leur donne le droit de se porter partie civile lorsque des propos sont tenus contre la France…
Nous ne sommes plus au temps du général de Gaulle, quand son ministre de l’Information déclarait que l’ORTF, la télévision de l’époque, était la voix du gouvernement.
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Nous mesurons ici où s’arrête la liberté d’expression.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il osé déclarer que cette proposition de loi permettrait « de mieux exercer la démocratie » ?
Placer le concours en fin de licence non seulement diminuerait la formation disciplinaire mais permettrait aux ESPE de prendre en main plus longtemps les étudiants pour les conformer à un modèle préconçu.
Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.
Récemment, on a vu des parents refuser que leurs enfants intègrent un collège d’éducation prioritaire. Ils ont simplement envie que leurs enfants puissent travailler dans de bonnes conditions. C’est un problème bien plus important que celui de la gestion des portables.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?