Médias

Une fois de plus se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.

Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au

Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel.
On reproche, notamment au sein même des LR, à ce tract de reprendre les thématiques du Front national.
Les révolutionnaires et les guerriers sont les cocus de l’Histoire.
Maintenant, il ne lui reste plus qu’à perdre son vernis de droite.

C’est du lourd et nous, nous l’apprenons en juin 2018 !
Le candidat Macron se serait-il laissé piéger par son équipe de campagne, lui qui est réputé tout contrôler jusqu’au moindre bouton ?
Suggérons à tous les Français qui pensent encore, notamment aux associations patriotiques, aux personnalités qui refusent de se fondre dans le moule de la pensée unique, de renverser la vapeur : qu’on leur donne le droit de se porter partie civile lorsque des propos sont tenus contre la France…

Nous ne sommes plus au temps du général de Gaulle, quand son ministre de l’Information déclarait que l’ORTF, la télévision de l’époque, était la voix du gouvernement.

Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Nous mesurons ici où s’arrête la liberté d’expression.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il osé déclarer que cette proposition de loi permettrait « de mieux exercer la démocratie » ?

Placer le concours en fin de licence non seulement diminuerait la formation disciplinaire mais permettrait aux ESPE de prendre en main plus longtemps les étudiants pour les conformer à un modèle préconçu.

Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.

« Messieurs les censeurs, bonsoir ! »
Voilà, chers amis, où passent nos impôts.
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.

Récemment, on a vu des parents refuser que leurs enfants intègrent un collège d’éducation prioritaire. Ils ont simplement envie que leurs enfants puissent travailler dans de bonnes conditions. C’est un problème bien plus important que celui de la gestion des portables.
Remercions donc Michel Onfray de son courage.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Et vous êtes priés de ne pas vous affoler.

Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris…

La direction de Carrefour n’a, pour l’instant, pas encore pris position.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.

Le sentiment que les élections ne servent à rien, et la répression qui s’abat sur la liberté d’expression sont aujourd’hui les deux symptômes d’une véritable maladie de la démocratie, en Europe, et en France en particulier.
Parce qu’il a sauvé un petit enfant, le jeune Malien clandestin Mamoudou Gassama a obtenu sa régularisation. À sa suite, de nombreux « sans-papiers » se manifestent

Une fois de plus se creuse la nouvelle ligne de fracture, l’islamisme, qui, au moins l’espace d’une provocation, unit la droite et scinde la gauche.

Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au

Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel.
On reproche, notamment au sein même des LR, à ce tract de reprendre les thématiques du Front national.
Les révolutionnaires et les guerriers sont les cocus de l’Histoire.
Maintenant, il ne lui reste plus qu’à perdre son vernis de droite.

C’est du lourd et nous, nous l’apprenons en juin 2018 !
Le candidat Macron se serait-il laissé piéger par son équipe de campagne, lui qui est réputé tout contrôler jusqu’au moindre bouton ?
Suggérons à tous les Français qui pensent encore, notamment aux associations patriotiques, aux personnalités qui refusent de se fondre dans le moule de la pensée unique, de renverser la vapeur : qu’on leur donne le droit de se porter partie civile lorsque des propos sont tenus contre la France…

Nous ne sommes plus au temps du général de Gaulle, quand son ministre de l’Information déclarait que l’ORTF, la télévision de l’époque, était la voix du gouvernement.

Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Nous mesurons ici où s’arrête la liberté d’expression.
Comment Benjamin Griveaux a-t-il osé déclarer que cette proposition de loi permettrait « de mieux exercer la démocratie » ?

Placer le concours en fin de licence non seulement diminuerait la formation disciplinaire mais permettrait aux ESPE de prendre en main plus longtemps les étudiants pour les conformer à un modèle préconçu.

Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.

« Messieurs les censeurs, bonsoir ! »
Voilà, chers amis, où passent nos impôts.
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.

Récemment, on a vu des parents refuser que leurs enfants intègrent un collège d’éducation prioritaire. Ils ont simplement envie que leurs enfants puissent travailler dans de bonnes conditions. C’est un problème bien plus important que celui de la gestion des portables.
Remercions donc Michel Onfray de son courage.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Et vous êtes priés de ne pas vous affoler.

Du harcèlement, de l’insécurité, du racket, des élèves tabassés, des profs molestés ? Vous n’y êtes pas, mes chéris…

La direction de Carrefour n’a, pour l’instant, pas encore pris position.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.

Le sentiment que les élections ne servent à rien, et la répression qui s’abat sur la liberté d’expression sont aujourd’hui les deux symptômes d’une véritable maladie de la démocratie, en Europe, et en France en particulier.
Parce qu’il a sauvé un petit enfant, le jeune Malien clandestin Mamoudou Gassama a obtenu sa régularisation. À sa suite, de nombreux « sans-papiers » se manifestent
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