Médias
On connaît bien la dérive qui emporte tous les dogmes : plus ils échouent, plus ils persistent dans leurs erreurs.
Les intentions sont bonnes. Une première depuis 2007. Chapeau l’artiste !
On me pardonnera d’avoir écouté avec attention cet entretien et de m’être senti fier.
De Gaulle disait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Maintenant, elle se fait à Berlin.
Vilipender un adversaire qui n’a pas les mêmes opinions que vous est indigne.
Il y a inévitablement des charismes différents entre les deux personnes…
« La présidente du Front national fait maintenant l’impasse sur la sortie de l’euro. Et je m’en félicite. »
Il faut s’y faire : le roi Macron règne, et les amuseurs amusent. Rien de sérieux ne se profile contre sa majesté .
L’entreprise de dénigrement, qu’il érige en stratégie, se poursuit du côté de Berlin, chez l’impératrice Merkel.
Rendez-nous Jean Gabin et Lino Ventura : ces acteurs-là étaient non seulement excellents, mais ne s’encombraient pas de moraline.
À l’évidence, elle n’arrive même pas à soutenir sa propre argumentation, tant elle est dénuée de bon sens, et même de sens tout court…
Il semblerait que la liberté de recherche et d’expression des universitaires américains, s’agissant de l’Histoire, soit elle aussi mise à mal.
Greenpeace a remis mardi 10 octobre à divers grands pontes du nucléaire civil un rapport sur la sécurité des centrales belges et françaises.
Julien Aubert, député de Vaucluse, ne sera pas candidat à la présidence de son mouvement, faute de parrainages.
Bertrand Cantat fait la une des Inrockuptibles, jadis intéressant mensuel, devenu depuis un hebdomadaire branché sur le courant gauchiste décadent.
N’est-il pas l’un des plus généreux donateurs du Parti démocrate ?
Le bras gauche de Mélenchon, qui se veut le seul opposant crédible à la politique de monsieur Macron, s’est lâché à propos de Manuel Valls.
Le projet d’une nouvelle loi sur l’antifascisme (il y en a déjà deux) a saturé l’espace audiovisuel des dernières semaines.
Hors l’effet d’annonce, qu’est-ce que ça va changer ?
Sens Commun est rentré prestement dans le rang, en publiant un communiqué « Non ! Sens Commun ne tend pas la main au Front national. » Fermez le ban.
En juin, le nouveau Président français Emmanuel Macron accusait carrément l’ex-Europe de l’Est de traiter l’Union europé
Histoire d’apprendre à mettre son lit et ses idées au carré, dirons-nous. Cela ne ferait pas de mal à certains.
Julien Aubert, candidat à la présidence des Républicains répond au micro de Boulevard Voltaire.
Ne pas avoir changé de métier à sa sortie de prison pour tenter de devenir un anonyme, est-ce dû à une accoutumance à la drogue « succès » ?
Son souvenir ne peut se distinguer de ses films ni de ses confidences.
C’est moi, ou ce pays devient doucettement un asile de fous ?
L’accueil de réfugiés doit être limité en chiffre net à 200.000 individus par an.
On connaît bien la dérive qui emporte tous les dogmes : plus ils échouent, plus ils persistent dans leurs erreurs.
Les intentions sont bonnes. Une première depuis 2007. Chapeau l’artiste !
On me pardonnera d’avoir écouté avec attention cet entretien et de m’être senti fier.
De Gaulle disait que la politique de la France ne se fait pas à la corbeille. Maintenant, elle se fait à Berlin.
Vilipender un adversaire qui n’a pas les mêmes opinions que vous est indigne.
Il y a inévitablement des charismes différents entre les deux personnes…
« La présidente du Front national fait maintenant l’impasse sur la sortie de l’euro. Et je m’en félicite. »
Il faut s’y faire : le roi Macron règne, et les amuseurs amusent. Rien de sérieux ne se profile contre sa majesté .
L’entreprise de dénigrement, qu’il érige en stratégie, se poursuit du côté de Berlin, chez l’impératrice Merkel.
Rendez-nous Jean Gabin et Lino Ventura : ces acteurs-là étaient non seulement excellents, mais ne s’encombraient pas de moraline.
À l’évidence, elle n’arrive même pas à soutenir sa propre argumentation, tant elle est dénuée de bon sens, et même de sens tout court…
Il semblerait que la liberté de recherche et d’expression des universitaires américains, s’agissant de l’Histoire, soit elle aussi mise à mal.
Greenpeace a remis mardi 10 octobre à divers grands pontes du nucléaire civil un rapport sur la sécurité des centrales belges et françaises.
Julien Aubert, député de Vaucluse, ne sera pas candidat à la présidence de son mouvement, faute de parrainages.
Bertrand Cantat fait la une des Inrockuptibles, jadis intéressant mensuel, devenu depuis un hebdomadaire branché sur le courant gauchiste décadent.
N’est-il pas l’un des plus généreux donateurs du Parti démocrate ?
Le bras gauche de Mélenchon, qui se veut le seul opposant crédible à la politique de monsieur Macron, s’est lâché à propos de Manuel Valls.
Le projet d’une nouvelle loi sur l’antifascisme (il y en a déjà deux) a saturé l’espace audiovisuel des dernières semaines.
Hors l’effet d’annonce, qu’est-ce que ça va changer ?
Sens Commun est rentré prestement dans le rang, en publiant un communiqué « Non ! Sens Commun ne tend pas la main au Front national. » Fermez le ban.
En juin, le nouveau Président français Emmanuel Macron accusait carrément l’ex-Europe de l’Est de traiter l’Union europé
Histoire d’apprendre à mettre son lit et ses idées au carré, dirons-nous. Cela ne ferait pas de mal à certains.
Julien Aubert, candidat à la présidence des Républicains répond au micro de Boulevard Voltaire.
Ne pas avoir changé de métier à sa sortie de prison pour tenter de devenir un anonyme, est-ce dû à une accoutumance à la drogue « succès » ?
Son souvenir ne peut se distinguer de ses films ni de ses confidences.
C’est moi, ou ce pays devient doucettement un asile de fous ?
L’accueil de réfugiés doit être limité en chiffre net à 200.000 individus par an.