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Stéphane Bern, OBE, s’extasiera sur la capacité de la monarchie britannique à épouser – le mot est de circonstance – notre époque.
Balancer publiquement – et souvent anonymement – répond effectivement plus volontiers à une pulsion vengeresse.

La classe.

Un joli prix de consolation qui vient à point nommé après les mauvaises notes – pour ne pas dire le bonnet d’âne – obtenues sur la scène internationale…

En d’autres termes, the show must go on…
L’article 1 de la Constitution pourrait devenir : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et romantique ».

Il est vrai que de ces deux côtés de l’Atlantique, le culte des victimes a peu à peu supplanté celui des héros.

Finalement, il y a de la tendresse dans toute cette nostalgie.

Il n’y a pas en Occident deux nations aussi proches à tout point de vue que la France et l’Angleterre.
Jouer dans une ville dirigée par le Front National ? Jamais ! Ah ça jamais ! Main sur le cœur, ils nous le disent… Plutôt mourir !
Quoi de moins dans l’air du temps que ce nouveau-né ? Quoi de plus désuet que l’importance accordée à sa filiation ?
En voilà une idée qui fleure bon son cosmopolitisme. Un jour à Paris, le lendemain à Barcelone.
Rire à gorge déployée devant la énième réédition des sketches et citations de Pierre Desproges, pour ensuite se féliciter de l’éviction d’un autre humoriste…
Il n’a pas baigné dans une société de bisounours. Il a vécu à une époque où, pour s’élever au dessus de sa condition, on se levait tôt et on retroussait ses manches sans rien quémander à personne.
Son public lui est toujours demeuré fidèle. Pas rancunier, ce public…
Pourquoi ne pas héberger des migrants dans ce fameux château de Bity en Corrèze, toujours propriété de l’ancien président, sauf erreur de notre part ?
Nous connaissons tous l’expression populaire qui préconise de laver son linge sale en famille…
Ils se rassemblent ainsi chaque 9 du mois en l’église de la Madeleine, à Paris, pour une messe à la mémoire du chanteur.
Qu’on l’aime ou pas, Arielle l’extravagante a du cran.
La reine Letizia n’a peut-être pas tout compris ce qu’est la monarchie.
À rebours de la concurrence, le vieux bandit possédait un atout de taille dans sa manche : l’amour du beau français,
M. Macron est président de la République, et il devrait voir qu’en ce printemps 2018, le climat est à l’orage.
L’islamisme, que les signataires de la pétition distinguent naïvement de l’islam, n’est que l’arbre qui cache la forêt d’une religion conquérante.
L’université de Paris 8 prend depuis, des semaines, des allures de camp retranché aux portes de Paris.
Il n’est qu’un pathétique donneur de leçons avide de scène, un bien-pensant mal-agissant, issu de la pléthorique Armada du show-biz.

L’ancien compagnon de Marie Trintignant, qu’il a frappée mortellement un jour de 2003, suscite chez beaucoup un malaise.
Au fond, il n’y rien de plus simple que la politique étrangère : ici les bons, là les méchants. Suffit de se tenir à jour.
En l’espace de deux questions, elle a fait montre de ce défaut absolu d’intelligence de situation qui caractérise le journalisme contemporain.

Stéphane Bern, OBE, s’extasiera sur la capacité de la monarchie britannique à épouser – le mot est de circonstance – notre époque.
Balancer publiquement – et souvent anonymement – répond effectivement plus volontiers à une pulsion vengeresse.

La classe.

Un joli prix de consolation qui vient à point nommé après les mauvaises notes – pour ne pas dire le bonnet d’âne – obtenues sur la scène internationale…

En d’autres termes, the show must go on…
L’article 1 de la Constitution pourrait devenir : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et romantique ».

Il est vrai que de ces deux côtés de l’Atlantique, le culte des victimes a peu à peu supplanté celui des héros.

Finalement, il y a de la tendresse dans toute cette nostalgie.

Il n’y a pas en Occident deux nations aussi proches à tout point de vue que la France et l’Angleterre.
Jouer dans une ville dirigée par le Front National ? Jamais ! Ah ça jamais ! Main sur le cœur, ils nous le disent… Plutôt mourir !
Quoi de moins dans l’air du temps que ce nouveau-né ? Quoi de plus désuet que l’importance accordée à sa filiation ?
En voilà une idée qui fleure bon son cosmopolitisme. Un jour à Paris, le lendemain à Barcelone.
Rire à gorge déployée devant la énième réédition des sketches et citations de Pierre Desproges, pour ensuite se féliciter de l’éviction d’un autre humoriste…
Il n’a pas baigné dans une société de bisounours. Il a vécu à une époque où, pour s’élever au dessus de sa condition, on se levait tôt et on retroussait ses manches sans rien quémander à personne.
Son public lui est toujours demeuré fidèle. Pas rancunier, ce public…
Pourquoi ne pas héberger des migrants dans ce fameux château de Bity en Corrèze, toujours propriété de l’ancien président, sauf erreur de notre part ?
Nous connaissons tous l’expression populaire qui préconise de laver son linge sale en famille…
Ils se rassemblent ainsi chaque 9 du mois en l’église de la Madeleine, à Paris, pour une messe à la mémoire du chanteur.
Qu’on l’aime ou pas, Arielle l’extravagante a du cran.
La reine Letizia n’a peut-être pas tout compris ce qu’est la monarchie.
À rebours de la concurrence, le vieux bandit possédait un atout de taille dans sa manche : l’amour du beau français,
M. Macron est président de la République, et il devrait voir qu’en ce printemps 2018, le climat est à l’orage.
L’islamisme, que les signataires de la pétition distinguent naïvement de l’islam, n’est que l’arbre qui cache la forêt d’une religion conquérante.
L’université de Paris 8 prend depuis, des semaines, des allures de camp retranché aux portes de Paris.
Il n’est qu’un pathétique donneur de leçons avide de scène, un bien-pensant mal-agissant, issu de la pléthorique Armada du show-biz.

L’ancien compagnon de Marie Trintignant, qu’il a frappée mortellement un jour de 2003, suscite chez beaucoup un malaise.
Au fond, il n’y rien de plus simple que la politique étrangère : ici les bons, là les méchants. Suffit de se tenir à jour.
En l’espace de deux questions, elle a fait montre de ce défaut absolu d’intelligence de situation qui caractérise le journalisme contemporain.
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