Politique
Tout est possible, dans ce petit pays déjà éprouvé, tant sont ardentes les braises intercommunautaires sur lesquelles continuent de souffler des influences étrangères.
« Pourquoi vouliez-vous venir ici ? » demande un journaliste. « Parce que cette librairie, elle a pas fermé. » Le tout prononcé sans filet.
Il y a un débat dans le débat : qui seront les deux journalistes finalistes (un homme, une femme – parité oblige) appelés à animer ce combat de titans sans merci ?
Pour l’avocat, certains sont tellement biberonnés à la cause palestinienne qu’ils en perdent toute capacité d’objectivité.
La gauche hors Fabien Roussel, en ne faisant même pas le voyage à Besançon, peine à masquer le désintérêt profond qu’elle éprouve pour nos agriculteurs.
Marlène Schiappa n’est d’ailleurs pas la seule, au gouvernement, à publier des livres. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire ayant publié, pour sa part, quatre ouvrages depuis le début du quinquennat Macron.
Menu détail : au siècle dernier, c’était la gauche qui entonnait « La Marseillaise » avant de faire de même de « L’Internationale », tandis que la droite légitimiste d’alors avait plutôt tendance à chanter « La Royale ».
En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
Une grande recomposition géopolitique, en marche depuis quelque temps, pourrait s’accélérer et laisser l’Amérique et ses valets plus solitaires que prévu.
Éric Zemmour a affirmé qu’il n’était pas le moins du monde fâché avec Marine Le Pen, martelant : « On n’est pas fâchés, on est concurrents, on est rivaux. »
L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Priver les Français de cette incursion quotidienne dans un monde de nigauds bien pensants laisserait le pays exsangue. Culturellement dévasté.
Sous réserve d’une évolution particulièrement sensible de l’opinion, il apparaît donc qu’Emmanuel Macron reste en tête des intentions de vote, bien devant Marine Le Pen suivie par Jean-Luc Mélenchon tandis qu’Éric Zemmour et Valérie Pécresse peinent à rester dans la course.
Elle pourrait atteindre le plus haut niveau jamais enregistré pour une élection présidentielle.
Ces gens-là, cette France qui se lève tôt pour vider les poubelles d’Alain Minc, n’ira sans doute pas voter.
Quoi qu’il arrive, le plus grand évènement de la campagne présidentielle 2022 marquera l’histoire de la droite.
On ne sait pas si celui d’Éric Zemmour conjurera le sort et l’emmènera au second tour. En revanche, on commence à se demander si ce Trocadéro n’est pas celui de la défaite annoncée de Valérie Pécresse.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
Le monde politique a trouvé : certains militants zemmouristes ont crié « Macron assassin ! » pendant le meeting. La scène a duré onze secondes.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.
Il faudra « ouvrir des filières où on a besoin. Et savoir en fermer là où on n’a pas de besoins ». Et, bien sûr, « il faudra faire cette réforme avec les professeurs ». La Palice en aurait dit autant !
Tout est fait pour nous dire que l’élection présidentielle est jouée, qu’Emmanuel Macron serait le futur monarque immuable de droit divin. Mais c’est sans compter la capacité de résilience de la droite.
Pour se défendre, le Président-candidat n’a pas hésité à enfoncer les portes ouvertes…
Ce 27 mars, le soleil brillait sur la foule et sur un candidat trop bonapartiste pour ne pas penser au soleil d’Austerlitz.
En s’engageant, si elle est élue, à se rendre dans la dernière demeure des rois et reines de France, Marine Le Pen reconnaît que l’Histoire de la France est un tout indissociable et veut réconcilier les Français entre eux et avec leur passé.
Profitez-en, Mesdames et Messieurs, il n’y en aura pas pour tout le monde…
Pour Pierre Brochand, l’immigration que connaît la France depuis plus d’un demi-siècle est « un événement hors catégorie, sans précédent dans notre Histoire »
Les Français vont-ils accepter, soumis, d’avoir été trompés, trahis, humiliés et de l’être à nouveau cinq ans de plus ?
Tout est possible, dans ce petit pays déjà éprouvé, tant sont ardentes les braises intercommunautaires sur lesquelles continuent de souffler des influences étrangères.
« Pourquoi vouliez-vous venir ici ? » demande un journaliste. « Parce que cette librairie, elle a pas fermé. » Le tout prononcé sans filet.
Il y a un débat dans le débat : qui seront les deux journalistes finalistes (un homme, une femme – parité oblige) appelés à animer ce combat de titans sans merci ?
Pour l’avocat, certains sont tellement biberonnés à la cause palestinienne qu’ils en perdent toute capacité d’objectivité.
La gauche hors Fabien Roussel, en ne faisant même pas le voyage à Besançon, peine à masquer le désintérêt profond qu’elle éprouve pour nos agriculteurs.
Marlène Schiappa n’est d’ailleurs pas la seule, au gouvernement, à publier des livres. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire ayant publié, pour sa part, quatre ouvrages depuis le début du quinquennat Macron.
Menu détail : au siècle dernier, c’était la gauche qui entonnait « La Marseillaise » avant de faire de même de « L’Internationale », tandis que la droite légitimiste d’alors avait plutôt tendance à chanter « La Royale ».
En cette fin de campagne présidentielle, la droite revient à ses fondamentaux et tente de marquer l’opinion sur l’islamisme et le communautarisme.
Une grande recomposition géopolitique, en marche depuis quelque temps, pourrait s’accélérer et laisser l’Amérique et ses valets plus solitaires que prévu.
Éric Zemmour a affirmé qu’il n’était pas le moins du monde fâché avec Marine Le Pen, martelant : « On n’est pas fâchés, on est concurrents, on est rivaux. »
L’état-major de Marine Le Pen se sent pousser des ailes : il considère l’accès au deuxième tour comme acquis et travaille désormais sur l’entre-deux-tours. Dans le viseur, la revanche de 2017.
Priver les Français de cette incursion quotidienne dans un monde de nigauds bien pensants laisserait le pays exsangue. Culturellement dévasté.
Sous réserve d’une évolution particulièrement sensible de l’opinion, il apparaît donc qu’Emmanuel Macron reste en tête des intentions de vote, bien devant Marine Le Pen suivie par Jean-Luc Mélenchon tandis qu’Éric Zemmour et Valérie Pécresse peinent à rester dans la course.
Elle pourrait atteindre le plus haut niveau jamais enregistré pour une élection présidentielle.
Ces gens-là, cette France qui se lève tôt pour vider les poubelles d’Alain Minc, n’ira sans doute pas voter.
Quoi qu’il arrive, le plus grand évènement de la campagne présidentielle 2022 marquera l’histoire de la droite.
On ne sait pas si celui d’Éric Zemmour conjurera le sort et l’emmènera au second tour. En revanche, on commence à se demander si ce Trocadéro n’est pas celui de la défaite annoncée de Valérie Pécresse.
Les propos hasardeux du président américain ont des conséquences en Europe – continent sur lequel se déroule le conflit armé -, ils perturbent la stratégie des Européens qui maintiennent coûte que coûte le dialogue avec Vladimir Poutine.
Le monde politique a trouvé : certains militants zemmouristes ont crié « Macron assassin ! » pendant le meeting. La scène a duré onze secondes.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.
Il faudra « ouvrir des filières où on a besoin. Et savoir en fermer là où on n’a pas de besoins ». Et, bien sûr, « il faudra faire cette réforme avec les professeurs ». La Palice en aurait dit autant !
Tout est fait pour nous dire que l’élection présidentielle est jouée, qu’Emmanuel Macron serait le futur monarque immuable de droit divin. Mais c’est sans compter la capacité de résilience de la droite.
Pour se défendre, le Président-candidat n’a pas hésité à enfoncer les portes ouvertes…
Ce 27 mars, le soleil brillait sur la foule et sur un candidat trop bonapartiste pour ne pas penser au soleil d’Austerlitz.
En s’engageant, si elle est élue, à se rendre dans la dernière demeure des rois et reines de France, Marine Le Pen reconnaît que l’Histoire de la France est un tout indissociable et veut réconcilier les Français entre eux et avec leur passé.
Profitez-en, Mesdames et Messieurs, il n’y en aura pas pour tout le monde…
Pour Pierre Brochand, l’immigration que connaît la France depuis plus d’un demi-siècle est « un événement hors catégorie, sans précédent dans notre Histoire »
Les Français vont-ils accepter, soumis, d’avoir été trompés, trahis, humiliés et de l’être à nouveau cinq ans de plus ?