Politique
Le célèbre Aurélien Taché pose la question qui le turlupine depuis sa plus tendre enfance. L’un fait « ding-dong », l’autre « Allahu akbar ». Les deux sont bruyants.
Emmanuel Macron, qui n’entend pas débattre avec les autres candidats à la présidentielle, répondra-t-il aux questions soulevées lors des différentes affaires qui ont marqué son quinquennat ?
« Je ne sais s’il est trop tard, mais il est bien tard. » Terrifiante conclusion de Jean-Frédéric Poisson.
Car enfin, tout le montre et le démontre : Emmanuel Macron nous épargne l’Apocalypse à chaque jour qui passe.
S’il ne soutient pas aujourd’hui avec force la candidature de Valérie Pécresse – et c’est un euphémisme -, c’est sans doute qu’il la juge sévèrement.
Le fameux « en même temps » qui lui permet de séduire tout le monde avant de ne satisfaire personne.
Le candidat à la présidentielle a salué le bilan local du jeune maire : un « laboratoire de l’union des droites », pour Zemmour. Reportage sur place.
Jean Castex aurait eu besoin d’une nuit entière pour dévoiler les divers plans d’aides mis en place pour les secteurs de la pêche, du BTP, de l’agriculture, des transports, sans oublier les professions fortement utilisatrices de véhicules à moteur telles les aides à domicile…
Toutes les mesures collectives (confinements ou vaccinations massives) prises dans le monde n’ont pas réussi à enrayer la progression de l’épidémie.
Pauvres confrères qui, après avoir chanté les louanges du nationalisme ukrainien, découvrent aujourd’hui que le nationalisme russe n’est pas que peau de balle et balai de crin et qu’il est possible de critiquer la politique étrangère de sa propre patrie tout en y demeurant indéfectiblement attaché.
Bref, ont décidé les Nations unies, l’islamophobie est le mal du siècle. Un des défis majeurs de notre millénaire.
Tout cela va-t-il vraiment impressionner le peuple qui a subi le communisme, la guerre contre l’Allemagne nazie et les 1.800 % d’inflation de 1992 ? Et pour nous, quel sera le prix à payer ?
Cette décision était évidemment dure à prendre. J’ai toujours milité au RPR depuis l’âge de 18 ans.
Reste qu’il y a « les valeurs » de la France et l’avis des Français, lesquels, de toute évidence, préfèrent accueillir chez eux des Ukrainiens plutôt que des Afghans.
Lorsque l’on achète la paix, on se met en position de la payer de plus en plus cher, comme à Munich.
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Mais, après les avoir ignorés, le gouvernement leur fait une promesse de Gascon.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé, le 12 janvier, avoir fait fermer une mosquée à Cannes (Alpes-Maritimes) en raison de « propos haineux envers la France »…
« Nous ne sommes plus en démocratie, ce sont les médias qui choisissent ceux qui ont le droit de parler »
Ni personnage providentiel, ni chef de guerre, ni même chef d’État digne de ce nom, Macron a tout simplement, par son absence de vision, d’ambition et d’envergure, conduit la France dans une impasse.
Tous ceux qui ont fait leur service militaire ou qui servent encore dans les forces armées ont croisé, un jour ou l’autre, un jeune soldat comme Macron…
Comment enrayer une mauvaise tendance qui paraît inéluctable ?
On essaie de nous faire croire que cette guerre est un conflit existentiel entre la lumière et l’obscurité, entre la démocratie et la dictature, alors qu’elle n’est que l’héritière des conflits du siècle passé, qu’un énième épisode dans cette grande saga qui dure depuis cent ans et qu’un prétexte pour conserver ce qui est vraiment en jeu : la suprématie américaine.
« J’ai décidé de soutenir Éric Zemmour et j’appelle les militants et les élus LR à faire de même », déclare le sénateur LR Sébastien
De l’Olympe est venue l’annonce de la réévaluation du point de l’indice de rémunération des fonctions publiques !
Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.
Il ne faut jamais insulter le passé, le présent et l’avenir.
Chez les Corses, bougies et Bisounours n’ont pas vraiment cours.
Le célèbre Aurélien Taché pose la question qui le turlupine depuis sa plus tendre enfance. L’un fait « ding-dong », l’autre « Allahu akbar ». Les deux sont bruyants.
Emmanuel Macron, qui n’entend pas débattre avec les autres candidats à la présidentielle, répondra-t-il aux questions soulevées lors des différentes affaires qui ont marqué son quinquennat ?
« Je ne sais s’il est trop tard, mais il est bien tard. » Terrifiante conclusion de Jean-Frédéric Poisson.
Car enfin, tout le montre et le démontre : Emmanuel Macron nous épargne l’Apocalypse à chaque jour qui passe.
S’il ne soutient pas aujourd’hui avec force la candidature de Valérie Pécresse – et c’est un euphémisme -, c’est sans doute qu’il la juge sévèrement.
Le fameux « en même temps » qui lui permet de séduire tout le monde avant de ne satisfaire personne.
Le candidat à la présidentielle a salué le bilan local du jeune maire : un « laboratoire de l’union des droites », pour Zemmour. Reportage sur place.
Jean Castex aurait eu besoin d’une nuit entière pour dévoiler les divers plans d’aides mis en place pour les secteurs de la pêche, du BTP, de l’agriculture, des transports, sans oublier les professions fortement utilisatrices de véhicules à moteur telles les aides à domicile…
Toutes les mesures collectives (confinements ou vaccinations massives) prises dans le monde n’ont pas réussi à enrayer la progression de l’épidémie.
Pauvres confrères qui, après avoir chanté les louanges du nationalisme ukrainien, découvrent aujourd’hui que le nationalisme russe n’est pas que peau de balle et balai de crin et qu’il est possible de critiquer la politique étrangère de sa propre patrie tout en y demeurant indéfectiblement attaché.
Bref, ont décidé les Nations unies, l’islamophobie est le mal du siècle. Un des défis majeurs de notre millénaire.
Tout cela va-t-il vraiment impressionner le peuple qui a subi le communisme, la guerre contre l’Allemagne nazie et les 1.800 % d’inflation de 1992 ? Et pour nous, quel sera le prix à payer ?
Cette décision était évidemment dure à prendre. J’ai toujours milité au RPR depuis l’âge de 18 ans.
Reste qu’il y a « les valeurs » de la France et l’avis des Français, lesquels, de toute évidence, préfèrent accueillir chez eux des Ukrainiens plutôt que des Afghans.
Lorsque l’on achète la paix, on se met en position de la payer de plus en plus cher, comme à Munich.
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Mais, après les avoir ignorés, le gouvernement leur fait une promesse de Gascon.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé, le 12 janvier, avoir fait fermer une mosquée à Cannes (Alpes-Maritimes) en raison de « propos haineux envers la France »…
« Nous ne sommes plus en démocratie, ce sont les médias qui choisissent ceux qui ont le droit de parler »
Ni personnage providentiel, ni chef de guerre, ni même chef d’État digne de ce nom, Macron a tout simplement, par son absence de vision, d’ambition et d’envergure, conduit la France dans une impasse.
Tous ceux qui ont fait leur service militaire ou qui servent encore dans les forces armées ont croisé, un jour ou l’autre, un jeune soldat comme Macron…
Comment enrayer une mauvaise tendance qui paraît inéluctable ?
On essaie de nous faire croire que cette guerre est un conflit existentiel entre la lumière et l’obscurité, entre la démocratie et la dictature, alors qu’elle n’est que l’héritière des conflits du siècle passé, qu’un énième épisode dans cette grande saga qui dure depuis cent ans et qu’un prétexte pour conserver ce qui est vraiment en jeu : la suprématie américaine.
« J’ai décidé de soutenir Éric Zemmour et j’appelle les militants et les élus LR à faire de même », déclare le sénateur LR Sébastien
De l’Olympe est venue l’annonce de la réévaluation du point de l’indice de rémunération des fonctions publiques !
Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.
Il ne faut jamais insulter le passé, le présent et l’avenir.
Chez les Corses, bougies et Bisounours n’ont pas vraiment cours.