Politique
À la fin de la conversation, le Président aurait relancé l’éditorialiste sur le sujet, lui rappelant : « Au fait, votre plan, faites moi une note […] mon secrétariat vous contactera ». Mais Éric Zemmour ne s’est pas exécuté.
Dans un communiqué daté du 8 septembre, le CSA demande aux médias audiovisuels de « décompter, à partir du 9 septembre, les interventions de M. Éric Zemmour portant sur le débat politique national ».
Au cœur de cette remontée de bretelles en bonne et due forme, la réforme des retraites.
Quoi qu’il en soit, Zemmour a déjà réussi son pari : avant même d’entrer en campagne, il contraint les nains qui occupent l’espace politique à parler des vrais sujets.
C’est ainsi qu’un régime corrompu est tombé à son tour comme un fruit pourri
Cette élection législative marque un dur revers pour les islamistes, d’autant plus que ces résultats étaient tout à fait inattendus.
On a envie de demander : où est la tradition ?
Dire que c’est la télé-poubelle qui donne aujourd’hui des leçons de savoir-vivre. Poubelle la vie ?
Ces réfugiés ont eu, c’est évident, de bonnes raisons de fuir les talibans. Est-ce, pour autant, une raison de les accueillir en Occident, loin de leur pays, de leurs racines et de leur civilisation ?
Mais les zones de non-droit à Marseille sont un peu comme le physique ingrat de Thérèse : les réfuter, c’est déjà, en creux, les reconnaître.
Un hommage dans un lieu culturel lui aurait certainement plu davantage. Comme tous les grands artistes, c’est son talent qui le rend immortel.
Yannick Jadot a prévenu la presse : « Elle se prépare pour le décès de Fernandel. »
Le colonel Doumbouya, un drapeau guinéen sur les épaules, a délivré un message surréaliste dans lequel il résume l’esprit national en ces termes : « On n’a plus besoin de violer la Guinée, on a juste besoin de lui faire l’amour. »
Bien que la pratique du lancer de Schiappa sur Zemmour soit désormais prohibée sur l’ensemble du territoire, Sonia Mabrouk s’est honteusement livrée à cette activité, dimanche…
Tandis que s’ouvre mercredi 8 septembre, le procès hors-normes (1.700 parties civiles et 300 avocats attendus) des attentats du 13 novembre 2015 qui avait endeuillé
Emmanuel Macron, futur héros d’une série télévisée intitulée « Macron, Président des jeunes », le tout aux couleurs de Netflix.
Elles émanent aussi bien de particuliers que de collectifs de victimes, d’associations ou de syndicats et visent à peu près tous les ministères, depuis le Premier ministre jusqu’au ministre de l’Education en passant évidemment par la Santé.
Or, tout le problème est là : une société où chacun ne pense plus qu’à persévérer dans son existence aura du mal à produire des héros.
Après tout, pourquoi pas, mais pour quoi faire ?
Comme il le disait récemment au sujet des opposants au passe sanitaire : « La liberté ne se conjugue pas au singulier. » Plus de liberté individuelle, donc, mais une grande marche forcée destinée à permettre le bien de tous.
Ciotti a précisé qu’en cas de duel Macron-Le Pen, il s’abstiendrait (comme en 2017). Pas assez d’extrême droite, trop à gauche, peut-être, Marine Le Pen ?
Face aux partis traditionnels engoncés dans la logique centriste qui domine la politique américaine depuis le début des années 1950, Wallace dispose d’une fenêtre d’opportunité et entend dépasser le clivage bipartisan.
Le champion toutes catégories était Fillon, avec 3.635, ce qui – on connaît la suite – ne lui servit à rien ! Aucun autre n’avait atteint un tel niveau.
C’est ce 4 septembre qu’Arnaud Montebourg – qui y pensait en se rasant sans doute à s’écorcher depuis son éviction du gouvernement en 2014 – a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle de 2022…
La réponse est simple et connue de tous : être réélu en 2022. Et pour cela, quoi de mieux qu’une victoire contre le Covid-19 ?
Dans un sens, il faut se réjouir des mauvais choix du Parti socialiste car, au moins, on est sûr de ne pas avoir cette gauche-là au pouvoir.
C’est tout de même plus beau – et plus juste – que les « gens infréquentables » de Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT…
Pendant ce temps, Jean-Marie Le Pen est jugé pour un mot prononcé sur le site du Front national… le 6 juin 2014.
À la fin de la conversation, le Président aurait relancé l’éditorialiste sur le sujet, lui rappelant : « Au fait, votre plan, faites moi une note […] mon secrétariat vous contactera ». Mais Éric Zemmour ne s’est pas exécuté.
Dans un communiqué daté du 8 septembre, le CSA demande aux médias audiovisuels de « décompter, à partir du 9 septembre, les interventions de M. Éric Zemmour portant sur le débat politique national ».
Au cœur de cette remontée de bretelles en bonne et due forme, la réforme des retraites.
Quoi qu’il en soit, Zemmour a déjà réussi son pari : avant même d’entrer en campagne, il contraint les nains qui occupent l’espace politique à parler des vrais sujets.
C’est ainsi qu’un régime corrompu est tombé à son tour comme un fruit pourri
Cette élection législative marque un dur revers pour les islamistes, d’autant plus que ces résultats étaient tout à fait inattendus.
On a envie de demander : où est la tradition ?
Dire que c’est la télé-poubelle qui donne aujourd’hui des leçons de savoir-vivre. Poubelle la vie ?
Ces réfugiés ont eu, c’est évident, de bonnes raisons de fuir les talibans. Est-ce, pour autant, une raison de les accueillir en Occident, loin de leur pays, de leurs racines et de leur civilisation ?
Mais les zones de non-droit à Marseille sont un peu comme le physique ingrat de Thérèse : les réfuter, c’est déjà, en creux, les reconnaître.
Un hommage dans un lieu culturel lui aurait certainement plu davantage. Comme tous les grands artistes, c’est son talent qui le rend immortel.
Yannick Jadot a prévenu la presse : « Elle se prépare pour le décès de Fernandel. »
Le colonel Doumbouya, un drapeau guinéen sur les épaules, a délivré un message surréaliste dans lequel il résume l’esprit national en ces termes : « On n’a plus besoin de violer la Guinée, on a juste besoin de lui faire l’amour. »
Bien que la pratique du lancer de Schiappa sur Zemmour soit désormais prohibée sur l’ensemble du territoire, Sonia Mabrouk s’est honteusement livrée à cette activité, dimanche…
Tandis que s’ouvre mercredi 8 septembre, le procès hors-normes (1.700 parties civiles et 300 avocats attendus) des attentats du 13 novembre 2015 qui avait endeuillé
Emmanuel Macron, futur héros d’une série télévisée intitulée « Macron, Président des jeunes », le tout aux couleurs de Netflix.
Elles émanent aussi bien de particuliers que de collectifs de victimes, d’associations ou de syndicats et visent à peu près tous les ministères, depuis le Premier ministre jusqu’au ministre de l’Education en passant évidemment par la Santé.
Or, tout le problème est là : une société où chacun ne pense plus qu’à persévérer dans son existence aura du mal à produire des héros.
Après tout, pourquoi pas, mais pour quoi faire ?
Comme il le disait récemment au sujet des opposants au passe sanitaire : « La liberté ne se conjugue pas au singulier. » Plus de liberté individuelle, donc, mais une grande marche forcée destinée à permettre le bien de tous.
Ciotti a précisé qu’en cas de duel Macron-Le Pen, il s’abstiendrait (comme en 2017). Pas assez d’extrême droite, trop à gauche, peut-être, Marine Le Pen ?
Face aux partis traditionnels engoncés dans la logique centriste qui domine la politique américaine depuis le début des années 1950, Wallace dispose d’une fenêtre d’opportunité et entend dépasser le clivage bipartisan.
Le champion toutes catégories était Fillon, avec 3.635, ce qui – on connaît la suite – ne lui servit à rien ! Aucun autre n’avait atteint un tel niveau.
C’est ce 4 septembre qu’Arnaud Montebourg – qui y pensait en se rasant sans doute à s’écorcher depuis son éviction du gouvernement en 2014 – a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle de 2022…
La réponse est simple et connue de tous : être réélu en 2022. Et pour cela, quoi de mieux qu’une victoire contre le Covid-19 ?
Dans un sens, il faut se réjouir des mauvais choix du Parti socialiste car, au moins, on est sûr de ne pas avoir cette gauche-là au pouvoir.
C’est tout de même plus beau – et plus juste – que les « gens infréquentables » de Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT…
Pendant ce temps, Jean-Marie Le Pen est jugé pour un mot prononcé sur le site du Front national… le 6 juin 2014.