Politique
Gérald Darmanin aurait-il l’ambition de devenir le premier homme de l’État ?
On n’a quand même pas l’idée de recommander aux maires des noms en fonction de l’origine de leurs administrés ?
Certaines banlieues sont perdues pour la République parce que le pouvoir a accepté qu’elles ne soient plus culturellement françaises.
Ce projet de loi ne règle pas les problématiques que chacun observe dans sa vie de tous les jours, comme le port du voile islamique et autres attributs, rejetés par une très grosse majorité des Français…
N’ayant pas eu d’exégèse du verbe présidentiel, nous en sommes réduits à passer en revue toutes les hypothèses possibles…
Était-ce bien le moment de traiter ainsi les policiers ? De les désigner à la vindicte d’une extrême gauche qui a décidé d’en découdre, tous les samedis, et plus si nécessaire ?
Derrière ce charabia, que faut-il comprendre ? Que le grand-oncle fellagha, qui fut un « héros » de l’indépendance algérienne, soit un jour reconnu par la République française avec sa statue au milieu du quartier ?
Sacré paradoxe, tout de même, que l’armée soit la solution à tous les problèmes, y compris pour les ténors de la gauche radicale.
À ce jeu de slalom, les marges de manœuvre se resserrent de plus en plus.
Il risque fort de n’avoir avec lui, pour dénominateur commun, que le non-renouvellement de son bail.
Aucun gouvernement ne peut perdurer dans ces conditions, la crise politique évolue vers une crise de régime.
Le parti de Nicolas Dupont-Aignan connaît une crise profonde. Une soixantaine de cadres de Debout la France ont quitté le mouvement depuis la démission du
Jean-Marie Le Pen réagit à l’annonce de la mort, à 94 ans, de Valéry Giscard d’Estaing, président de la République de 1974 à 1981. Au
L’ancien porte-parole de Debout la France, Jean-Philippe Tanguy, a quitté le parti de Nicolas Dupont-Aignan pour rejoindre le Rassemblement national. Plus de 60 cadres ont
En matière de lutte contre l’islamisme, quelque chose serait-il en train de bouger ? On aimerait le croire.
Réformiste, moderne, libéral, européen, brillant, visionnaire… les superlatifs pleuvent : dans une unanimité confondante, médias et hommes politiques rendent, aujourd’hui, un hommage appuyé à Valéry
Son mandat présente déjà tous les symptômes de la gouvernance suicidaire que subit la France depuis 1974.
À Ompundja, dans le nord de la Namibie, les électeurs ont voté pour Adolf Hitler, du parti SWAPO, avec 84,88 %, aux élections régionales locales.
Que retenir du septennat de VGE ? Giscard laissant Chirac décider par simple décret le regroupement familial ?
Le monde a changé. La Russie existe à nouveau et la Chine menace la suprématie économique américaine. L’Europe pourrait émerger dans ce contexte, mais elle a choisi la paralysie, la lâcheté et la subversion migratoire, la condamnant au néant.
Le discours d’Emmanuel Macron, le 24 novembre dernier, restera, dans l’analyse critique des annales politiques, un cas d’école d’ambiguïté…
Joe Biden, empêtré par la présence tutélaire de Kamara Harris, sa pétulante vice-présidente, par ailleurs très occupée par les luttes sociétales qui doivent faire rire toutes les capitales mondiales, sera-t-il à la hauteur des enjeux à venir ?
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
Et en sus, l’annonce est faite par Christophe Castaner qui fut le ministre de l’Intérieur que l’on sait.
Dans cet attelage islamo-gauchiste, qui, des tenants du quinoa ou de la charia, tient l’autre ?
Nous sommes en l’an de grâce 2020 : pas d’État, pas de nation, pas de sécurité ni de droits ; leur nouveau monde ressemble à un Moyen âge d’Apocalypse, sans Dieu ni roi, mais avec la 5G, les points-presse à la télé, les pièces justificatives et les transports en commun…
À force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que, dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux.
Dieu merci, sommes-nous tenté d’écrire, le bon sens n’a pas complètement abandonné la France !
Gérald Darmanin aurait-il l’ambition de devenir le premier homme de l’État ?
On n’a quand même pas l’idée de recommander aux maires des noms en fonction de l’origine de leurs administrés ?
Certaines banlieues sont perdues pour la République parce que le pouvoir a accepté qu’elles ne soient plus culturellement françaises.
Ce projet de loi ne règle pas les problématiques que chacun observe dans sa vie de tous les jours, comme le port du voile islamique et autres attributs, rejetés par une très grosse majorité des Français…
N’ayant pas eu d’exégèse du verbe présidentiel, nous en sommes réduits à passer en revue toutes les hypothèses possibles…
Était-ce bien le moment de traiter ainsi les policiers ? De les désigner à la vindicte d’une extrême gauche qui a décidé d’en découdre, tous les samedis, et plus si nécessaire ?
Derrière ce charabia, que faut-il comprendre ? Que le grand-oncle fellagha, qui fut un « héros » de l’indépendance algérienne, soit un jour reconnu par la République française avec sa statue au milieu du quartier ?
Sacré paradoxe, tout de même, que l’armée soit la solution à tous les problèmes, y compris pour les ténors de la gauche radicale.
À ce jeu de slalom, les marges de manœuvre se resserrent de plus en plus.
Il risque fort de n’avoir avec lui, pour dénominateur commun, que le non-renouvellement de son bail.
Aucun gouvernement ne peut perdurer dans ces conditions, la crise politique évolue vers une crise de régime.
Le parti de Nicolas Dupont-Aignan connaît une crise profonde. Une soixantaine de cadres de Debout la France ont quitté le mouvement depuis la démission du
Jean-Marie Le Pen réagit à l’annonce de la mort, à 94 ans, de Valéry Giscard d’Estaing, président de la République de 1974 à 1981. Au
L’ancien porte-parole de Debout la France, Jean-Philippe Tanguy, a quitté le parti de Nicolas Dupont-Aignan pour rejoindre le Rassemblement national. Plus de 60 cadres ont
En matière de lutte contre l’islamisme, quelque chose serait-il en train de bouger ? On aimerait le croire.
Réformiste, moderne, libéral, européen, brillant, visionnaire… les superlatifs pleuvent : dans une unanimité confondante, médias et hommes politiques rendent, aujourd’hui, un hommage appuyé à Valéry
Son mandat présente déjà tous les symptômes de la gouvernance suicidaire que subit la France depuis 1974.
À Ompundja, dans le nord de la Namibie, les électeurs ont voté pour Adolf Hitler, du parti SWAPO, avec 84,88 %, aux élections régionales locales.
Que retenir du septennat de VGE ? Giscard laissant Chirac décider par simple décret le regroupement familial ?
Le monde a changé. La Russie existe à nouveau et la Chine menace la suprématie économique américaine. L’Europe pourrait émerger dans ce contexte, mais elle a choisi la paralysie, la lâcheté et la subversion migratoire, la condamnant au néant.
Le discours d’Emmanuel Macron, le 24 novembre dernier, restera, dans l’analyse critique des annales politiques, un cas d’école d’ambiguïté…
Joe Biden, empêtré par la présence tutélaire de Kamara Harris, sa pétulante vice-présidente, par ailleurs très occupée par les luttes sociétales qui doivent faire rire toutes les capitales mondiales, sera-t-il à la hauteur des enjeux à venir ?
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
Et en sus, l’annonce est faite par Christophe Castaner qui fut le ministre de l’Intérieur que l’on sait.
Dans cet attelage islamo-gauchiste, qui, des tenants du quinoa ou de la charia, tient l’autre ?
Nous sommes en l’an de grâce 2020 : pas d’État, pas de nation, pas de sécurité ni de droits ; leur nouveau monde ressemble à un Moyen âge d’Apocalypse, sans Dieu ni roi, mais avec la 5G, les points-presse à la télé, les pièces justificatives et les transports en commun…
À force de faire voter n’importe quoi par des députés inexpérimentés et dociles, l’exécutif oubliait que, dans une démocratie parlementaire, il revient en priorité aux parlementaires d’élaborer la loi, fût-ce à partir des projets gouvernementaux.
Dieu merci, sommes-nous tenté d’écrire, le bon sens n’a pas complètement abandonné la France !