Politique
Allez tenir ce discours si politiquement correct, Monsieur le secrétaire d’État, face aux familles de victimes de Nice dont l’assaillant venait d’être accueilli par la Croix-Rouge à Lampedusa.
Première victoire, donc : Jean-Luc Mélenchon a obtenu son « investiture populaire » (sic) en cinq jours. 150.000 signatures de « gens »…
Que veut cet homme qui parle d’égal à égal aux chefs d’État des pays les plus puissants du monde ?
Force, non pas à la loi, mais à la science. À la loi de la science.
Quels chiffres Covid-19 le gouvernement va-t-il sortir du chapeau pour justifier sa politique ?
Il faut croire que les vastes plaines de la Brie font moins de « vues » qu’une cité en flammes.
Les plus indulgents diront qu’Emmanuel Macron a pris conscience de la gravité de la situation…
Les conservateurs ont investi beaucoup d’argent dans des compétitions vouées à l’échec dans des zones bleues (démocrates) solides.
La démocratie ne peut s’accommoder des excès de surveillance lorsque ceux-ci débordent les besoins de l’ordre public, du respect de la loi et de la sécurité, lorsqu’ils empiètent sur les libertés personnelles fondamentales…
La question qui se pose est de savoir si le gouvernement, dans sa stratégie pour lutter contre la propagation du virus, ne bride pas son cheval par la queue…
Dominic Cummings n’a jamais été la tasse de thé des députés conservateurs, et la réciproque était vraie.
Se pourrait-il que la France soit lassée de son statut de mauvais élève à l’étranger ?
En tout cas, c’est là qu’on voit que nous avons un État fort et inflexible.
Jean-Luc Mélenchon cultive son image de virulent contestataire qui l’enferme dans son rôle d’assaillant politique incapable de gouverner.
Les Français seront au moins heureux d’apprendre que le premier d’entre eux se porte comme un charme, tant les motifs de contentement se font rares, ces temps derniers.
Avec ses Ray-Ban™ et sa Rolex™, sa femme mannequin et ses mauvaises manières, Sarko n’était pas fait pour la Ve République.
Ainsi, le chancelier Sebastian Kurz vient-il de dévoiler son plan en matière de lutte antiterroriste.
Le nouveau « sultan » a deux fers au feu : le rassemblement des Turcs jusqu’au cœur de l’Asie, d’où son intervention décisive auprès de l’Azerbaïdjan, et l’expansion islamiste…
Les faucons de guerre de l’OTAN, pourtant bien présents dans l’entourage de Trump, n’ont jamais aimé le président actuel, qui ne leur a pas donné une seule guerre pendant tout son mandat.
Le tueur islamiste n’a pas voulu tuer un républicain mais un Français « infidèle et blasphémateur ». Les islamistes se foutent complètement de la « République ».
La vice-présidente ne pouvait pas être élue à la régulière, il fallait trouver un moyen de hisser l’oriflamme « Harris » jusqu’au symbole présidentiel ; ce sera accompli, au moment opportun, avec le départ de Biden.
Les « remontées de terrain » auront sans doute réduit le ministre au repli tactique.
La probabilité est mince mais elle est réelle.
Aux États-Unis, la partie n’est pas terminée. Certains pays, comme la Chine ou le Mexique, n’ont pas encore acté l’élection de Joe Biden et des
Christophe Castaner, ou la difficulté d’exister. Du temps où il exerçait ses talents, Place Beauvau, il accrochait la lumière médiatique et on parlait de lui, pas
En fait, même déguisée, modernisée, même repeinte aux couleurs de l’arc-en-ciel, même éco-responsable, techno-durable et tout ce qu’on veut, la gauche travaille toujours avec les mêmes outils, pour le même patron.
Allez tenir ce discours si politiquement correct, Monsieur le secrétaire d’État, face aux familles de victimes de Nice dont l’assaillant venait d’être accueilli par la Croix-Rouge à Lampedusa.
Première victoire, donc : Jean-Luc Mélenchon a obtenu son « investiture populaire » (sic) en cinq jours. 150.000 signatures de « gens »…
Que veut cet homme qui parle d’égal à égal aux chefs d’État des pays les plus puissants du monde ?
Force, non pas à la loi, mais à la science. À la loi de la science.
Quels chiffres Covid-19 le gouvernement va-t-il sortir du chapeau pour justifier sa politique ?
Il faut croire que les vastes plaines de la Brie font moins de « vues » qu’une cité en flammes.
Les plus indulgents diront qu’Emmanuel Macron a pris conscience de la gravité de la situation…
Les conservateurs ont investi beaucoup d’argent dans des compétitions vouées à l’échec dans des zones bleues (démocrates) solides.
La démocratie ne peut s’accommoder des excès de surveillance lorsque ceux-ci débordent les besoins de l’ordre public, du respect de la loi et de la sécurité, lorsqu’ils empiètent sur les libertés personnelles fondamentales…
La question qui se pose est de savoir si le gouvernement, dans sa stratégie pour lutter contre la propagation du virus, ne bride pas son cheval par la queue…
Dominic Cummings n’a jamais été la tasse de thé des députés conservateurs, et la réciproque était vraie.
Se pourrait-il que la France soit lassée de son statut de mauvais élève à l’étranger ?
En tout cas, c’est là qu’on voit que nous avons un État fort et inflexible.
Jean-Luc Mélenchon cultive son image de virulent contestataire qui l’enferme dans son rôle d’assaillant politique incapable de gouverner.
Les Français seront au moins heureux d’apprendre que le premier d’entre eux se porte comme un charme, tant les motifs de contentement se font rares, ces temps derniers.
Avec ses Ray-Ban™ et sa Rolex™, sa femme mannequin et ses mauvaises manières, Sarko n’était pas fait pour la Ve République.
Ainsi, le chancelier Sebastian Kurz vient-il de dévoiler son plan en matière de lutte antiterroriste.
Le nouveau « sultan » a deux fers au feu : le rassemblement des Turcs jusqu’au cœur de l’Asie, d’où son intervention décisive auprès de l’Azerbaïdjan, et l’expansion islamiste…
Les faucons de guerre de l’OTAN, pourtant bien présents dans l’entourage de Trump, n’ont jamais aimé le président actuel, qui ne leur a pas donné une seule guerre pendant tout son mandat.
Le tueur islamiste n’a pas voulu tuer un républicain mais un Français « infidèle et blasphémateur ». Les islamistes se foutent complètement de la « République ».
La vice-présidente ne pouvait pas être élue à la régulière, il fallait trouver un moyen de hisser l’oriflamme « Harris » jusqu’au symbole présidentiel ; ce sera accompli, au moment opportun, avec le départ de Biden.
Les « remontées de terrain » auront sans doute réduit le ministre au repli tactique.
La probabilité est mince mais elle est réelle.
Aux États-Unis, la partie n’est pas terminée. Certains pays, comme la Chine ou le Mexique, n’ont pas encore acté l’élection de Joe Biden et des
Christophe Castaner, ou la difficulté d’exister. Du temps où il exerçait ses talents, Place Beauvau, il accrochait la lumière médiatique et on parlait de lui, pas
En fait, même déguisée, modernisée, même repeinte aux couleurs de l’arc-en-ciel, même éco-responsable, techno-durable et tout ce qu’on veut, la gauche travaille toujours avec les mêmes outils, pour le même patron.