Politique
Les Français en ont assez du spectacle que donne la politique, qui ne sert pas la démocratie.
Le vrai législateur n’est plus le Parlement mais les juges.
Que vaut le rempart de deux-trois barrières de sécurité posées devant pour stopper un djihadiste fanatisé ?
Depuis l’attentat contre Samuel Paty, le débat sur les caricatures est relancé et provoque des réactions contradictoires, en France et à l’étranger. Au micro de
Les insultes de Recep Tayyip Erdoğan à l’adresse d’Emmanuel Macron ne sont pas qu’une simple querelle entre deux chefs d’État, un dérapage incontrôlé.
Mélenchon dénonce dans tout cela « un procès politicien ». Il n’ose pas dire « stalinien ».
Ce nouvel assujetissement apparaîtrait comme un moyen légitime et indispensable pour casser les courbes épidémiques dites catastrophiques.
C’est facile à comprendre et il faudrait se le mettre une bonne fois dans la tête : tout ce qui déplaît aux pouvoirs en place et aux élites autoproclamées est populiste et démagogique.
Ce triptyque « charia-oumma-dhimmitude » est déjà, à lui tout seul, un véritable condensé de l’idéologie islamiste de conquête de la France et de l’Europe.
La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui, pour le coup, devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.
Quel que soit l’angle de vue, un seul mot surgit : insignifiance !
D’un côté, un fantasque président en exercice, venu s’amuser en politique, de l’autre, un politicien cacochyme grenouillant depuis cinquante ans dans les buildings du pouvoir américain…
Le cynisme est bien de la partie. Les Français accepteront-ils de se laisser duper ? N’ont-ils pas déjà assez payé ?
Par-dessus la foule des invités, comme sur une coupe glacée, le bon sirop de République vient tout édulcorer et parfumer…
La France, ce n’est pas seulement les fesses de Mahomet sur la couverture de Charlie Hebdo.
Pour autant, les mélenchonistes et autres indigénistes sont-ils les seuls responsables de cette dérive mortifère ? Rien n’est moins sûr…
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
Malgré une propagande médiatique inégalée, Trump garde d’autant plus de chances que son adversaire ne suscite aucun enthousiasme.
Pourquoi parle-t-il de la République ? Parce qu’il pense que la France, c’est le passé, et l’avenir, c’est l’Union européenne.
Ne manque plus qu’il guérisse les écrouelles, fasse don de sa personne à la France et le tableau sera complet.
Mais pourquoi n’est-il pas venu rendre visite à Bourdin en tenue folklorique ?
Il fallait donner, dans la direction de tous les points cardinaux, de vigoureux coups de menton pour que le peuple puisse continuer à subir. Parce que la République, elle est forte.
Aucun rayon de supermarché ne promeut de nourriture « chrétienne » estampillée par l’archevêché…
Après la décapitation de Samuel Paty, chers collègues, nous n’avons plus droit au « hors-sujet » !
Comme il ne faut surtout pas donner l’impression qu’on s’en prend qu’aux mêmes, donc, on s’invente un ennemi faisant le pendant du terrorisme islamiste.
Et voilà que l’utopie se brise crise après crise sur les digues du réel.
Alors que la loi de 1905 n’est pas aussi claire qu’on le croit souvent sur une définition de la laïcité, il est grand temps d’en affirmer constitutionnellement les contours.
Comment penser qu’ils sont vraiment sincères et qu’ils ne cherchent pas, d’abord, à sauver les meubles pour tenter d’échapper à la déconfiture ?
Les Français en ont assez du spectacle que donne la politique, qui ne sert pas la démocratie.
Le vrai législateur n’est plus le Parlement mais les juges.
Que vaut le rempart de deux-trois barrières de sécurité posées devant pour stopper un djihadiste fanatisé ?
Depuis l’attentat contre Samuel Paty, le débat sur les caricatures est relancé et provoque des réactions contradictoires, en France et à l’étranger. Au micro de
Les insultes de Recep Tayyip Erdoğan à l’adresse d’Emmanuel Macron ne sont pas qu’une simple querelle entre deux chefs d’État, un dérapage incontrôlé.
Mélenchon dénonce dans tout cela « un procès politicien ». Il n’ose pas dire « stalinien ».
Ce nouvel assujetissement apparaîtrait comme un moyen légitime et indispensable pour casser les courbes épidémiques dites catastrophiques.
C’est facile à comprendre et il faudrait se le mettre une bonne fois dans la tête : tout ce qui déplaît aux pouvoirs en place et aux élites autoproclamées est populiste et démagogique.
Ce triptyque « charia-oumma-dhimmitude » est déjà, à lui tout seul, un véritable condensé de l’idéologie islamiste de conquête de la France et de l’Europe.
La délation du rétif au confinement ou le regard assassin au distrait sans masque sont des signes troublants qui, pour le coup, devraient rappeler de mauvais souvenirs. Il est vrai que la notion même de couvre-feu y invite.
Quel que soit l’angle de vue, un seul mot surgit : insignifiance !
D’un côté, un fantasque président en exercice, venu s’amuser en politique, de l’autre, un politicien cacochyme grenouillant depuis cinquante ans dans les buildings du pouvoir américain…
Le cynisme est bien de la partie. Les Français accepteront-ils de se laisser duper ? N’ont-ils pas déjà assez payé ?
Par-dessus la foule des invités, comme sur une coupe glacée, le bon sirop de République vient tout édulcorer et parfumer…
La France, ce n’est pas seulement les fesses de Mahomet sur la couverture de Charlie Hebdo.
Pour autant, les mélenchonistes et autres indigénistes sont-ils les seuls responsables de cette dérive mortifère ? Rien n’est moins sûr…
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
Malgré une propagande médiatique inégalée, Trump garde d’autant plus de chances que son adversaire ne suscite aucun enthousiasme.
Pourquoi parle-t-il de la République ? Parce qu’il pense que la France, c’est le passé, et l’avenir, c’est l’Union européenne.
Ne manque plus qu’il guérisse les écrouelles, fasse don de sa personne à la France et le tableau sera complet.
Mais pourquoi n’est-il pas venu rendre visite à Bourdin en tenue folklorique ?
Il fallait donner, dans la direction de tous les points cardinaux, de vigoureux coups de menton pour que le peuple puisse continuer à subir. Parce que la République, elle est forte.
Aucun rayon de supermarché ne promeut de nourriture « chrétienne » estampillée par l’archevêché…
Après la décapitation de Samuel Paty, chers collègues, nous n’avons plus droit au « hors-sujet » !
Comme il ne faut surtout pas donner l’impression qu’on s’en prend qu’aux mêmes, donc, on s’invente un ennemi faisant le pendant du terrorisme islamiste.
Et voilà que l’utopie se brise crise après crise sur les digues du réel.
Alors que la loi de 1905 n’est pas aussi claire qu’on le croit souvent sur une définition de la laïcité, il est grand temps d’en affirmer constitutionnellement les contours.
Comment penser qu’ils sont vraiment sincères et qu’ils ne cherchent pas, d’abord, à sauver les meubles pour tenter d’échapper à la déconfiture ?