Politique
Mais si l’ego n’étouffe pas la raison, l’essentiel, conformément au bon sens, c’est la capacité à répondre à l’événement qui surgit sans prévenir, en prenant appui sur le peuple des citoyens.
Un autre paramètre, qui pourrait avoir son importance ? Emmanuel Macron a tout intérêt à ce qu’Édouard Philippe, soit élu au Havre rapidement, pour s’en débarrasser en douceur…
On ne parle pas, en Allemagne, de « couple franco-allemand ». Cette expression relève d’un fantasme devenue une lubie de ce côté-ci de la frontière.
Le couple franco-allemand Emmanuel Macron-Angela Merkel a survécu à l’épidémie de coronavirus puisqu’il vient d’annoncer un plan de relance européen de 500 milliards d’euros. Réaction de Jordan Bardella.
Il est un fait que ce sont diverses composantes de la mouvance traditionnelle qui ont mené ce combat contre cette atteinte à la liberté de culte. Les évêques de France ont été absents de ce combat judiciaire.
Il va falloir que le contribuable yvelinois mette la main à la poche pour leur offrir des stages de cirque, à défaut de quoi ils viendront faire le leur, à la barbe de nos policiers.
Ainsi, il n’y a pas eu de pénurie de masques.
Parti en pleurnichant pour avoir rudement éprouvé le principe de réalité, il continue de nous gratifier de ses idées merveilleuses.
De Gaulle, c’était aussi du lyrisme, mais opératoire.
Qu’il y a donc loin du discours officiel et de façade, prônant une plus grande liberté d’action accordée aux pouvoirs locaux en matière de gestion du déconfinement, aux mesures effectives observées sur le terrain frappées, elles, du sceau d’un diktat tout étatique !
Est-il à bonne distance politique et présidentielle ?
C’est un exercice dans lequel le Président excelle, les inaugurations de chrysanthèmes lui siéent parfaitement au teint.
Un ouragan dans un gobelet de bière tiède ? Pas loin.
Ce qui est notable, aujourd’hui, c’est la capacité du chef de l’État à tirer la couverture du livre d’Histoire à lui.
Après une vie de recherche et un prix Nobel, Françoise Barré-Sinoussi a sept occurrences sur le site de Gala. En trois ans de vie politique, Brune Poirson en a 377. Chapeau, l’artiste !
La peur est, sous différentes formes, la marque principale de notre époque.
La démocratie mérite mieux que cette urgence suspecte, surtout après le fiasco du premier tour.
L’État, obèse et boursouflé, s’insinue partout, dans tous les interstices.
Quelques réflexions du fond de la province au sortir du déconfinement…
Décidément, la Chine ne nous aura pas amené que le coronavirus…
La visite à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière a permis de poursuivre ce qui, depuis quelque temps, représente le comble de l’action pour le Président : regretter ce qu’il n’a pas su faire et proclamer qu’il va se réinventer.
Emmanuel Macron recycle l’Histoire à son profit et multiplie les références mémorielles pour s’en attribuer les gloires.
Aujourd’hui, dans cette guerre qui n’en est pas une, les troupes de choc ne croient plus au général en chef, qui n’en est peut-être pas un, d’ailleurs.
Oui, chers compatriotes, vous allez pouvoir prendre des vacances cet été. Ah, Monsieur Philippe, que vous êtes bon !
Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.
On peut reprocher beaucoup de choses à Jean-Michel Blanquer, d’avoir perdu, en cours de route, une partie de ses bonnes intentions et de s’être macronisé. Mais pas d’avoir voulu faire un peu le ménage !
Et si, encore, ces syndicats dénonçaient les grands problèmes économiques et sociaux ! Mais jamais on ne les entend sur l’immigration massive qui tire les salaires vers le bas…
Mais si l’ego n’étouffe pas la raison, l’essentiel, conformément au bon sens, c’est la capacité à répondre à l’événement qui surgit sans prévenir, en prenant appui sur le peuple des citoyens.
Un autre paramètre, qui pourrait avoir son importance ? Emmanuel Macron a tout intérêt à ce qu’Édouard Philippe, soit élu au Havre rapidement, pour s’en débarrasser en douceur…
On ne parle pas, en Allemagne, de « couple franco-allemand ». Cette expression relève d’un fantasme devenue une lubie de ce côté-ci de la frontière.
Le couple franco-allemand Emmanuel Macron-Angela Merkel a survécu à l’épidémie de coronavirus puisqu’il vient d’annoncer un plan de relance européen de 500 milliards d’euros. Réaction de Jordan Bardella.
Il est un fait que ce sont diverses composantes de la mouvance traditionnelle qui ont mené ce combat contre cette atteinte à la liberté de culte. Les évêques de France ont été absents de ce combat judiciaire.
Il va falloir que le contribuable yvelinois mette la main à la poche pour leur offrir des stages de cirque, à défaut de quoi ils viendront faire le leur, à la barbe de nos policiers.
Ainsi, il n’y a pas eu de pénurie de masques.
Parti en pleurnichant pour avoir rudement éprouvé le principe de réalité, il continue de nous gratifier de ses idées merveilleuses.
De Gaulle, c’était aussi du lyrisme, mais opératoire.
Qu’il y a donc loin du discours officiel et de façade, prônant une plus grande liberté d’action accordée aux pouvoirs locaux en matière de gestion du déconfinement, aux mesures effectives observées sur le terrain frappées, elles, du sceau d’un diktat tout étatique !
Est-il à bonne distance politique et présidentielle ?
C’est un exercice dans lequel le Président excelle, les inaugurations de chrysanthèmes lui siéent parfaitement au teint.
Un ouragan dans un gobelet de bière tiède ? Pas loin.
Ce qui est notable, aujourd’hui, c’est la capacité du chef de l’État à tirer la couverture du livre d’Histoire à lui.
Après une vie de recherche et un prix Nobel, Françoise Barré-Sinoussi a sept occurrences sur le site de Gala. En trois ans de vie politique, Brune Poirson en a 377. Chapeau, l’artiste !
La peur est, sous différentes formes, la marque principale de notre époque.
La démocratie mérite mieux que cette urgence suspecte, surtout après le fiasco du premier tour.
L’État, obèse et boursouflé, s’insinue partout, dans tous les interstices.
Quelques réflexions du fond de la province au sortir du déconfinement…
Décidément, la Chine ne nous aura pas amené que le coronavirus…
La visite à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière a permis de poursuivre ce qui, depuis quelque temps, représente le comble de l’action pour le Président : regretter ce qu’il n’a pas su faire et proclamer qu’il va se réinventer.
Emmanuel Macron recycle l’Histoire à son profit et multiplie les références mémorielles pour s’en attribuer les gloires.
Aujourd’hui, dans cette guerre qui n’en est pas une, les troupes de choc ne croient plus au général en chef, qui n’en est peut-être pas un, d’ailleurs.
Oui, chers compatriotes, vous allez pouvoir prendre des vacances cet été. Ah, Monsieur Philippe, que vous êtes bon !
Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.
On peut reprocher beaucoup de choses à Jean-Michel Blanquer, d’avoir perdu, en cours de route, une partie de ses bonnes intentions et de s’être macronisé. Mais pas d’avoir voulu faire un peu le ménage !
Et si, encore, ces syndicats dénonçaient les grands problèmes économiques et sociaux ! Mais jamais on ne les entend sur l’immigration massive qui tire les salaires vers le bas…