Politique
L’intervention du président de la République a confirmé que rien n’est clair.
Figer la France, du jour au lendemain, dans une vaste assignation à résidence était à la portée de n’importe quel État disposant d’un Code pénal et de forces de police à tous – ou presque… – les coins de rue.
Tout laisse à penser que notre Président a une idée derrière la tête, quand il accorde cet entretien au Financial Times…
On l’aura compris, la gestion de l’après-crise, c’est aussi déblayer le terrain pour qu’Emmanuel Macron en sorte sans séquelles, avec ou sans masque.
Au micro de Boulevard Voltaire, Caroline Galacteros revient sur la défiance de l’Occident vis-à vis de la Chine durant cette crise sanitaire mondiale et suggère plutôt aux Etats de coopérer.
C’est la Chine qui a contaminé le monde, personne d’autre.
Pour trouver la concorde, peut-être faut-il que la roue tourne dans ce pays. À condition que certains ne s’offrent pas un tour supplémentaire.
Au bout du bout de la comédie dramatique qui nous est présentée depuis le 17 mars… la vérité nous est servie par une interview du Président…
Et maintenant, voici que le ministre de la Culture, confiné jusqu’alors dans un silence de bon aloi, entre en scène.
Chassez le matamore, il revient au galop. Tagada, tagada.
Un syndicat n’a pas trouvé mieux que d’emmerder les gens en leur coupant l’approvisionnement. Et un tribunal lui a emboîté le pas en sifflotant !
Voici les conseils que donnait Pierre Mathiot aux lycéens, l’artisan de ce nouveau bac fiasco.
Le virus doit être, pour Macron, une sorte d’Austerlitz du verbe.
Le gouvernement userait donc des mêmes expédients de communication avec la chloroquine que pour les masques…
Hasard ou pas, les noms de domaine CharlesGave2022 et charlesgave.fr ne sont plus libres.
Étonnant propos chez ce thuriféraire de la mondialisation heureuse et en opposition totale avec sa campagne électorale de 2017, un véritable tête-à-queue qui confirme sa perte de crédibilité politique.
Une longue demi-heure de discours et pas un mot, pas une seconde sur les élections municipales, grand fiasco démocratique de ce quinquennat, il faut bien l’avouer.
Si gouverner c’est prévoir, si être un chef, c’est donner le cap, alors nous n’avons ni gouvernants ni chef.
Lors de son allocution télévisée, lundi soir, Emmanuel Macron a surpris tout le monde en annonçant une réouverture des crèches, écoles, collèges et lycées au
Quand Macron parle, il parle dans le vide. Il oublie qu’il est à la tête d’un État et d’un gouvernement.
Le seul obèse infecté par le coronavirus et qui n’en mourra pas, c’est l’État.
M. Macron a parlé de transparence. Rien de plus opaque qu’un écran occupé par un homme seul !
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
Oublierions-nous que nous sommes aussi déjà en préparation de la future campagne électorale ?
Quand il commence son allocution, notre Président a l’air un peu accablé. Mais, à la fin, il paraît soulagé, il sourit même. Il doit penser, au fond de lui-même, qu’il a accompli sa tâche…
Louis Aliot, député des Pyrénées-Orientales, réagit après l’allocution d’Emmanuel Macron. Ce qui ressort essentiellement du discours d’Emmanuel Macron est la sortie progressive du confinement
François Bert analyse sans concession la prestation du président de la République. « Il faut que le président de la République passe du guide touristique
L’intervention du président de la République a confirmé que rien n’est clair.
Figer la France, du jour au lendemain, dans une vaste assignation à résidence était à la portée de n’importe quel État disposant d’un Code pénal et de forces de police à tous – ou presque… – les coins de rue.
Tout laisse à penser que notre Président a une idée derrière la tête, quand il accorde cet entretien au Financial Times…
On l’aura compris, la gestion de l’après-crise, c’est aussi déblayer le terrain pour qu’Emmanuel Macron en sorte sans séquelles, avec ou sans masque.
Au micro de Boulevard Voltaire, Caroline Galacteros revient sur la défiance de l’Occident vis-à vis de la Chine durant cette crise sanitaire mondiale et suggère plutôt aux Etats de coopérer.
C’est la Chine qui a contaminé le monde, personne d’autre.
Pour trouver la concorde, peut-être faut-il que la roue tourne dans ce pays. À condition que certains ne s’offrent pas un tour supplémentaire.
Au bout du bout de la comédie dramatique qui nous est présentée depuis le 17 mars… la vérité nous est servie par une interview du Président…
Et maintenant, voici que le ministre de la Culture, confiné jusqu’alors dans un silence de bon aloi, entre en scène.
Chassez le matamore, il revient au galop. Tagada, tagada.
Un syndicat n’a pas trouvé mieux que d’emmerder les gens en leur coupant l’approvisionnement. Et un tribunal lui a emboîté le pas en sifflotant !
Voici les conseils que donnait Pierre Mathiot aux lycéens, l’artisan de ce nouveau bac fiasco.
Le virus doit être, pour Macron, une sorte d’Austerlitz du verbe.
Le gouvernement userait donc des mêmes expédients de communication avec la chloroquine que pour les masques…
Hasard ou pas, les noms de domaine CharlesGave2022 et charlesgave.fr ne sont plus libres.
Étonnant propos chez ce thuriféraire de la mondialisation heureuse et en opposition totale avec sa campagne électorale de 2017, un véritable tête-à-queue qui confirme sa perte de crédibilité politique.
Une longue demi-heure de discours et pas un mot, pas une seconde sur les élections municipales, grand fiasco démocratique de ce quinquennat, il faut bien l’avouer.
Si gouverner c’est prévoir, si être un chef, c’est donner le cap, alors nous n’avons ni gouvernants ni chef.
Lors de son allocution télévisée, lundi soir, Emmanuel Macron a surpris tout le monde en annonçant une réouverture des crèches, écoles, collèges et lycées au
Quand Macron parle, il parle dans le vide. Il oublie qu’il est à la tête d’un État et d’un gouvernement.
Le seul obèse infecté par le coronavirus et qui n’en mourra pas, c’est l’État.
M. Macron a parlé de transparence. Rien de plus opaque qu’un écran occupé par un homme seul !
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
Oublierions-nous que nous sommes aussi déjà en préparation de la future campagne électorale ?
Quand il commence son allocution, notre Président a l’air un peu accablé. Mais, à la fin, il paraît soulagé, il sourit même. Il doit penser, au fond de lui-même, qu’il a accompli sa tâche…
Louis Aliot, député des Pyrénées-Orientales, réagit après l’allocution d’Emmanuel Macron. Ce qui ressort essentiellement du discours d’Emmanuel Macron est la sortie progressive du confinement
François Bert analyse sans concession la prestation du président de la République. « Il faut que le président de la République passe du guide touristique